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C’est en 1295 que Marco Polo rapporta les pâtes en Italie après un voyage en Chine. Mais en réalité, on trouve déjà des traces de nouilles de millet en Chine en -2000 av JC. Les pâtes alimentaires sont fabriquées à partir de farines de blé, bien sûr, mais aussi de riz, de maïs, de céréales comme le sarrasin ou l’épeautre.

En Asie, on utilise également de la farine de blé et de riz mais on se sert aussi de riz dit « glutineux », de patates douces ou de soja vert appelé « haricots mungo ». Pour les plus audacieux, essayez les pâtes de konjac (ou shiratakis au Japon).

La cuisson est la préparation des pâtes importent

En France, pour être classifiées «  pâtes fraîches aux œufs frais », 3 critères doivent être respectés :  une semoule de blé dur de qualité supérieure, un taux d’humidité supérieur à 12% et un minimum de 140g d’œufs pour un kilo de semoule de blé.

Leur mode de cuisson et de préparation sont très importants. Servies avec une bonne portion de légumes, les pâtes, surtout complètes, sont des alliées santé et minceur.

Trop cuites, elles ont un indice glycémique plus élevé. Et sont donc plus préjudiciables en cas de régime.

Clémence Fouillade est diététicienne nutritionniste à Montferrier-sur-Lez (Hérault), Sète ou à distance. Plus d’infos sur cfdieteticienne.com

Le riz est la céréale la plus consommée à travers le monde. En poussant, elle peut atteindre 5 mètres de hauteur. Il en existe plus de 2000 variétés. Les plus utilisés sont le blanc, le complet et le sauvage. Le complet ou riz brun ou riz cargo conserve son son et son germe.

Il existe du riz long grain (7 à 8 mm), du grain médium (5 à 6 mm) et du rond (4 à 5 mm). Le rond est utilisé pour le risotto, la paëlla et le riz au lait.

Cet aliment est source de protéines, fer, calcium, magnésium et vitamine B. Servi avec des légumes ou des légumineuses, il constitue un mets intéressant sur le plan nutritionnel.

Son mode de cuisson est très important. Trop cuit, il est plus calorique et perd ses nutriments.  « La créole » est la cuisson dans une casserole d’eau. « À l’asiatique », il absorbe l’eau. « Pilaf », on lui ajoute de l’huile avant de le mouiller. « Façon risotto » où l’on incorpore du bouillon jusqu’à sept fois. Le saviez-vous ? Le riz sauvage n’est pas une céréale mais une graminée.

Sophie Janvier, diététicienne nutritionniste et auteure de « La Méthode douce pour mieux manger » aux éditions Leduc, est notre invitée. Conférencière, elle consulte en cabinet et en visio sur sophiejanviernutritionniste.com

Le lait contient 90% d’eau, des nutriments essentiels indispensables à l’être humain : protéines, glucides, lipides vitamines, oligo-éléments, enzymes et sels minéraux. Mais aussi des vitamines A, C, D, B2, B3, B12, PP.

Pour les personnes allergiques ou intolérantes au lactose, il est intéressant de consommer à la place des laits ou jus végétaux. Au choix, l’amande, le coco, le soja, la noix de cajou…

Et si vous ne l’aimez pas, pas d’inquiétude. Vous trouverez de bonnes doses de calcium dans les légumes verts et certaines eaux minéralisées.

 Le lait et les soins de la peau

Le lait réduirait l’ostéoporose. Pourtant, les pays gros consommateurs (Suède, Norvège, Finlande) sont plus touchés que ceux qui n’en consomment pas comme les Japonais.

Mais les produits laitiers peuvent être aussi très utiles pour les soins de la peau : le lait remplace le démaquillant. La crème fraîche et le yaourt font quant à eux un teint de pêche en application sur le visage

Le lait d’ânesse, utilisé comme cosmétiques, est riche en vitamines et minéraux, très hydratant pour les peaux sèches ou réactives.

