La création de ce podcast répond à un besoin : si les femmes contrôlent leur corps et carrière, leur indépendance économique reste un défi. “Osons l’oseille” vise aussi à briser un tabou bien français, celui de l’argent, qui pénalise particulièrement les femmes. Surtout, il promeut l’indépendance financière féminine, condition sine qua non vers une pleine participation sociale et économique. C’est donc logiquement qu'”Osons l’oseille” montre l’argent comme un outil d’émancipation.
Si les femmes investissaient activement, cela aurait un impact économique majeur. Par exemple, si l’argent que pouvaient investir les femmes l’était vraiment, cela représenterait près de 3000 milliards d’euros, soit environ la moitié du PIB de la Chine. D’autant plus que celles qui investissent le font principalement dans des projets à impact positif, notamment dans des entreprises promouvant l’égalité ou des solutions écologiques.
Aider l’économie et la société
Les femmes sont plus diplômées, mais moins présentes aux postes de cadres. Une participation accrue au marché du travail créerait ainsi plus de richesse. De plus, si davantage de femmes devenaient entrepreneures, cela boosterait l’économie. Les efforts financiers des femmes pourraient ainsi bénéficier à toute la société. C’est ce que démontre “Osons l’oseille“.
Le podcast encourage les femmes à s’approprier leur pouvoir financier pour être utiles à elles-mêmes, à toutes et à tous. C’est peut-être pour cela qu’il a été récompensé par le Grand Prix de la Responsabilité des Médias, organisé par l’agence Prache Media Event.