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Sous l’impulsion de son fondateur, Olivier Couder, le Théâtre du Cristal, à Paris, s’est donné pour mission de rendre le théâtre accessible aux personnes en situation de handicap. Cette vision inclusive est au cœur de toutes les activités de la compagnie. Conscient des barrières auxquelles ces personnes peuvent faire face, il a souhaité créer un environnement où elles peuvent, non seulement s’exprimer artistiquement, mais aussi être reconnues pour leur talent.  

“En 1989, j’étais intermittent du spectacle. Je cherchais à arrondir mes fins de mois. J’ai répondu à une proposition d’intervenir dans un foyer pour personnes en situation de handicap. Je ne connaissais pas du tout le handicap. J’ai senti un véritable engouement. Il y a un certain nombre de choses qui sont tout à fait passionnantes dans la façon dont elles abordent le théâtre. Et c’est ça qui m’a fasciné à l’époque”, explique Olivier Couder.

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Une formation adaptée

Le Théâtre du Cristal propose une formation théâtrale spécifiquement adaptée aux besoins des comédiens en situation de handicap. Les ateliers et stages proposés par la compagnie sont conçus pour développer les compétences artistiques des participants. Les formations incluent des techniques de jeu, de la mise en scène et des aspects techniques du théâtre. Elles permettent aux comédiens d’acquérir une expérience complète et professionnelle. Les méthodes pédagogiques du Théâtre du Cristal favorisent ainsi l’expression personnelle et artistique de chaque individu. “Le Théâtre du Cristal m’a vraiment apporté confiance en moi. Je suis arrivé en 2017 et je peux dire qu’aujourd’hui, je suis un comédien”, confie Eli, comédien au Théâtre du Cristal. 

En faisant tomber les barrières, le Théâtre du Cristal prouve que l’art peut être un puissant levier de changement social. 

L’idée de Digital U est née il y a quelques années. Observant à quel point le numérique a infiltré tous les aspects de nos vies, deux étudiants ont décidé de matérialiser cette réflexion à travers la mode. Leur but est ainsi de sensibiliser et d’inviter les gens à réfléchir à cette transformation numérique omniprésente. Chaque processus de réflexion est à l’origine d’un ensemble de symboles graphiques qui se décline en vêtements. 

Le « u », qui apparaît dans le nom de la marque, est l’abréviation de « universe », mais prend également le sens oral de « you ». Il s’agit d’une invitation adressée au lecteur à considérer les dérives représentées sur chaque vêtement. 

Six thèmes sont abordés dans cette collection

Robinson et Pauline ont fait le choix de traiter six thèmes différents : la pensée de groupe, le narcissisme, la sexualité, l’énergie vitale, la mémoire et la fonction imaginative.

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Dans notre univers digital, la mémoire est réduite à une galerie de photos consultable en permanence et sans effort. Cette nouvelle mémoire présente une particularité, puisqu’elle ne sollicite qu’un seul de nos cinq sens : la vue. “Au recto de ce tee-shirt, nous retrouvons l’inscription familière « digital u », entourée d’une forme intrigante. Cette forme représente l’hippocampe cérébral, qui est quelque peu modifié. L’hippocampe a pour rôle de lier les cinq sens de l’être humain pour former un souvenir complet”, explique Robinson.

Au verso du tee-shirt, une photographie d’une scène d’anniversaire. Elle fait ainsi écho à un souvenir universel, auquel le cerveau associe spontanément des émotions agréables, comme la satisfaction, la joie, l’euphorie, le partage, l’amour. 

“Digital U” est bien plus qu’une simple marque de vêtements. C’est un projet passionné qui met en lumière les défis et les opportunités de l’ère numérique. 

À Montesson, près de Paris, les consommateurs peuvent désormais déposer tous leurs emballages réemployables dans le Collector. Cette borne de collecte se retrouve aujourd’hui au sein de l’hypermarché Carrefour. Loop et l’entreprise The Keepers ont imaginé ensemble cette solution simplifiant la consigne.

Start-up de l’économie circulaire, Loop a pour ambition de résoudre le problème des déchets à la source. De son côté, The Keepers conçoit des bornes connectées. Ensemble, ils se sont tournés vers le réemploi et proposent une solution facile d’utilisation et clef en main. Cette première borne de collecte universelle permet ainsi d’identifier tout type d’emballages consignés afin de rendre l’expérience de la consigne plus simple.

Le Collector occupe également une mission de sensibilisation des consommateurs dans les grandes surfaces. Reposant sur l’intelligence artificielle, le Collecteur prône la démocratisation du réemploi dans les supermarchés et les hypermarchés. Loop s’occupe de son côté d’opérer la logistique de retour. Les contenants sont alors nettoyés, remplis à nouveau et remis en vente. Un produit consigné Loop permet ainsi de réduire jusqu’à 45% les émissions de gaz à effet de serre.

