Son arbre est loin d’être le plus imposant, mais il est très épineux. Ses fleurs sont d’un rouge orangé et donnent naissance à des grappes de fruits comestibles. On en trouve en Somalie, au Yémen, au Soudan ou encore en Éthiopie. Sans être imposant, il est tout de même généreux car avec 100 kg de résines, on peut produire entre 5 et 10 litres d’huile essentielle.
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Un des usages premiers de la myrrhe est de permettre de cicatriser la peau. Cette résine est d’ailleurs produite par l’arbre dans ce but : cicatriser. Elle aide à resserrer le derme et améliore l’état général de la peau. Cet usage est valable pour les plaies, mais aussi les escarres, abcès furoncles ou même gerçures.
Elle est aussi antiseptique lorsqu’elle est utilisée sous la forme de sauna facial (exposition du visage à de la vapeur d’eau dans laquelle se trouvent des huiles essentielles).
Pour purifier l’atmosphère, on peut facilement l’utiliser dans un diffuseur à nébulisation, et l'associer par exemple au laurier ou même au ravintsara.
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En mélange avec de la gaulthérie, du tea tree ou du romarin à camphre, elle peut devenir un anti-inflammatoire efficace. Cette même action anti-inflammatoire se retrouve pour les inflammations digestives.
Comme pour chaque huile essentielle, il est nécessaire de vous faire conseiller par un professionnel pour son utilisation.