L’année 2022 est peut-être celle du réveil climatique. En tout cas, le sujet occupe le devant de la scène, autant politique que médiatique. Le sujet du changement climatique fait d’ailleurs partie des principales préoccupations de la population. C’est d’ailleurs le thème choisi pour la Fête de la science, qui se tiendra du 7 au 17 octobre.
Comment mieux agir pour la planète ? Mieux consommer ? Moins polluer ? Quelles sont les avancées de la science et de la recherche concernant les énergies renouvelables, le transport, l’industrie, et tous les autres domaines pour limiter les gaz à effet de serre ? La Fête de la science est peut-être le moyen de créer un lien, une discussion, entre les scientifiques et le grand public. Et peut-être même de créer des vocations.
Pour cette 31e édition, plusieurs villages de la science seront implantés un peu partout en France. Un véritable concentré de sciences et d’expérience virgule pour partager au plus grand nombre.
La science touchant des domaines variés, l’événement prendra des formes différentes : des déambulations, des spectacles, des visites de laboratoire ou d’écoles d’ingénieurs, des expériences et des débats.
Retrouvez le programme ici.
Alexis Michel, un des ambassadeurs de l’événement, nous en parle.
Vous avez déjà rêvé de vous glisser dans la peau d’un astronome ? De visiter le plus grand four solaire d’Europe ? De voyager à l’intérieur du cerveau ? De pénétrer dans une salle blanche ? D’être plongé dans un monde virtuel et d’en devenir un des personnages principaux ? De découvrir la vie secrète de nos légumes ? Ou encore de courir sur Mars ?
Ce sera possible de le faire entre le 7 et le 17 octobre, lors des visites insolites du CNRS, à l’occasion de la Fête de la science. Le CNRS ouvre les portes de certains de ses laboratoires les plus prestigieux, et souvent interdits au public.
Mieux encore, certains d’entre nous pourront partager un incroyable moment lors d’expériences avec les scientifiques. Cette visite peut aussi être l’occasion de poser des questions aux scientifiques sur leur parcours, et de partager leur quotidien. Et, pourquoi pas, de créer des vocations ?
Émilie Smondack, du pôle événements du CNRS, nous donne le programme et nous explique en quoi cette expérience est rare.
Pour tout savoir sur les visites insolites à travers la France, le programme, et les inscriptions pour les prochaines années rendez-vous ici.
Et vous ? Quand écoutez-vous de la musique ? Le matin en buvant le café, sous la douche ou le soir en rentrant du travail ? Mais écoutez-vous de la musique juste avant de dormir ?
Une récente étude menée sur une soixantaine de volontaires vient de démontrer que le fait d’écouter de la musique, qu’elle soit triste ou joyeuse, avant de se coucher, améliorerait considérablement la qualité du sommeil.
La musique, les sons, et les vibrations, ont un effet direct sur notre corps et notre santé psychique. Les sons apaisent et permettraient également, comme des points d’acupuncture, de rerégler les différents organes sur leurs bonnes fréquences vibratoires.
AirZen Radio vient d’ailleurs de changer la fréquence de diffusion de ses sons, en les passant de 440 à 432 hertz : la fréquence vibratoire de la Terre, de la nature, et celle qui est également utilisée pour la méditation.
Cela veut dire que dans l’univers et même dans notre corps, tout a une vibration. Nous avons voulu en savoir plus sur les sons, les vibrations, et cette pratique encore méconnue, mais qui a intéressé de plus en plus les scientifiques : la sonothérapie.
Je suis donc parti à la rencontre d’Estelle, kinésithérapeute et sonothérapeute au Studio PHY.
Cliquez ici pour plus d’articles sur le sommeil et nos conseils bien dormir…
Des chercheurs du CNRS et du laboratoire de Lille neurosciences et cognition viennent de décrypter les mécanismes moléculaires qui démontrent les effets de la caféine dans notre cerveau.