Avec le Collector, les consommateurs choisissent leur mode de remboursement privilégié. Que ce soit par bons d’achat, par carte bancaire ou encore en faisant don à une association, la transaction est effectuée instantanément. Les retours encourageants de cette borne poussent aujourd’hui The Keepers et Loop à déployer leur solution à travers la France.

“Cette exposition est une occasion de montrer au jeune public comment, quand on a une idée et des rêves pleins la tête, on peut incarner ses désirs avec un simple petit bout de cahier et un crayon. Des dessins peuvent donner naissance à de très gros projets”, explique Matthieu Orléans, commissaire de “L’Art de James Cameron”. Dessins, pastels, peintures, accessoires… L’exposition rassemble près de 300 œuvres originales du réalisateur canadien. 

Crédit James Cameron

Créer des personnages avec le dessin  

Le dessin a une place importante dans la carrière de James Cameron. Dès son plus jeune âge, il a rempli ses carnets de croquis de créatures extraterrestres et de mondes imaginaires. Lors de ses premiers pas au cinéma, il a réalisé lui-même des affiches pour des films à petit budget. C’est aussi à partir de croquis qu’il a construit son personnage de T-800, alias le Terminator, incarné par Arnold Schwarzenegger. 

De “Titanic” à “Avatar”, l’exposition se divise en six espaces qui retracent les grands projets du réalisateur. En la découvrant en avril, lors de son vernissage, James Cameron a affirmé qu’il avait l’impression de “regarder une autobiographie de son art”. “L’Art de James Cameron” regorge de secrets de cinéma.

Pratique : “L’Art de James Cameron” est visible jusqu’au 5 janvier 2025 à la Cinémathèque à Paris.

Le LAB3S intervient sur le territoire du Grand Paris, avec une attention plus particulière portée à la Seine-Saint-Denis. C’est ici que l’association est implantée et qu’elle développe la plupart de ses partenariats. 

La structure ne se contente pas de promouvoir des pratiques écologiques et agricoles responsables. Elle a pour but de créer un véritable écosystème où chaque projet est conçu pour avoir des retombées positives à plusieurs niveaux : du sol à l’assiette, en passant par les savoirs et les saveurs. 

Du potager à la marmite

À l’échelle de la métropole parisienne, les inégalités d’accès à une alimentation saine et variée sont particulièrement marquées. En Seine-Saint-Denis, où près de trois personnes sur dix vivent sous le seuil de pauvreté, la consommation de fruits et légumes est entravée par divers obstacles : une offre limitée de produits, des prix élevés et le manque de diversité.

Le LAB3S mène plusieurs projets de recherche-action. Notamment en collaboration avec AgroparisTech, le CNRS et l’IRD pour la recherche, ainsi qu’avec la ville de Bondy et ses associations. Ces initiatives visent à soutenir le développement de filières locales d’approvisionnement, et même d’autoproduction, de fruits et légumes.

Pour en savoir plus : le projet du potager à la marmite

L’association LAB3S est un véritable laboratoire d’idées et de solutions pour un avenir meilleur. Ses actions en Seine-Saint-Denis illustrent comment l’innovation collaborative peut transformer positivement les territoires. 

Le jardin partagé de la Noue Caillet est né de la volonté de plusieurs associations locales, soutenues par la municipalité de Bondy et la Fondation des solidarités urbaines. Parmi ces acteurs, le LAB3S – pour Sols, Savoirs et Saveurs.

Depuis 2019, cette association aménage un tiers-lieu agroécologique. Il est dédié à la transition alimentaire sur ce territoire dépourvu d’espaces verts et d’offre alimentaire diversifiée, de qualité et à un prix accessible.

Un écosystème diversifié

Son objectif principal est de favoriser le lien social entre les habitants, tout en promouvant des pratiques de jardinage respectueuses de l’environnement. Ouvert à tous, ce jardin permet aux résidents de se rencontrer, d’échanger des conseils et des savoir-faire. Mais également de cultiver ensemble des légumes, des fruits et des plantes aromatiques. “C’est mon petit coin de paradis. Chaque fois que je viens ici, j’oublie tout. Cela m’a aussi permis de nouer des liens avec d’autres habitants. Et je me sens beaucoup moins seule”, explique Khadija, bénévole à l’association LAB3S.

Un jardin partagé à Bondy
Mathilde Lecocq / AirZen Radio

Le jardin est divisé en différentes parcelles. Chacune est cultivée selon les principes de l’agriculture biologique, sans pesticides ni engrais chimique. En plus des légumes et des fruits, le jardin accueille une grande diversité de plantes. Celles-ci favorisent ainsi la biodiversité et la présence d’insectes pollinisateurs. 

Des activités éducatives et culturelles

Au-delà de la simple culture de plantes, le jardin partagé accueille régulièrement des ateliers et des événements pour sensibiliser le public aux enjeux environnementaux et promouvoir un mode de vie plus durable.