Le Dr Corinne Chicheportiche-Ayache, médecin nutritionniste, répond au vrai/faux.

On hésite parfois à manger du fromage après un repas. Il est pourtant une source importante de protéines et de calcium, indispensables à la santé de nos os et de nos muscles.

Le fromage, comme le beurre ou l’huile, est pourvu de matières grasses, certes. Mais il apporte aussi beaucoup de protéines, par exemple le camembert (22%) ou l’emmental (27%). Dans le cadre d’une alimentation équilibrée et sans excès (30 à 40g par portion maximum), il est parfaitement toléré. Et si vous souhaitez réduire les apports en matières grasses, optez plutôt pour des fromages frais (type carré frais, ricotta ou cabécou) qui n’en contiennent que 12%.

Quelques conseils pour les amateurs de fromage

On notera tout de même la présence de sel (à contrôler sur les étiquettes), déconseillé surtout aux personnes faisant de l’hypertension artérielle. Dans le cas d’une intolérance au lactose, préférez le gouda, bleu ou le parmesan. Une astuce : plus le fromage est affiné, moins il contient de lactose.

En plus du calcium et des protéines, le fromage nous apporte de la vitamine D, excellente pour notre squelette. Il contient également du zinc pour booster notre système immunitaire. Mais aussi du phosphore, potassium et magnésium, minéraux indispensables à notre organisme.

Hassan Younès, enseignant chercheur à Unilasalle, répond à notre vrai/faux

Le yaourt blanc apporte une dose non négligeable de calcium et est fortement recommandé aux femmes enceintes pour éviter le risque de pré-éclampsie, une complication liée à des poussées d’hypertension artérielle pouvant être préjudiciable à la mère et à l’enfant.

Qui dit taux satisfaisant de calcium dit également meilleure synthétisation de la vitamine D, indispensable pour nos os et notre système immunitaire. Le yaourt est donc l’allié des femmes à la ménopause pour éviter l’ostéoporose.

Des alternatives aux yaourts au lait de vache

Afin de profiter de tous ses bienfaits, il est conseillé de consommer le yaourt idéalement nature ou avec un filet de miel, mais ne le noyez pas sous une tonne de sucre.

Un yaourt peut être effectivement moins bien digéré en raison de sa teneur en lactose mais renferme une dose de probiotiques intéressante pour la santé de nos intestins. D’ailleurs, un conseil : mangez des yaourts natures après une prise d’antibiotiques pour restaurer votre flore intestinale.

En cas d’intolérance ou d’hypersensibilité, tournez-vous vers des yaourts au lait de brebis, chèvre, souvent mieux tolérés ou à base de lait d’amande, coco ou soja natures.

Clémence Fouillade, diététicienne nutritionniste répond à notre vrai/faux.

Le beurre, pas si mauvais que ça : et si on le réhabilitait ? Car, comme souvent, ce n’est pas l’aliment qui pose problème mais les quantités ingérées et le modèle alimentaire dans lequel il s’inscrit. Même si, effectivement, le beurre contient peu d’acides gras polyinsaturés, le rapport oméga-6/ oméga-3 est correct.

Le beurre ne doit plus être banni de notre alimentation, à condition de respecter deux impératifs : ne pas dépasser 10 à 20g par jour (soit une mini tablette de restaurant) et éviter de l’utiliser pour cuire les aliments donc le faire brûler (dangereux pour la santé).

Le beurre peut se révéler être un atout santé : il contient de la Vitamine A (excellent pour notre rétine) et de la Vitamine D (pour la minéralisation de notre squelette). Idéalement, choisissez-le plutôt Label Rouge, AOC ou bio.

Et si vous aimez faire revenir vos préparations culinaires et poêlées au beurre, optez pour du beurre clarifié (ou ghee indien). Fondu au bain-marie puis débarrassé de sa couche supérieure (où se trouvent les impuretés), il devient un aliment que l’on peut chauffer sans aucun risque. Fait maison, il se conserve facilement pendant deux ou trois semaines.