Leurs travaux en laboratoire sur la souris ont été publiés dans la revue « The Journal of Clinical investigation » et renforcent l’idée d’un effet bénéfique de la caféine sur les fonctions cognitives.
Cette équipe de chercheurs vient donc de prouver l’effet moléculaire que la caféine engendre sur Le cerveau, et plus précisément l’hippocampe.
La caféine permettrait ainsi de prévenir, dans des doses raisonnables bien sûr et sur le long terme, les maladies neurodégénératives et améliorerait les capacités cognitives ainsi que la mémoire.
La caféine est un alcaloïde, c’est-à-dire une substance organique d’origine végétale ayant une puissante action, qu’elle soit toxique ou thérapeutique. Elle entre dans la même catégorie que la morphine ou la quinine.
La caféine aurait de nombreuses vertus comme stimuler l’attention, soulager les maux de tête, limiter le risque de dépression en stimulant la production de sérotonine et dopamine mais également de réduire le risque d’infarctus, et d’AVC.
David Blum fait partie de l’équipe de chercheurs qui a démontré les effets moléculaires de la caféine dans le cerveau. Il nous explique.
L’annonce a provoqué la joie dans le milieu scientifique. Des chercheurs ont réussi à faire pousser une plante, l’arabette des dames, sur du sol lunaire. Et on se pose tous la question de savoir comment ont-ils pu réaliser cet exploit ?
Il ne s’agit pas réellement d’un exploit, mais bien d’une expérience, d’une avancée, pour prouver que le sol lunaire n’est pas un obstacle au bon développement de la végétation.
En effet, pour mener cette expérience de façon favorable, les scientifiques ne se sont pas contentés uniquement de sol lunaire. Ce dernier étant totalement stérile, rien ne pourrait pousser dessus sans un peu d’aide…
Après avoir planté les graines, ils ont fourni au sol lunaire, et donc à la plante, l’eau et les minéraux nécessaires au bon développement de toute végétation…
Est-ce que cela veut dire que nous pouvons désormais envisager, de faire pousser des plantes, des arbres, ou même des légumes sur la lune ? Est-ce que cette avancée permettra de faciliter les prochaines missions lunaires, et spatiales ?
Explications sur l’expérience et l’interprétation que l’on peut faire des résultats, avec Caroline Freissinet du LATMOS : le laboratoire atmosphère observation spatiale.
« Un esprit sain dans un corps sain. » Cette ancienne citation du poète latin Juvénal, publié au IIe siècle, vient de prendre tout son sens avec de récentes études. Ces travaux scientifiques viennent en effet de confirmer le lien entre une activité physique régulière et la bonne santé du cerveau.
Faire du sport de façon récurrente permettrait donc de repousser et diminuer la dégénérescence cognitive, et favoriserait même l’entretien de la cellule grise et de la mémoire.
Selon une récente étude, le cerveau s’amincit avec l’âge, perdant des neurones et de la matière grise. L’activité physique permettrait donc le ralentissement de cette perte.
Alors, on peut à juste titre se poser la question : quels sont les sports qui agissent le mieux sur notre santé mentale ? Tous les sports sont-ils bons et aussi efficaces ? Il s’agirait surtout d’une activité physique aérobique, c’est-à-dire d’endurance. Comme la marche à pied ou le footing, par exemple.
Mais par quel mécanisme l’activité sportive peut-elle avoir un effet sur notre cerveau ? Quel effet exactement ? Claire Rampon, neurobiologiste et chercheuse au CNRS, nous confirme la théorie selon laquelle tout est lié : car notre corps ne fait qu’un.
Cette expérience, qui pourrait révolutionner le milieu médical, occupe des scientifiques du CNRS, de l’Université Sorbonne Paris Nord, de l’Institut Curie, et de l’Inserm depuis plusieurs années.
Les Formica Fusca, fourmis que l’on trouve en abondance dans nos jardins d’Europe, ont des capacités incroyables et des sens très développés. Notamment celui de l’odorat, de loin supérieur à celui de l’homme.