Le succès de ce jardin inspire par ailleurs d’autres quartiers de Bondy et des communes environnantes à lancer des projets similaires. Il démontre qu’avec de la volonté et de la coopération, il est possible de transformer des espaces urbains en véritables poumons verts, bénéfiques pour la communauté et l’environnement.

C’est un lieu chargé d’histoire, où le temps semble s’être figé. Dans le Val-d’Oise, l’auberge Ravoux, nommée aussi “la Maison de Van Gogh”, est classée monument historique. C’est ici que le peintre Vincent van Gogh a séjourné en 1890, au cœur du village d’Auvers-sur-Oise.

Il y louait une petite chambre mansardée de 7 mètres carrés, pour la modique somme de 3,50 francs. C’est aussi là qu’il décédera, le 29 juillet 1890. Depuis, par superstition, la chambre n’a plus jamais été relouée.

“Il y a eu un travail pour figer ce décor dans le temps”  

“Cette petite chambre a longtemps été considérée comme “la chambre du suicidé”. Le lieu est donc resté inhabité, intact. Il y a quand même eu un travail de réhabilitation pour accueillir du public, mais nous n’avons pas touché à l’esprit de cet endroit. C’est pour ça qu’on présente une chambre vide aujourd’hui”, assure Stéphanie Piard, directrice adjointe de l’établissement. 

Aujourd’hui, le temps a fait son œuvre et des fissures sont apparues sur les murs de la chambre. Lorsqu’on grimpe à l’étage, l’effet est immédiat. Nous voilà 134 ans en arrière, de retour au XIXe siècle. Les équipes passionnées de l’Auberge Ravoux racontent cette histoire lors de visites guidées, sur réservation. Un film sur Van Gogh, à Auvers-sur-Oise, vient clôturer également la visite. 

Un coup de pouce. L’antenne parisienne de l’association Un petit bagage d’amour a lancé une campagne de financement participatif pour acquérir des poussettes et des porte-bébés. Ceux-ci sont destinés aux femmes enceintes et mamans en situation de grande précarité, la structure venant en aide à ce public. En effet, chaque mois, elle distribue en moyenne 300 valisettes de maternité avec l’essentiel. Adaptées à leurs conditions de vie, elles contiennent des layettes, des biberons, des couches, des couvertures, une gigoteuse, etc.

« On a participé à un concours pour être sélectionné. C’est une campagne organisée par Ulule et soutenue par la fondation Monoprix. Elle nous a sollicités pour qu’on dépose un dossier [dans le cadre d’un appel à projets “Femmes Sans Domicile”, NDLR]. On a été retenu », explique Camille Barrère De Toledo, vice-présidente de l’association. La fondation double les contributions, dans la limite de 4000 euros.

« Tout de suite, l’idée nous est venue de créer une cagnotte pour acheter des porte-bébés et des poussettes neuves. Nos bénéficiaires sont des mamans sans domicile fixe, qui bougent toute la journée, précise-t-elle. Elles vont d’un lieu d’accueil à des hôtels sociaux et, parfois, elles dorment dans la rue la nuit. Le moyen de transport le plus sécurisant est donc ces accessoires. On a estimé que ce sont des outils indispensables à ces mamans. »

Aussi, elle ajoute que les dons faits à ce niveau-là sont peu et parfois abîmés. « Nous, on aime offrir des poussettes toutes neuves pour qu’elles puissent accueillir leur bébé dans leur carrosse tout neuf. » En atteignant le premier pallier de 5 000 euros, Un petit bagage d’amour pourrait acheter 40 poussettes et 30 porte-bébés.

À lire aussi : Association : un Petit bagage d’amour aide les mères en grande précarité

AirZen Radio. Comment définiriez-vous le mouvement impressionniste en peinture ?  

Wouter van der Veen. Plus qu’un mouvement, l’impressionnisme est un véritable phénomène. Durant la première moitié du XIXe siècle, des jeunes gens issus de milieux plutôt aisés ont décidé de casser les barrières de l’art figuratif. Ils sortaient enfin des ateliers pour se rendre au contact du réel et de la nature. Ces artistes ont trouvé de nouvelles techniques pour représenter la nature, qui devient alors un personnage à part entière, voire le sujet principal. Le mot impressionnisme vient de l’impression, l’émotion que le peintre ressent face au paysage. C’est cette impression qu’il va partager avec les autres.  

Quelles sont les techniques utilisées dans ces œuvres ? 

Ces peintres vont reconstituer une teinte en disposant de petites touches de couleur les unes à côté des autres. Pour représenter un plan d’eau au crépuscule, par exemple, on peut utiliser toutes les couleurs de l’arc-en-ciel. L’important est de créer la bonne symphonie de couleurs. Cela donne une vibration particulière, que l’on n’obtient pas lorsqu’on mélange les couleurs sur la palette. À une certaine distance, l’illusion opère. Notre œil reconstitue la teinte voulue par le peintre.  