Jean-Michel Cohen, médecin nutritionniste, répond à notre vrai/faux.

L’alimentation vivante (ou crue) se démarque de l’alimentation morte ou neutre. Contrairement aux deux autres, elle fournit des nutriments essentiels, vitamines, minéraux, oligo-éléments, antioxydants et fibres.

 Cru ne veut pas forcément dire végétarien : on peut se préparer du poisson (sushis) ou de la viande (tartare) et ce, afin de bénéficier de la précieuse VIT B12.

Afin de profiter de tous les bienfaits de l’alimentation vivante, privilégiez la qualité de vos produits et si possible en bio (pour éviter les pesticides dans les fruits et légumes).

Il existe quantité de recettes savoureuses et santé à réaliser pour toute la famille. Attention, précisons que le cru est interdit aux femmes enceintes et allaitantes en raison de possibles contaminations par des bactéries. 

Faisons le tour ensemble de quelques idées reçues que nous avons tous sur l’alimentation crue appelée aussi RAW FOOD.

Manger cru ne remplace en aucune façon un traitement médical en cours : en cas de maladies graves, demander impérativement conseil à votre médecin.

Marie-Sophie L., cheffe Raw Food propose des recettes  mais aussi des formations sur son site mariesophiel.com : elle répond à notre vrai/faux.

Mais d’où peut venir cette mauvaise réputation de l’œuf, et ce, depuis des décennies ? Peut-être du beurre ou de l’huile qu’on utilise pour les cuire qui alourdissent la note calorique et pèsent sur notre foie ? Peut-être à la mayonnaise que l’on met sur nos œufs durs (et qu’on ne digère pas ?) ou de leur fraîcheur ? Il est temps de rétablir certaines vérités sur cet aliment hautement qualitatif.

Car l’œuf contient quasiment tous les apports nutritionnels indispensables au bon fonctionnement de notre organisme (hormis de la Vit C). Il joue un rôle essentiel dans la vision, notamment nocturne, participe à la croissance du squelette, booste le système immunitaire et favorise l’absorption du fer.

Il est également une formidable source de sélénium, de phosphore et rivalise donc sur le plan nutritionnel avec le poisson.

Que ce soit à la coque, mollet, dur, en omelette, brouillé, au plat ou en cocotte, l’œuf est un précieux allié de notre santé.

Mais pour qu’il soit un aliment « ami », il faut respecter quelques règles comme ne pas laver sa coquille, s’assurer de sa fraîcheur (pour éviter toute intoxication) et privilégier les œufs de poules élevées en plein air ou bio.

Clémence Fouillade diététicienne nutritionniste, répond à nos questions.

L’OMS (organisation mondiale de la santé) préconise 4 grammes de sel par jour, ce qui correspond à une cuillère à café. Mais en réalité, nous consommons entre 7 et 14 grammes en moyenne, entre le sel ajouté et les sels cachés dans nos aliments.

Pour réduire notre consommation, il est possible d’adopter des gestes simples comme de lire les étiquettes et repérer les indications. « Teneur réduite en sel » signifie que le produit contient au minimum 25% de sel en moins. « Pauvre en sel » indique que l’aliment ne contient pas plus de 0,3 g de sel pour 100 g et enfin « sans sel » signifie qu’il n’en contient pratiquement pas.

Privilégiez également l’achat de légumes frais ou surgelés natures plutôt qu’en conserve, souvent pleines de sel. Optez pour les aliments avec la mention « Teneur réduite en sel » et limitez les chips, biscuits apéritifs, produits en saumure, pickles, olives, jambon cru, saucisson, eaux gazeuses salées.

À proscrire, en revanche : le régime strict à moins de 2 g par jour car il y a risque de déshydratation, une perte d’appétit, des crampes, des insomnies, de la fatigue, une faiblesse musculaire avec une potentielle dénutrition chez les personnes âgées.

Corinne Chimenti, diététicienne nutritionniste, répond à nos questions.

