Il y a encore dix-sept ans, Cécile Solar était une jeune femme toute simple, qui aimait la ville dans laquelle elle vivait, Nice, et dans laquelle, déjà, elle aidait les jeunes. Seize ans – et deux enfants plus tard – Cécile n’a en fait guère changé bien que tout, autour d’elle, ait changé. L’endroit où elle vit, Cologne, et par conséquent, la nationalité des gens qui vivent autour d’elle.
Son métier ensuite. Arrivée en Allemagne, elle ne s’imaginait pas une seconde dans un simple rôle passif de femme d’expatrié. Elle s’est donc créé son métier et l’a adapté à l’environnement : elle est aujourd’hui coach pour des francophones – le plus souvent jeunes – mais surtout en mobilité. Et ce job, s’il lui a permis d’échapper à l’oisiveté, lui a aussi permis d’ouvrir les yeux sur une population, celle des expatriés, dont elle ne connaissait rien pour n’avoir jamais quitté la France auparavant.
Du discours de Cécile transpire beaucoup de force et d’envies, toutes les deux nées des difficultés qu’elle a connues à s’adapter à sa nouvelle vie. De l’histoire certes ancienne. Mais dont elle n’a pas oublié une virgule.
Pour la contacter, rendez-vous ici.