En dehors des paysages, est-ce que le style impressionniste s’applique aussi aux portraits ? 

Le visage va également s’y prêter. La façon de représenter une carnation, la peau humaine, est un défi majeur de l’histoire de l’art. C’est très difficile, car elle change de couleur selon le moment de la journée, l’humeur. Les peintres appliquent alors ces techniques acquises au contact des paysages, pour les visages humains. Et cela va déclencher des réactions outrées de la part des critiques. Pour eux, appliquer du vert pour un visage signifie que la personne est décédée ! Mais cette utilisation de la couleur verte, avec la complémentaire du rouge, permet d’obtenir un très beau mélange, qui donne la carnation finement. 

Wouter van der Veen est commissaire de l’exposition “Van Gogh, les derniers voyages“, à découvrir jusqu’au 29 septembre 2024 au château d’Auvers, à Auvers-sur-Oise, dans le Val-d’Oise.

Les objectifs de Fondation d’entreprise des solidarités urbaines sont multiples. Tout d’abord, renforcer la cohésion sociale en créant des espaces de dialogue et de rencontres, et en soutenant des initiatives communautaires. Elle réduit également les inégalités par des programmes éducatifs et de formation professionnelle adaptés aux besoins des populations défavorisées.

Puis, elle favorise l’inclusion en accompagnant les personnes en difficulté dans leur parcours d’insertion sociale et professionnelle. 

La rue de la solidarité

Dans le quartier Danube, dans le 19ᵉ arrondissement de Paris, un quart des foyers vivent sous le seuil des bas revenus. Et 94 % des logements sont des logements sociaux. Lors de réunions publiques, les habitants ont exprimé leur désir d’être mieux informés sur les dispositifs existants, d’améliorer leur cadre de vie et d’avoir un meilleur accès à la culture. C’est précisément l’objectif de l’initiative lancée par l’association D2L.

Le projet soutient ainsi depuis 2021 le développement d’initiatives autour de deux axes principaux. La revalorisation de l’espace urbain et la mise en place de services mutualisés. Cette démarche vise à renforcer le lien social et à promouvoir la co-construction en réunissant les habitants, les bailleurs sociaux, les acteurs institutionnels et les associations.

La Fondation d’entreprise des solidarités urbaines joue un rôle crucial dans la lutte contre les inégalités et la promotion de la cohésion sociale en milieu urbain. Par ses initiatives diversifiées et son approche inclusive, elle contribue activement à bâtir des villes plus justes, plus solidaires et plus humaines.

Il fait partie des 54 centres culturels étrangers de la capitale. Le Centre culturel coréen, installé dans le 8ᵉ arrondissement depuis 2019, est un espace pluridisciplinaire. Le public peut y découvrir des expositions en lien avec la Corée, comme l’exposition en cours “NOLI : jeux coréens“, ou participer à des ateliers artistiques et des cours de langue coréenne.

Une dizaine de centres culturels coréens en Europe 

“Le centre culturel coréen de Paris a ouvert en 1980. Jusque dans les années 2000, c’était le seul centre coréen d’Europe. Depuis, une dizaine d’autres centres culturels ont ouvert leurs portes. Le gouvernement a choisi d’installer ce premier centre à Paris, car c’est la capitale culturelle européenne”, explique Il-Yul Lee, le directeur.  

Cinéma coréen

Cinéma, musique K-pop, cosmétiques, la Corée du Sud se fait de plus en plus remarquer sur la scène internationale. “Comme la France, nous sommes doués en breakdance. On remporte beaucoup de prix internationaux. Et la spécificité du cinéma coréen, c’est de mélanger différents genres. Un film peut mixer horreur, thriller, drame et comédie, à l’image du film “Parasite” de Bong Jono-Ho. Le cinéma coréen parle beaucoup de sujets intimes et sociétaux”, détaille Hye in Ryu, responsable des spectacles au Centre.

L’Association pour le droit à l’initiative économique (ADIE) est une structure reconnue pour son engagement en faveur de l’entrepreneuriat. Elle accompagne les personnes n’ayant pas accès au crédit bancaire classique, leur permettant ainsi de lancer ou de développer leur activité.

Grâce à des microcrédits, des formations et un suivi personnalisé, l’ADIE contribue à l’insertion professionnelle et à l’autonomie financière de nombreux individus.