Ces petites bêtes sont également capables d’apprendre, en seulement 10 minutes, à reconnaître des cellules saines et des cellules cancéreuses, grâce à leur odorat, et à leur goût pour le sucre !
Comment fonctionne ce mécanisme ? Les détails de cette expérimentation avec les explications de Baptiste Picqueret, chercheur à l’université Paris-Sorbonne.
Combien d’espèces existe-t-il ? Les connaissons-nous toutes ? Comment faisons-nous pour les découvrir ? Quelles sont les espèces les plus incroyables ?
Autant de questions que l’on peut se poser quand on parle de biodiversité animale. La planète bleue, terre de vie, regrouperait pas moins de 8,7 millions d’espèces différentes : espèces animales et végétales confondues.
Et nous n’en connaissons à l’heure actuel qu’à peine plus de 2 millions, ce qui représente 15 % du vivant sur la planète Terre.
Autant dire qu’il nous reste énormément de choses à apprendre et à découvrir. Petit tour d’horizon des espèces les plus méconnues du grand public. Une grenouille transparente, ou encore une crevette qui arrive à faire bouillir l’eau…
Découvrez les espèces les plus incroyables avec Camille Bernerie, doctorante à l’université Paris Saclay.
Une nouvelle étude des scientifiques britanniques démontre que les câlins doivent durer minimum cinq secondes pour être les plus agréables et plus efficaces. Mais quels sont exactement les bienfaits du câlin ? Anti-stress, anti-déprime, réduction de la tension artérielle, libération d’endorphine, d’ocytocine et de dopamine : les hormones du bonheur. Le câlin est un véritable cocktail de bien-être !
D’après une autre étude, nos goûts musicaux changent en fonction des moments de la journée. En début de journée, nous préférons les rythmes lents, et plus rapides l’après-midi.
Comment s’est-elle formée ? Quand est-elle née ? De quoi est-elle composée ? Autant de questions que l’on peut se poser sur notre bijou de biodiversité, la planète Terre.
Elle se serait formée il y a 14,5 milliards d’années. En même temps que la totalité de notre système solaire. Elle est née de l’agglomération de gaz et d’astéroïdes. Le premier être vivant sur la planète bleue est une bactérie.
À quoi ressemble-t-elle ? Saviez-vous également que la lune est un morceau de terre ? Et que nous ne pouvons que supposer ce qu’il y a à l’intérieur de la planète. Car pour l’instant nous n’avons pu creuser que jusqu’à 12 km de profondeur, alors que le noyau de la Terre est situé à 2885 km.
Voici toutes les explications du géologue Gilles Chazot. Il a publié plusieurs livres sur le sujet, dont « La belle histoire des merveilles de la terre ». Bienvenue, sur la plus magnifique planète du système solaire. Voyage en terre presque connue…
Des chercheurs de l’université de Liège viennent de mettre au point un désherbant redoutable, et 100 % naturel, à base d’huiles essentielles.
Non polluant, inoffensif pour la santé, ce désherbant pourra être utilisé chez les particuliers et dans l’agriculture en 2023. Il ne lui reste plus que quelques tests à passer pour avoir une certification.
Et contrairement au très controversé et dangereux glyphosate, ce désherbant à base de trois huiles essentielles sera capable de cibler son action sur certaines herbes ou mauvaises herbes en les faisant sécher de façon naturelle.
Comment fonctionne-t-il ? Quelle est son action ? Quelles autres utilisations peut-on envisager ? Les explications d’Haissam Jijakli, un des chercheurs qui a mis au point cette nouveauté.
Tout savoir sur le changement climatique en seulement trois heures. C’est ce que propose l’association la fresque du climat, créée par Cédric Ringenbach.
Elle organise des ateliers participatifs, sous forme de « jeu », pour sensibiliser la population au changement climatique et à ses enjeux. Quarante-deux cartes à disposer pour faire les liens entre cause et effet.
