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Chaque année, à l’occasion de la Journée mondiale des réfugiés, l’association Forum Réfugiés organise son emblématique Marche des Parapluies. L’occasion de rappeler la nécessité de faire preuve de solidarité envers celles et ceux qui ont été contraints de quitter leur pays d’origine pour échapper aux conflits ou à la persécution.

Depuis 2003, cette Marche rassemble les différents acteurs et actrices du secteur afin de sensibiliser l’opinion publique et les décideurs.

Le 20 juin, le village d’animations était installé Place Guichard, au cœur de la capitale des Gaules. Des expositions, des stands de sensibilisation, des ateliers culinaires et des concerts mettaient alors à l’honneur la multiculturalité des bénéficiaires de l’association. Ces derniers étaient d’ailleurs ravis de participer à cet évènement convivial et festif. Pour Fifi, cette mobilisation lui a permis d’oublier les difficultés du quotidien. Elle affirme même avoir retrouvé un peu d’espoir et de motivation pour l’avenir. 

Alors que les Gratte-Ciel voit à peine le jour à Villeurbanne (Rhône), Albert et Antonia Bettant décident de s’installer, en 1935, dans l’un des premiers locaux de ce quartier moderniste. Avec sa pâtisserie, le couple régale les promeneurs venus découvrir ce quartier imaginé comme une cité ouvrière d’avant-garde.

Quelques années plus tard, leur fils Marcel et son épouse Jacqueline reprennent la Maison Bettant. Au début des années 1980, C’est au tour de la troisième génération, avec Olivier et François, de rejoindre l’aventure. La pâtisserie fusionne alors avec la boulangerie mitoyenne, en 1987, pour ne former qu’un seul point de vente.

Aujourd’hui, 90 ans plus tard, François et son épouse Corinne sont à la tête de cette maison qui allie pâtisserie, boulangerie, chocolaterie, salon de thé et espace de restauration. Les équipes sont formées régulièrement pour préserver le savoir-faire artisanal de la maison.

Son savoir-faire s’appuie sur la motivation, l’innovation et la proximité avec les producteurs et les clients. Plus de 3 000 personnes viennent quotidiennement découvrir les créations familiales. Pour garder cette attractivité, François souhaite continuer de participer à la vie de quartier en proposant des animations au sein de la boutique.

Le Trophée d’Impro Culture & Diversité fête ses 15 ans cette année. Ce trophée est un programme national d’éducation artistique et culturelle des arts de l’oralité. À l’initiative de Jamel Debbouze et de Marc Ladreit de Lacharrière, ce programme a déjà accompagné plus de 12 000 jeunes improvisateurs en herbe.

Avant la Finale de ce Trophée à Paris, plusieurs finales régionales se déroulent dans toute la France. Celle d’Auvergne-Rhône-Alpes opposait, à Lyon, les équipes du Puy-en-Velay, de Chambéry et de la capitale des Gaules. Audrey de Brito s’occupe de la logistique de cette finale et souligne le bonheur des jeunes lorsqu’ils se rencontrent et participent à cet événement.

Les équipes sont composées de collégiens, principalement issus de l’éducation prioritaire et rurale. Après une année de préparation avec une compagnie d’improvisation locale, ils se sont affrontés lors de matchs d’improvisation. Le public a ensuite voté pour l’équipe qui a offert la meilleure prestation.

Lors de cette finale régionale, Alain Degoi, dit Papy, directeur artistique du Trophée d’Impro Culture & Diversité, a insisté sur tous les bienfaits de l’improvisation pour ces jeunes. Une observation partagée par Elsa et Nayou, deux élèves de Haute-Loire participant à la compétition.

La municipalité de Villeurbanne, dans le Rhône, a annoncé 160 000 euros d’investissements pour assurer la préservation de la biodiversité dans ses cimetières. Avant tout, lieux de recueillement, les cimetières sont aussi des endroits propices au développement de la faune et de la flore. La Ligue de Protection des Oiseaux a ainsi organisé un inventaire précis. Les participants ont recensé 25 espèces d’oiseaux et de nombreux autres animaux. Les cimetières de la ville ont de ce fait reçu le label Refuges LPO.

Des cimetières labellisés “Refuge LPO” pour préserver la biodiversité
Pose de nichoirs dans les cimetières pour favoriser la biodiversité – Lucas Frangella-ville de Villeurbanne

Cette labellisation implique de nouveaux aménagements en faveur de la faune évoluant au sein des cimetières. En collaboration avec la LPO, la Ville va donc créer des micro-habitats, une spirale aromatique ou encore une mare. Une trentaine de nichoirs vont par ailleurs être installés à plusieurs mètres de hauteur.