Le marché des créateurs à Fontenay-aux-Roses

À Fontenay-aux-Roses (Hauts-de-Seine), un marché des créateurs a réuni, le 15 mai, une quinzaine de créateurs issus de divers horizons, présentant des produits variés allant de la bijouterie artisanale à la céramique, en passant par les textiles faits main et les objets décoratifs jusqu’à la production de kombucha. Les visiteurs ont pu découvrir des pièces uniques et échanger directement avec les artisans, chacun partageant avec passion les histoires et les techniques derrière leurs créations. “Le kombucha est avant tout une affaire de famille. Grâce à l’ADIE, j’ai pu réaliser mon projet. Leur aide a été déterminante pour moi. L’ADIE m’a non seulement permis de financer mon projet, mais aussi de bénéficier de conseils précieux pour développer mon activité”, explique Ati Hozhabri, fondatrice de DOOSTI, une marque de kombucha.  

En encourageant ces initiatives, l’ADIE contribue à la création d’un réseau solidaire et dynamique, où chaque entrepreneur peut trouver sa place. Ce marché des créateurs a non seulement mis en valeur des talents, mais a également illustré le rôle crucial de l’ADIE dans le soutien et le développement des initiatives économiques.

Cette année, le rendez-vous est donné le 22 juin à la gare RER de La Courneuve, en Seine-Saint-Denis. La Pride des banlieues revient pour une quatrième édition avec pour thème central la lutte contre la récupération des combats LGBTQI+ par l’extrême droite. 

“Avec cette marche, on veut montrer la réalité des personnes queers en banlieue. Et mettre nos problématiques sur le devant de la sphère médiatique”, détaille Jill, coordinateur de la pride. 

“On veut être le plus juste possible dans nos revendications”  

“Tous les ans, on marche pour une revendication différente. En 2021, on marchait pour réclamer 10 000 places en hébergement d’urgence en Seine-Saint-Denis. L’an dernier, c’était l’accès à une réelle PMA pour tous.tes. Car les personnes racisées attendent jusqu’à 10 ans pour obtenir des dons de gamètes et une PMA. On essaye d’être à l’intersection de toutes ces discriminations, pour être le plus juste possible dans nos revendications”, explique Jill.

Trois marches des fiertés différentes à Paris 

À Paris, il existe trois grandes marches des fiertés : la Marche des fiertés, créée en 1970, la Pride des banlieues et la Pride radicale, créée en 2021. “Auparavant, la Marche des fiertés s’appelait “gay pride”. Mais le nom a changé, car il n’y a pas que des gays qui défilent lors de ces marches. C’était un nom beaucoup trop restrictif.”

L’an dernier, la Pride des banlieues a rassemblé près de 15 000 personnes. L’événement a d’ailleurs permis d’aboutir à une proposition de loi pour réduire les inégalités d’accès à la PMA. 

Pratique.
Pride des banlieues : le 22 juin à 13:30, arrêt “La courneuve – Aubervillers”, RER B. 

À Paris, les établissements culturels qui investissent des friches pour les transformer en lieux de vie conviviaux sont nombreux. En témoigne la petite ceinture, une ancienne voie de chemin de fer qui encercle Paris. Sur ses différentes parties, elle est parfois transformée en parc, parfois en lieu festif. Dans le 20ᵉ arrondissement, un terrain de 900 mètres carrés accueille le 88 Ménilmontant. Ce bar en plein air, tenu par les équipes de la Bellevilloise, propose des jeux et activités ouverts à tous. Cet établissement culturel, bien connu des habitants du quartier, a eu plusieurs vies depuis son ouverture en 1877.

“On exploite cette friche en attendant les futurs travaux de Paris Habitat, car des logements étudiants vont être implantés ici. En 2014, il y avait ici la Miroiterie, un squat artistique qui a dû fermer ses portes à la suite d’un accident. Nous nous occupons de cette friche depuis 7 ans,” raconte Marin de l’équipe du 88 Ménilmontant. Plantes vertes, arbres, jeux en plein air, transats… Les équipes de la Bellevilloise ont transformé la friche en un espace vert où flâner et prendre un verre le soir ou en journée. 

Crédit 88 Ménilmontant

“Il y a trop peu d’espaces verts dans le 20ᵉ” 

“J’habite dans le 20ᵉ arrondissement depuis des années, mais les espaces verts se font rares. Près de chez moi, pendant un moment, il y avait un jardin. Mais la ville a construit un immeuble à la place. Il y a un réel besoin de nouveaux logements à Paris, c’est certain. Avec mes enfants, en matière d’espace vert, on a peu de choix : le parc de Belleville ou les Buttes Chaumont, plus loin… C’est aussi pour ça que j’aime venir au 88 avec eux”, conclut Marco, un habitué des lieux. 

Même si chacun a sa pizzeria préférée dans telle ou telle ville, il existe des classements officiels qui n’ont de valeurs que celle qu’on veut bien leur donner. Pourtant, le site italien extrêmement influent 50toppizza.it, qui classe les pizzerias de par le monde, reste tout de même un bon indicateur du respect traditionnel que l’on attend d’une pizza : une pâte qui a poussé pendant de longues heures, des produits bien choisis et un résultat dont le prix n’est pas délirant. Ici, point de pizza marseillaise à l’emmental, point de pan pizza américaine qui dégouline, seule la pizza napolitaine est mise en avant, l’Italie n’apprécie pas que l’on déroge à la règle qu’elle a édictée.

