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Ce type de film crée des effets positifs et addictifs selon la science

© terovesalainen /AdobeStock
Regarder un film d’horreur augmenterait la dopamine et l’adrénaline dans notre cerveau, d’après certaines études scientifiques. Parlons de la peur et de ses mécanismes avec Jérôme Miranda, hypnothérapeute.

Certaines études scientifiques viennent de mettre en évidence que se mettre volontairement en état de peur contrôlée, de façon ponctuelle et mesurée, aurait des effets bénéfiques.

Sécrétion d’endorphine et d’adrénaline, angoisse contrôlée, activation des neurotransmetteurs, meilleure gestion du stress, préparation à des situations critiques, dopamine et sérotonine libérées… les bienfaits seraient nombreux.

Certains chercheurs projettent même d’utiliser les films d’horreur dans le cadre de désensibilisation à des phobies. N’ayons pas peur d’avoir peur, c’est un peu ce que l’on peut apprendre de cet entretien avec l’hypnothérapeute Jérôme Miranda.

La peur est une émotion normale et même indispensable à la survie de notre espèce. Sans peur, l’homme n’aurait pas survécu. Car c’est cet état d’alerte qui nous a sauvés de bien des situations difficiles dans l’histoire de l’humanité. La peur est indéniablement liée à l’instinct de survie.

Mais dans un mesurée, bien sûr. Car c’est quand nous sommes en état d’alerte permanente que notre corps et notre cerveau se dérèglent. Cela peut être le cas, par exemple, lorsqu’on regarde trop souvent des chaînes d’information qui relaient des actualités anxiogènes à longueur de journée.

Écoutons l’avis et les conseils de Jérôme Miranda, hypnothérapeute.

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