Alain Brissard est adjoint délégué à la végétalisation et la biodiversité en ville. Pour lui, ce label n’est que le début d’une démarche qui pourrait s’étendre aux espaces verts de Villeurbanne.

Pour la deuxième année consécutive, les Hospices Civiles de Lyon organisent, jusqu’au 11 juin, leur Printemps de l’Emploi. Pour l’occasion, tous les établissements ouvrent leurs portes afin de faire découvrir aux étudiants et à tous ceux qui le souhaitent les métiers hospitaliers.

À l’hôpital Édouard Herriot, les équipes ont trouvé une alternative innovante pour répondre à la crise de recrutement. Ils ont créé trois escape games au cœur de l’hôpital pour découvrir les métiers qui recrutent.

Imaginés et organisés par Sandra Bonjour, ces escape games proposent une expérience immersive, ludique et pédagogique. Au cours de ces jeux, les participants forment une équipe médicale soudée et arpentent les pavillons hospitaliers pour découvrir les réalités du terrain. À chaque fois, ils disposent de deux heures pour résoudre une mission, en collectant neuf indices qui formeront un puzzle final. Une fois l’escape game achevé, les joueurs peuvent échanger avec les professionnels de santé qui les ont accompagnés. Pour Sandra, ces expériences permettent de créer des vocations tout en valorisant les professionnels.

Le plus grand festival culinaire de France fait son grand retour du 25 juin au 29 juin 2025 aux Grandes Locos. À l’origine, le Lyon Street Food Festival souhaitait faire sortir les chefs de leur cuisine et les mettre sur le devant de la scène.

Pour sa 9e édition, l’événement continue de faire voyager les visiteurs. Cette fois-ci, le festival va leur faire découvrir les saveurs du Brésil, de l’Irlande ainsi que du festin français. Cette immersion sensorielle sera assurée par plus de 200 créations culinaires imaginées par 130 chefs et pâtissiers venus du monde entier. Certains seront issus de la nouvelle garde de la cuisine lyonnaise. 

Bien plus qu’un simple festival culinaire, le Lyon Street Food Festival souhaite faire fusionner la cuisine, la musique et la culture. Un moyen, selon eux, efficace pour rassembler les foules et créer du lien. D’ailleurs, pour Émeric Richard, le directeur du festival, la street food a cette ambition de “faire société”. Elle fédère ainsi celles et ceux qui échangent autour de ce langage universel. Émeric espère ainsi faire évoluer l’image négative de la street food en prouvant qu’elle peut être inclusive, culturelle et universelle.

Lyon : Changer l’image de la street food avec le Lyon Street Food Festival
Les Grandes Locos, un lieu convivial pour favoriser la rencontre et le partage – Brice Robert

Tous les mercredis, jusqu’à fin septembre, la ville de Villeurbanne (Rhône) organise des animations, des balades sensorielles ou encore des jeux de piste au parc de la Feyssine. Le programme Anim’Feyssine a été développé en partenariat avec des associations et des structures en lien avec la préservation de l’environnement.

Pendant quelques heures, les participants sont donc amenés à découvrir la biodiversité du parc. À destination des enfants et de leur famille, ces animations portent sur diverses thématiques.

Villeurbanne : La nature à hauteur des plus jeunes avec Anim’Feyssine
Les animations d’Anim’Feyssine s’adressent aux enfants et à leurs familles – Ville de Villeurbanne

Marie Perin est la fondatrice d’Agir pour l’eau, une structure de l’économie sociale et solidaire. Le temps d’un après-midi, elle a imaginé un jeu pour découvrir le trajet de l’eau jusqu’à nos maisons. Avec son “Jeu des 3 époques”, Marie s’appuie donc sur la manipulation pour sensibiliser les plus jeunes. Selon elle, être en pleine nature est un véritable atout pour bien comprendre les enjeux climatiques. C’est grâce à cette compréhension du vivant que les participants pourront, à l’avenir, être attentifs à nos ressources. 

Selon une étude de l’association Sidaction parue en mars 2025, 42% des 15-24 ans pensent que le VIH peut se transmettre par en baiser. 39% pensent également que l’on peut guérir du sida grâce à un médicament.