Dans le dernier classement Europe, c’est Imperfetto, une pizzeria de Puteaux (Hauts-de-Seine), qui arrive à la 7ᵉ place. Pas de podium, mais si l’on ne fait que le classement métropolitain (un peu de chauvinisme n’a jamais tué personne), Imperfetto se retrouve ainsi première pizzeria de France. Créée par Tonino Cogliano, le pizzaiolo, originaire de Campanie, et Simone Lombardi, le directeur de salle, originaire du Latium, Imperfetto vise l’excellence… mais sait qu’il ne l’atteindra jamais, d’où son nom (“imparfait”, en italien).

Tonino Cogliano n’est pas un petit nouveau dans les concours. Déjà en 2015, il remportait le titre de « Champion du monde de la pizza napolitaine » à Las Vegas.

Quand on leur demande ce qui a fait pencher la balance pour obtenir cette 7ᵉ place européenne, les restaurateurs n’hésitent pas à invoquer la pizza Tributo, un hommage gourmand à leurs deux régions d’origine. Elle est composée d’un pesto de friarielli (sorte de brocoli napolitain), de mozzarella fior di latte, de stracciatella, d’anchois et d’olives Taggiasca. Deliciosa !

L’association À Travers les murs se donne pour mission de redonner confiance et dignité aux détenus. Les cours d’éloquence offrent ainsi aux participants l’opportunité de travailler sur leur capacité à s’exprimer clairement et efficacement. Ils apprennent, non seulement à maîtriser leur discours, mais aussi à structurer leur pensée. Ils peuvent aussi développer leur esprit critique et gérer leurs émotions.

Des étudiants bénévoles, experts en art oratoire

Imaginée en août 2020 par Ilan Volson-Derabours, l’association À Travers les murs propose des formations à la prise de parole et à l’éloquence pour les personnes incarcérées. Ces formations sont dispensées par des étudiants bénévoles, experts en art oratoire. Comme, par exemple, des vainqueurs de concours d’éloquence et des enseignants. Elles visent à favoriser la réinsertion sociale et professionnelle des détenus en développant des compétences pratiques spécifiques. Parmi elles, la simulation d’entretien d’embauche, le débat contradictoire, la posture judiciaire, l’improvisation et l’éloge. L’objectif n’est pas de supprimer l’éloquence naturelle des participants, mais de la perfectionner en leur fournissant les codes nécessaires pour s’adapter au monde professionnel, administratif et social. 

“Nous collaborons avec la Fondation de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne pour créer une attestation qui reconnaît l’engagement des participants et peut être utilisée, notamment, dans le cadre professionnel”, explique Lucas Galand, vice-président de l’association. 

À Travers les murs incarne une vision progressiste de la réhabilitation en milieu carcéral. Elle offre aux détenus bien plus qu’une simple compétence. Elle leur redonne espoir, dignité et une véritable chance de se réinventer. 

Il passe difficilement inaperçu parmi les bateaux amarrés Quai de la gare, tout près de la Bibliothèque nationale de France François-Mitterrand, à Paris. Le Bateau Phare est l’un des derniers bateaux-feus encore visibles en France. Ces bateaux, construits il y a près de 150 ans au Royaume-Uni, possèdent un gros phare rouge sur leur mât. Ils permettaient notamment de prévenir les dangers en mer.

C’est un tout autre usage que lui ont trouvé, bien des années plus tard, les équipes du Batofar, ancien temple underground de la nuit parisienne.  

“Il y a 20 ans, c’était le seul endroit où sortir”  

“À la fin des années 90 début 2000, le Batofar proposait une programmation techno assez pointue. Il y avait beaucoup de friches ici, dans le 13ᵉ arrondissement. Le port n’était pas aménagé tel qu’il l’est aujourd’hui. C’était un lieu atypique, isolé, et le Batofar était le seul endroit du coin où sortir”, explique Alexandra Bouigue, la nouvelle propriétaire du bateau.

Le Batofar a fermé définitivement ses portes en 2018. Le bateau est passé entre les mains de plusieurs propriétaires qui avaient différents projets, liés au monde de la culture et de l’évènementiel, toujours. Des projets qui sont tous tombés à l’eau.  

Conquérir un nouveau public  

“On a décidé de créer un tout nouveau concept, avec de nouvelles équipes. On souhaite attirer un public bien plus large, de 7 à 77 ans. Les dimanches après-midi, nous proposons des spectacles pour enfants, mais aussi du stand-up, du théâtre immersif… Et on garde les soirées technos pour le vendredi soir.”

Le bateau a subi d’importants travaux de rénovation. Il a été stabilisé, les cuisines ont été entièrement retravaillées. Deux espaces terrasse sont proposés aux beaux jours : l’un à l’étage, l’autre sur le quai.