On nous répète depuis tout petit que le sucre est bon pour nous, nous donne de la force et de l’énergie. J’ai même entendu dire une fois que sans lui, nous pourrions mourir. Info ou intox ?

En réalité, il faut distinguer les sucres rapides des sucres lents, appelés aussi complexes. Leur impact sur notre organisme et leur index glycémique sont totalement différents. Si nous pouvons nous passer des sucres rapides comme les glaces, bonbons, sodas, gâteaux et plats préparés, nous avons besoin des sucres lents comme les pommes de terre à l’eau ou en salade, le riz, les pâtes, le pain (complet ou au levain), légumineuses et bananes.

Comme pour toute chose, il faut privilégier la qualité à la quantité : une petite mais excellente part de tarte faite maison vaut mieux qu’un paquet de biscuits industriels. Par ailleurs, les enfants sont la principale cible d’une publicité les incitant à consommer toujours plus sucré.

Pour les plus courageux et addicts au sucre, le sevrage est possible mais par paliers, progressivement. Il existe des astuces comme manger du chocolat noir coupe-faim, boire une tisane, faire de l’hypnose ou de l’acupuncture pour freiner ses envies de sucre.

C’est l’une des énigmes les plus controversées de tous les temps : les extraterrestres existent-ils ? Nous rendent-ils visite à notre insu ? Enlèvent-ils quelques-uns de nos semblables pour les étudier ?

Ces théories sortent tout droit de l’imaginaire collectif et rien ne semble, à ce jour, les accréditer. Cependant, le Pentagone, avec l’accord de l’US NAVY, a dévoilé récemment trois vidéos d’objets étranges et non identifiés par les pilotes. Ce qui les a le plus surpris, c’est la vitesse incroyable mais aussi les mouvements désordonnés et imprévisibles de ces engins (ou choses ?).

Premier témoignage en 1961

Même si aucun fait tangible ne peut nous affirmer avec certitude que des visiteurs font des allées et venues sur notre terre, les récits d’enlèvements sont légion. On les appelle abductions (de l’anglais). Le tout premier témoignage remonte à septembre 1961 dans le New Hampshire, avec Betty et Barney Hill qui font un récit édifiant.

Évidemment, on ne peut prêter foi aveuglément à leur témoignage, mais il est important de préciser que le psychiatre qui les a hypnotisés n’a jamais douté de leur bonne foi.

Tristan Dequaire, planétologue et intervenant pédagogique, répond à nos questions.

La girafe, animal majestueux au long cou et aux jambes interminables, présente beaucoup de singularités comme celle de dormir très peu, debout et en étant toujours à l’affût d’un danger.

Elle n’a pas d’incisives à la mâchoire supérieure, ce qui l’oblige à saisir les feuilles d’acacia dont elle raffole avec la langue plutôt que la bouche. Mais certaines espèces d’acacias sont recouvertes de fourmis dangereuses, qui peuvent blesser la girafe par leurs morsures. C’est pourquoi elle prend délicatement les feuilles avec sa langue avant de les faire glisser dans sa bouche.

Une vitesse importante

La girafe, dotée de jambes puissantes et fines, peut atteindre des vitesses assez incroyables, allant jusqu’à 80 km/heure.

Mais l’espèce est menacée : hormis dans des zoos ou des réserves, où elle est à l’abri, on en trouve encore dans la savane africaine et plus particulièrement dans le sud de l’Afrique (Tanzanie, Niger, Kenya), mais aussi en Afrique australe (Namibie, Zambie, Zimbabwe, Mozambique, Angola). Elle a en revanche disparu des pays d’Afrique de l’Ouest.

Alors qu’au IVe siècle avant notre ère, le poisson était conservé en le remplissant de riz, les Japonais ont pensé, un peu plus tard, à ajouter du vinaigre au riz, ce qui améliorait grandement la conservation du poisson.