Face à ces chiffres préoccupants, l’entreprise française Terpan agit pour briser ces idées reçues chez les jeunes. Pour ce faire, elle renforce et facilite l’accès à une information fiable et complète pour lutter contre cette méconnaissance. Grâce à de nombreux leviers d’actions, Terpan promeut les bons réflexes de protection auprès d’un large public.

Pour agir concrètement sur le terrain, Terpan collabore par ailleurs avec des associations en contact avec des jeunes. À Lyon, l’association étudiante Solidari’terre de l’EM Lyon est présente sur le terrain et n’hésite pas à partager des préservatifs gratuits. À l’occasion de la 31e édition du SIDACTION, en 2025, l’association a accompagné plusieurs étudiants à se faire dépister gratuitement et de manière anonyme. Elle a par ailleurs rappelé aux participants que, depuis janvier 2023, les préservatifs masculins et féminins sont distribués gratuitement aux moins de 26 ans en pharmacie.

Depuis la crise sanitaire du Covid-19, les associations font face à un désengagement généralisé. Cette tendance est également visible pour les jardins partagés, qui présentent pourtant de nombreux bienfaits.

Les jardins partagés en ville, entre pédagogie et bien-être mental
Construire des projets ensemble au sein d’un jardin partagé – Le Passe Jardins

C’est pourquoi l’association lyonnaise Le Passe Jardins a lancé une campagne d’adhésion et de sensibilisation aux jardins. L’objectif principal est ainsi de créer une nouvelle dynamique tout en rappelant les avantages des jardins partagés.

Les jardins partagés en ville, entre pédagogie et bien-être mental
Récolter des fruits et légumes – Le Passe Jardins

Ces lieux conviviaux sont par ailleurs des lieux de rencontre, de partage et de pédagogie autour de la nature en ville. Pour Gaëlle Connaughton, accompagnatrice de projets au sein du Passe Jardins, ces espaces verts sont un véritable atout pour le développement de la biodiversité.

Elle rappelle que les citadins peuvent aussi y développer leur bien-être physique et mental. Ils y apprennent aussi à récolter des produits bons pour la santé. À Lyon, 227 jardins partagés existent et sont référencés sur la carte interactive de l’association. 

L’apprentissage de la conduite est un véritable défi pour les millions de personnes atteintes de troubles de l’apprentissage (DYS, TDAH, autisme…) en France. Le permis de conduire reste néanmoins un élément clef pour accéder à l’autonomie et à l’emploi. Face aux méthodes d’enseignement classiques inadaptées, Drive Innov a donc imaginé, en région Rhône-Alpes, des auto-écoles inclusives, avec des formations sur-mesure.

Avec l’aide de psychologues et d’orthophonistes, l’entreprise a développé des méthodologies pédagogiques adaptées. Des formateurs sont ainsi prêts à accompagner et à répondre aux besoins des apprenants atypiques. Les auto-écoles Drive Innov misent par ailleurs sur l’innovation technologique en proposant une plateforme numérique de microlearning. Les élèves peuvent alors réviser à leur rythme avec des contenus accessibles en plusieurs langues. 

En France, le nombre de femmes travaillant dans l’industrie ne dépasse pas les 30%, selon des chiffres de l’INSEE dévoilés en 2022. Alors, pour redorer l’image du secteur industriel, un trio d’entrepreneurs – Hélèna Jérôme, Nicolas Maury et Marion Garcia – a imaginé le média lyonnais Les meufs de l’industrie (LMDI).

À travers des portraits, des témoignages et des vidéos, ce média valorise les parcours féminins dans le secteur industriel. Il travaille pour ce faire en collaboration avec des entreprises et des collectivités.

Pour Marion Garcia, il est nécessaire aujourd’hui de briser les clichés autour de l’industrie. De nombreux métiers, souvent peu connus, participent en effet à l’évolution du secteur. Marion rappelle par ailleurs que l’industrie peut être un véritable secteur d’épanouissement pour les femmes. Dirigeantes, tuyauteuses, ingénieures, mécaniciennes… les profils sont variés et parfois surprenants. Grâce à ce partage d’expériences, LMDI souhaite ainsi susciter des vocations et aider à répondre à la crise du recrutement.

Cette interview a été réalisée en partenariat avec le média impact.info. Vous pouvez la retrouver en intégralité ici.

Ce média a été fondé par Impact Partners et AirZen Radio, afin de mettre en lumière la parole de celles et ceux qui veulent faire bouger les lignes au sein de leur entreprise… mais pas que !

Rendez-vous sur impact.info pour découvrir les nombreux témoignages.