Retrouvez toute la programmation du Bateau phare ici

La manifestation Ensemble à vélo est née en 2012. La toute première édition s’intitulait alors “Toutes à vélo”, car il s’agissait initialement de promouvoir le sport au féminin. “Il y avait une forte demande de la part des femmes d’avoir un évènement bien à elles”, raconte Martine Cano, présidente de la Fédération française de cyclotourisme, à l’origine de la manifestation. Pour cette édition 2024, année olympique oblige, il était symbolique de revenir dans la capitale. Par ailleurs, la demande de mixité étant importante, l’évènement est naturellement devenu Ensemble à vélo.

Le rendez-vous, ouvert à toutes et tous, est avant tout l’occasion de retrouvailles et un moment festif. “On revoit des amis et on rencontre de nouvelles personnes. Et de ces rencontres naissent parfois des projets communs.” Cette manifestation grandit à chaque édition. “Il y a un réel engouement. C’est comme une chaîne sur laquelle viendraient à chaque fois se greffer de nouveaux maillons.” 

Cette grande fête était ponctuée d’une parade, d’un pique-nique géant et de diverses activités autour du vélo, venant ainsi clôturer Mai à vélo, opération destinée à faire progresser le nombre de pratiquants à travers le pays. “Pour nous, c’est toute l’année à vélo, précise Martine Cano. Mais on met l’accent, bien sûr. On encourage nos associations à proposer des événements supplémentaires au mois de mai. Le rendez-vous a avant tout été créé pour le grand public, celui qui n’a pas forcément l’habitude de pratiquer, avec l’espoir que, s’il y trouve son plaisir au mois de mai, il continuera au-delà, et pas seulement un mois par an.”

Fédération française de cylcotourisme

Un cyclotourisme multiple

Parmi les autres temps forts organisés par la Fédération, par exemple, une semaine annuelle lors de laquelle les participants peuvent visiter un département différent. Cette année, les cyclotouristes ont ainsi décidé de se retrouver à Roanne, dans la Loire, l’année dernière, c’était en Lorraine, et l’année prochaine dans la région d’Orléans. Des circuits sont proposés et chacun choisit la distance qu’il préfère. Ces retrouvailles permettent également de découvrir le patrimoine géographique, historique, gastronomique de la région en question. Des voyages plus longs sont par ailleurs proposés. Un groupe s’est par exemple constitué pour rallier Athènes depuis Paris, en cette année olympique. Le périple aura duré un mois.

Mais le cyclotourisme ne consiste pas forcément à réaliser des distances incroyables à vélo. “Cela peut se faire une ou deux heures autour de chez soi. On peut faire du cyclotourisme et se déplacer à vélo partout”, rassure Martine Cano. “Il n’y a pas un cyclotourisme, il y a mille cyclotourismes. Il y en a pratiquement autant que de pratiquants”. Et chacun va y trouver son plaisir. Que ce soit lors d’une balade le long d’un canal, en bord de mer ou, pour les plus sportifs, en montagne pour collectionner les montées de cols et profiter de magnifiques panoramas une fois au sommet, par la route ou par les chemins pour les vététistes. Le kaléidoscope d’activités est très varié.  

Un mode de voyage pas si récent

Un plaisir cyclotouristique qui ne date pas d’hier, bien que l’engouement récent ne fasse que progresser en France. Si la Fédération française de cyclotourisme vient de fêter ses 100 ans, les premiers voyageurs n’ont pas attendu sa création pour se lancer à l’assaut des routes. Les premiers courageux ont réalisé des raids qui peuvent paraître incroyables aujourd’hui. Au XIXe siècle, déjà, certains ont traversé la France ou sont allés jusqu’en Russie à vélo. Et puis, au début du XXe siècle, la pratique a pris encore plus d’essor grâce aux Anglais, très actifs dans le domaine, mais aussi dans la région de Saint-Etienne, un des bastions historiques de l’industrie du cycle, ou encore en région parisienne. Peu à peu, ces passionnés de bicyclette se sont réunis en clubs, pour visiter leur région, d’abord, puis la France. “On peut citer les frères Michaux, qui sont allés de Paris à Avignon. D’autres sont partis de la région nantaise pour rejoindre la Provence. Ça a été une période de grand engouement en la matière.”  

Si, à ses origines, l’engin n’était pas très connu du grand public, et réservé à une élite sociale car il fallait pouvoir s’offrir cette nouvelle machine, les débuts de l’industrialisation ont répandu la bicyclette à grande échelle. Il existait même des manèges pour les enfants pour apprendre à monter à vélo.