C’est au XIX siècle qu’un marchand ambulant eut l’idée d’inverser la présentation en mettant le poisson sur le riz : le sushi tel qu’on le connaît, était alors né. Contrairement à une idée largement répandue, les Japonais ne mangent pas tous les jours des sushis et ce n’est pas un plat principal. Ils sont servis lors de fêtes, de repas de famille ou pour honorer des invités.

Avec du thé

Tout comme la cérémonie du thé, il existe un rituel pour déguster comme il se doit les sushis. La première chose à savoir est qu’on les mange avec les doigts et non avec des baguettes. Ensuite, un soin particulier doit être apporté à la préparation de la sauce d’accompagnement. Et enfin, il est préférable de choisir comme boisson du thé vert.

Si cela vous intéresse, sachez qu’il existe des écoles de formation pour devenir chef sushis amateur ou professionnel.

Patrick Duval Directeur de Wasabi, école de formation répond à nos questions.

L’océanographie est une science datant des XVIIIe et XIXe siècles, qui étudie les mers et les océans. Elle se divise en quatre disciplines : la biologie marine (qui s’occupe de la vie des océans), l’océanographie chimique (qui s’intéresse à la composition de l’eau et son impact sur l’atmosphère), l’océanographie physique (qui se penche sur le phénomène des marées, courants et vagues) et enfin la géologie marine (qui étudie les fonds marins).

L’eau de mer, salée, comme on le sait, contient 30 à 40g de sel pour 1 kg d’eau de mer. Cette accumulation de sel a été drainée lors de la fonte des glaces, entraînant les sels minéraux des roches.

Le plasama marin

Il est déconseillé de boire de l’eau de mer à la place de l’eau de source. Mais rassurez-vous, si vous « buvez la tasse » occasionnellement, cela n’aura aucune conséquence… Et sachez qu’il existe de l’eau de mer filtrée appelée « plasma marin », qui est un puissant reminéralisant et peut être utile en cas de fatigue (à prendre en cure si besoin après une consultation chez votre médecin).

Céline Liret, directrice scientifique d’Océanopolis à Brest, répond à nos questions.

Pour les personnes allergiques ou intolérantes au lactose, il est intéressant de consommer à la place du lait des boissons ou des jus végétaux issus d’oléagineux ou de céréales comme l’amande, la coco, la noix de cajou…

Il est également appréciable de trouver aujourd’hui dans de plus en plus de magasins des yaourts au lait de coco ou d’amande, particulièrement savoureux et beaucoup plus digestes. 

Le lait est particulièrement sensible aux bactéries et doit être consommé très vite une fois entamé. Les yaourts, en revanche, peuvent dépasser la date limite.

Les bienfaits du lait d’ânesse

Mais les produits laitiers peuvent être aussi très utiles pour les soins de la peau : le lait remplace avantageusement le démaquillant quand on est en panne et la crème fraîche ou le yaourt font un teint de pêche en application sur le visage

Le lait d’ânesse, utilisé en cosmétique, est riche en vitamines et minéraux. Il est aussi très hydratant pour les peaux sèches ou  réactives.

Le Dr Corinne Chicheportiche-Ayache  médecin nutritionniste répond à notre interview.

On distingue trois catégories principales de tortues : terrestres (qui vivent sur la terre), aquatiques (dans l’eau douce) et marines (dans les océans).

Les tortues terrestres peuvent mesurer jusqu’à 1m30 de long et peser jusqu’à 300 kilos. Les marines, quant à elles, peuvent mesurer 2 mètres de long et peser jusqu’à 950 kilos ! Les tortues aquatiques sont de loin les plus petites avec seulement 50 cm maximum

Espèces menacées

On en trouve sur tous les continents, principalement près de la Méditerranée, mais aussi dans les océans, les forêts et même les montagnes. En raison de la pollution de l’écosystème, les tortues sont malheureusement aujourd’hui des espèces menacées.