Créée à l’automne 2016 à Lyon, l’association Terre d’Ancrages s’est d’abord développée sous l’impulsion d’un collectif. Un groupe d’étudiants s’était alors rendu compte des problématiques d’hébergement que rencontraient d’autres étudiants. Ensemble, ils ont alors voulu améliorer la situation des demandeurs d’asile en mettant en avant le besoin de lien humain direct. Ce besoin d’ancrage amène chacun et chacune à se sentir quelque part chez soi.

Lyon : Terre d’Ancrages milite pour que chacun se sente quelque part chez soi
Les ateliers cuisines pour nouer des liens d’amitié – Terre d’Ancrages

Quelques années plus tard, Terre d’Ancrages reste une association locale qui milite en faveur d’un accueil digne et chaleureux des personnes exilées. Pour cela, Terre d’Ancrages travaille avec des hébergeurs solidaires qui peuvent loger une personne temporairement. L’association met également en place des colocations solidaires.

Pour favoriser la création de liens, les bénévoles organisent des événements et des activités. Isabella Santos, coordinatrice de projets, rappelle enfin toute la mission de sensibilisation et de plaidoyer menée à grande échelle pour éveiller les consciences autour de ces nombreuses problématiques.

Pour la troisième année consécutive, le cours Gambetta, au sein du quartier de la Guillotière, à Lyon, se remplit d’odeurs alléchantes venues des quatre coins de la planète. Organisé par l’association Re(a)dorons la Guillotière, le festival des cuisines du monde revient ce dimanche 18 mai de 11 à 17 heures.

Cet événement convivial est porté par la volonté de changer l’image négative du quartier. Une vingtaine de commerçants issus de 18 pays différents comptent ainsi offrir un tour du monde culinaire.

Pour Xavier Calmard, vice-président de l’association, ce festival permet de créer des rencontres entre les habitants. Il valorise également la richesse multiculturelle du quartier. En collaboration avec la Ville, le festival des cuisines du monde de la Guillotière se veut accessible à toutes et à tous.

Il est par ailleurs possible d’acheter une formule suspendue, qui sera ensuite distribuée aux familles en situation de précarité. Cette mobilisation solidaire rappelle les valeurs de l’association, qui se fait ainsi via la vente de formules et de coupons en ligne.

Alfredo n’a pas besoin de scène, la rue lui suffit. À bord de sa CRI-cyclette électrique, il annonce en fanfare les messages confiés par les habitants, à intervalles réguliers. La criée peut durer 2 h 30 ou toute une journée, a parfois lieu dans des salons ou séminaires. Tambour ou haut-parleur en ouverture, micro au besoin, il capte l’attention par la surprise, l’émotion ou l’humour.

Il a commencé cette activité pendant le confinement, en se postant en bas de son immeuble chaque soir, à 19 heures, pour crier les messages que ses voisins lui écrivaient.

Depuis, ce passeur de mots lit à voix haute ce que les gens veulent dire : annonces, poèmes, souvenirs, pensées… Alfredo redonne vie à un métier ancien avec une touche moderne, tendre et festive. La parole devient ici un événement, un art vivant, renouvelable et humain.

Tom Thiellet a créé, en 2006, la première boutique Le Moulin dans le 8ᵉ arrondissement de Lyon. Il y proposait une offre d’alimentation saine, locale et responsable et se présentait comme l’une des premières enseignes favorisant le mieux-manger. Rapidement, Le Moulin s’est développé ainsi que ses engagements sociaux et environnementaux.

L’entreprise aide aujourd’hui les personnes éloignées de l’emploi à retrouver un travail, avec un suivi social. À l’aide de son restaurant et son service de traiteur, elle s’engage également à soutenir les agriculteurs locaux en fournissant des repas sains et respectueux de l’environnement.

Lyon : Soutenir Le Moulin dans sa mission environnementale et sociale
L’intérieur du restaurant au 40 Rue Marietton dans le 9ᵉ arrondissement de Lyon – Le Moulin

Cependant, malgré ses démarches vertueuses, Le Moulin est aujourd’hui placé en redressement judiciaire à la suite de dettes accumulées lors de la période du Covid. Pour sortir de cette crise, Tom propose plusieurs options à celles et ceux qui souhaitent les aider. Parmi elles, un abonnement, un achat de cookies faits maison ou encore un service de commande facilité auprès des entreprises… Les solutions ne manquent pas pour soutenir Le Moulin. Tom est confiant et affirme que l’engagement responsable du Moulin est plus que jamais une nécessité pour l’environnement.