Aujourd’hui, la Fédération est présente dans toute la France, avec près de 180 clubs locaux. Ses membres conseillent en matière d’équipement, de santé, prodiguent des stages et formations pour apprendre à lire une carte, à se débrouiller seul en voyage, à réparer son vélo, à mieux s’alimenter, à gérer son effort. Des formations sont aussi à destination des plus jeunes, avec le programme Savoir rouler à vélo, et aux adultes qui éprouvent le besoin de se perfectionner, ou de se remettre dans le bain après des années de pause.

Pour un module cycliste dans le permis de conduire

C’est là que les conseils pour un bon équipement sont importants, mais aussi sur la façon de se comporter en groupe, de respecter le Code de la route. “Nous avons énormément progressé en matière de sécurité. On essaie d’organiser davantage de formations encore, mais je pense que la meilleure solution, celle que nous essayons d’obtenir depuis plusieurs années, c’est que, dans l’apprentissage de la conduite motorisée, il y ait un module pour que le futur conducteur soit, au moins une fois, à vélo, dans la circulation, pour qu’il se rende compte de ce que cela représente quand il frôle une cycliste à 30 cm alors que le minimum en ville est d’un mètre, 1,50 m en campagne. On a obtenu des progrès, notamment en ce qui concerne les angles morts des gros véhicules. Il y a de plus en plus d’aménagements. Mais le travail reste important.”

La Fédération française de cyclotourisme travaille main dans la main, depuis de nombreuses années, avec l’Éducation nationale, le ministère des Sports et celui du Tourisme, puisque tous ces domaines sont abordés par la discipline. Sans oublier le rapport à la santé, car l’activité physique, notamment le vélo mais pas uniquement, est bénéfique à la santé de chacun et chacune. 

“À Paris, nous sommes les seuls à offrir un service de meubles d’occasion en centre-ville, qui inclut une livraison et de la réparation. Sur des grandes plateformes de revente de meubles entre particuliers, on est confronté à plusieurs problèmes : le transport, la manutention, l’échange d’argent en liquide… Ici, nous nous occupons de tout”, explique le dynamique Bruno Jean, dans sa petite boutique du Marais.  

Son entreprise, les Meubles circulaires, se divise en plusieurs activités. D’abord, un site Internet, où les particuliers peuvent enregistrer très simplement les meubles qu’ils vendent. Puis, un magasin avec des meubles de seconde main et un atelier de réparation. Enfin, une livraison gratuite assurée par Bruno lui-même, à l’aide de son vélo cargo.  

1,5 million de tonnes de meubles jetées par an en France 

“L’idée de cette société est née lorsqu’un soir, dans ma cour d’immeuble, j’ai découvert une très belle armoire en bois. Il y avait un petit mot dessus : un voisin s’excusait de la présence du meuble, qui devait être acheté par un particulier via un site de revente. Or la personne en question n’est jamais venue. L’armoire est donc partie aux encombrants. Ça a fait tilt directement.”

En deux ans, Bruno a réparé plus d’une centaine de meubles. “Notre objectif est d’ouvrir d’autres comptoirs similaires dans toute la France. On est en recherche active de porteurs de projets pour répliquer les Meubles circulaires.”  

Conçu comme une véritable aventure éducative, le Repair Café Kids, à Fontenay-aux-Roses (Hauts-de-Seine), invite les enfants à découvrir le monde de la réparation grâce à une approche ludique et participative. Encadrés par des bénévoles passionnés et compétents, les jeunes Fontenaisiens ont alors l’opportunité d’apprendre les bases de la réparation en s’amusant. Que ce soit en réparant des jouets cassés ou en donnant une seconde vie à des objets du quotidien. 

Au-delà de l’aspect ludique, le Repair Café Kids s’inscrit dans une démarche en faveur de l’environnement et de la communauté locale. En apprenant à réparer et à prolonger la durée de vie des objets, les enfants contribuent en effet activement à réduire le gaspillage et à préserver les ressources de la planète. Aussi, les jeunes Fontenaisiens s’impliquent ici dans une démarche collective visant à créer un environnement plus durable et solidaire.  

Un engagement pour l’environnement 

“Aujourd’hui, Angelo est venu avec un pistolet laser, un jeu pour enfants qui ne fonctionnait plus très bien. La première étape, lorsqu’on répare un objet, est d’examiner l’alimentation, car c’est souvent là que réside le problème. Je lui ai fait ouvrir le compartiment des piles. Nous avons rapidement constaté la présence de rouille, expliquant ainsi l’impossibilité des piles de fonctionner”, explique ce jour-là Christophe Guyon, co-fondateur de l’association Fontenay Environnement et Transition, à l’origine du projet.

En participant au Repair Café Kids, les enfants de Fontenay-aux-Roses ont l’occasion de devenir des acteurs du changement, mais aussi de contribuer activement à la construction d’un avenir plus durable et solidaire. En développant leurs compétences en réparation et en sensibilisant leur entourage à l’importance de la préservation de l’environnement, les jeunes participants incarnent ainsi les valeurs d’engagement et de responsabilité portées par l’association Fontenay Environnement et Transition.