Quant aux tortues domestiques, il faut prendre garde à leur nourriture, ne pas leur donner de restes de repas mais suivre les conseils du vétérinaire. Au moment de son adoption, ayez bien en tête qu’une tortue peut grandir et devenir imposante : soyez prêt à l’accueillir dans un terrarium suffisamment grand mais sachez qu’une tortue vivra plus longtemps si elle est à l’extérieur dans un enclos au soleil, clôturé et couvert.

Rudy Wedlarsky,  vétérinaire au sein du bio parc zoo de Doué-la-Fontaine, répond à notre interview.

Le thé vert en particulier, grâce à des molécules appelées « catéchines », pourrait lutter efficacement contre la prolifération de certains cancers comme celui du sein, de la prostate ou de la peau.

Il est particulièrement bénéfique à notre organisme grâce à ses polyphénols.

Pour la santé, il est conseillé de boire deux à quatre tasses de thé vert par jour. Mais attention, en cas de carence en fer avérée, il vaut mieux s’en tenir à une tasse seulement.

Privilégier le bio

Par ailleurs, le thé contient de la théine mais aussi de la caféine, deux substances qui peuvent être des excitants donc à éviter après 17 heures.

Il existe du thé vert, noir ou blanc. Pour éviter les pesticides, il est fortement recommandé de l’acheter bio et en vrac dans une enseigne sérieuse plutôt que sur internet, où il peut être contaminé par des polluants.

Le thé est devenu une boisson si tendance qu’il existe des « sommeliers du thé », un nouveau métier à découvrir.

François-Xavier Delmas, chercheur de thés et créateur de la marque « Palais des Thés », répond à nos questions.

D’origine britannique et issue d’une famille très aisée, Florence Nightingale sut très jeune qu’elle prendrait soin des autres.

Après s’être rendue très utile au front pendant la guerre de Crimée, elle rédigea des notes et conclusions qui permirent de réévaluer le métier d’infirmière et d’améliorer les soins prodigués aux patients.

Décorée par la reine

Atteinte d’une mal étrange qui l’épuisait, elle dut garder le lit de longues semaines et en profita pour développer ses théories, notamment dans le domaine des statistiques médicales.

Décorée de l’Ordre du Mérite par la Reine Victoria, elle fut une véritable célébrité en Angleterre jusqu’à sa mort, en 1910.

Emma, infirmière en service de réanimation, répond à nos questions.

Qui ne s’est jamais délassé dans un bon bain en écoutant sa musique préférée ? C’est la raison pour laquelle la musicothérapie est aujourd’hui utilisée pour traiter nombre de troubles et pathologies et ce, dans différentes structures : médicales et thérapeutiques, sociales et éducatives

La musique a des effets positifs sur le sommeil, le stress, la dépression ou encore les douleurs chroniques

Plusieurs types de traitements

Être musicothérapeute consiste à aider le patient à retrouver son équilibre, son calme ou son énergie.

Il existe deux types de traitements : la technique active, où le patient utilise des instruments ou son corps et la technique passive/ réceptive, où il écoute simplement de la musique.

Patrick Berthelo, psychothérapeute et musicothérapeute répond à notre interview.

Il fait partie de la famille des étoiles dites naines jaunes, mais il existe également des naines brunes, noires et blanches.

Le soleil a de tout temps été célébré et même vénéré par des civilisations anciennes comme la civilisation précolombienne, les Mayas, les Incas, les Aztèques.

On compte des sacrifices humains par milliers au nom du Dieu Soleil, aussi adoré que redouté.

On retrouve également le culte du soleil dans l’Égypte ancienne, chez les Grecs, les Romains, les Celtes, les Vikings, les Japonais. D’ailleurs, on appelle le Japon « le pays du soleil levant ».

La prochaine éclipse sera visible depuis la France le 25 octobre 2022, mais attention à bien se protéger les yeux.

Gwénaël Caravaca, géologue planétaire au sein de l’IRAP (Institut de Recherche en Astrophysique et Planétologie) répond à nos questions sur cette étoile.