Jusqu’au 31 décembre 2025, les Lyonnais peuvent découvrir les capacités extraordinaires de certaines espèces animales. À travers l’exposition “Trop Fort !”, le Musée des Confluences propose quatre grands dioramas pour mieux comprendre ces animaux hors norme. En passant par le désert ou encore par le grand froid, les visiteurs font face à des animaux naturalisés impressionnants.

Tout au long du parcours, les enfants font participer leurs sens grâce à des manipulations ludiques et simples. Certains mécanismes complexes, comme la condensation de l’eau sur la carapace du ténébrion du désert, sont également expliqués à hauteur d’enfants.

Aux côtés des naturalisations, la présentation de tenues humaines rappelle également que l’être humain n’est qu’une espèce animale parmi les autres, capable, elle aussi, de s’acclimater comme de s’adapter.

Encore étudiant à l’école de commerce EMLYON Business School, Sasha Bird a voulu répondre aux besoins du secteur animalier. Confronté à une situation d’urgence avec son chien, il s’est alors rendu compte qu’il était souvent diffiicle de trouver les bons services au bon moment. C’est pourquoi, il a imaginé la plateforme Animo+ afin de faciliter les interactions entre les propriétaires et les professionnels.

Avec plus de 15 fonctionnalités, Animo+ s’adresse au plus grand nombre et permet de trouver un professionnel disponible proche de chez soi.

Sasha rappelle que, chaque mois, les vétérinaires consacrent entre 40 et 50 heures à leurs tâches administratives. Animo+ propose alors de diviser ce temps par deux en automatisant un maximum de services. Par exemple, une fonctionnalité permet de renseigner le médicament utilisé et ainsi gérer plus facilement les stocks à disposition.

Il existe également un service de messagerie pour que les propriétaires puissent échanger sur la même plateforme. À terme, Sasha espère que ces gains de temps seront bénéfiques au bien-être des animaux.

Pour la troisième année consécutive, le campus lyonnais de MBway organise une collecte solidaire de denrées alimentaires. Cette école de commerce et de management s’engage contre la précarité étudiante. En partenariat avec l’association Linkee, le campus espère atteindre la tonne de denrées récoltées. Celles-ci seront ensuite redistribuées lors de distributions à la MDE (Maison des Étudiants).

1 tonne de denrées alimentaires pour lutter contre la précarité étudiante
Les denrées alimentaires récoltés dans le cube à l’entrée du campus – MBway Lyon

Edgar Jarleton est responsable de l’antenne lyonnaise de Linkee. Il rappelle les enjeux autour de la précarité étudiante, qui ne cesse de s’intensifier. Pour Arthur Martel, directeur du campus, il est nécessaire aujourd’hui de soutenir les étudiants. Avec le campus de MBway Lyon et cette initiative, il souhaite ainsi mettre en œuvre toute les solutions pour réussir.

Cette collecte solidaire mobilise aussi bien les entreprises partenaires de l’école que celles extérieures, ainsi que les étudiants. C’est d’ailleurs le cas d’Estelle Mozeau, étudiante et alternante. Investie dans ce projet, elle n’hésite pas à sensibiliser les entreprises et à prouver que chacun est concerné par la précarité étudiante. Le campus de Lyon étant pionnier, l’idée est actuellement à l’étude pour un lancement simultanée sur tous les campus de France en 2026.

Chaque année, l’association Anciela organise un défi pour sensibiliser le grand public à une thématique engagée. En 2025, l’association lyonnaise a décidé de se tourner vers l’alimentation bio, paysanne et conviviale avec le défi “Du cœur dans les épinards“. Face à l’effondrement de la biodiversité et à la fragilisation de la filière bio, ce défi vise à favoriser une alimentation écologique et solidaire. L’association Bellebouffe, le Réseau AMAP Aura, le Grap et l’ADDEAR s’engagent également dans ce défi qui se termine le 30 avril.

Les différents acteurs mettent en place de nombreuses actions et animations sur le territoire lyonnais. Ils mettent en valeur cinq grandes actions à mener pour privilégier les aliments bios et paysans dans les assiettes. Anciela a par ailleurs imaginé une grande carte illustrée pour faire connaître les lieux où consommer bio et local. Les grands Lyonnais peuvent ainsi participer à leur niveau pour changer de mode d’alimentation. L’inscription au défi est gratuite et toute la programmation est à retrouver ici.