Loin des informations indigestes et rébarbatives, ces ateliers nous permettent de faire les liens entre cause et effet, de réfléchir en groupe et, pourquoi pas, de trouver des actions à mettre en place pour aller dans le bon sens.
Il existe des ateliers partout en France et dans 50 autres pays. Tout le monde peut y participer et devenir à son tour animateur de ces ateliers ludiques.
Quelques explications avec Sylvain Legeay, animateur bénévole d’ateliers de la fresque du climat.
Les problèmes de sommeil, toucheraient un Français sur trois. Pourtant, une méthode mise au point par l’armée américaine permettrait de s’endormir en deux minutes maximum.
Cette technique serait tellement efficace que les militaires l’utilisent même dans des zones de combat. Elle reposerait sur une combinaison de relaxation musculaire, de techniques respiratoires, et d’exercice de visualisation…
Et pour bien dormir, Brice Faraut – neuroscientifique et spécialiste du sommeil – nous donne quelques conseils essentiels. Il est également auteur du livre « Sauvés par la sieste » (éditions Actes Sud).
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De nombreux endroits sur la planète Terre, cachent encore des secrets. C’est le cas de cette forêt albinos, le long des côtes californienne. Là-bas, les sapins ne connaissent pas le vert. Dépourvus de chlorophylle, le pigment naturel qui colore les plantes en vert, leurs épines sont donc blanches.
Un lac d’eau totalement rose en Australie. Peut-être à cause des algues ? Un volcan qui crache l’équivalent de 25 piscines olympiques de boue chaque jour, en Indonésie. Un trou magnétique au milieu de l’Atlantique qui entraîne des perturbations satellites.
Et le triangle des Bermudes dans tout ça ? L’énigme est-elle résolue ? Quelques précisions avec Gilles Reverdin, océanographe.
Connaissez-vous l’ASMR ? L’ASMR signifie en anglais autonomous sensitive meridian response. Ce qui se traduit en français par « réponse autonome des méridiens sensoriels ». Autrement dit, une réponse du cerveau, à une stimulation. Et dans ce cas précis : une stimulation auditive.
L’ASMR est une méthode de relaxation encore mal comprise par la science. Cependant, elle est de plus en plus utilisée pour provoquer un état de relaxation. Elle a vu le jour il y a quelques années, sur la plate-forme YouTube.
Pour cette technique de relaxation, le narrateur chuchote et utilise des bruits : tapotement sur le micro, effleurement des mains, bruit de papier de bonbons, etc. pour détendre l’auditeur et le plonger dans un état proche de l’hypnose.
Il est donc très facilement possible pour chacun d’entre nous de nous prêter au jeu de l’ASMR, pour voir si nous y sommes réceptifs.
Car non, nous ne sommes pas tous égaux face à cette technique. Certains répondront de façon positive avec une grande relaxation, quasiment un état régressif, replongeant en enfance. Tandis que d’autres trouveront l’expérience plutôt désagréable. Tout dépend des sons, tout dépend de la personne…
Voici quelques explications avec Céline Lecrompt, naturopathe et spécialiste ASMR.
Des scientifiques néerlandais de l’université d’Amsterdam viennent de réaliser une étude sur les différentes formes dans l’alimentation. Et notamment pour le chocolat !
Le but était d’apprendre à savoir ce qui rendait un même chocolat plus ou moins savoureux. Non pas en fonction de son contenu ou de sa matière, mais en fonction de sa forme.
Après avoir modelé des dizaines et des dizaines de chocolats différents, grâce à une imprimante 3D, ils ont fait tester leurs différents spécimens chocolatés à de chanceux volontaires… Et le verdict est tombé !
La forme la plus appréciable pour déguster un chocolat de façon optimale, serait la forme spirale. Celle-ci apporterait en effet un maximum de croquant, et un maximum d’éclat en bouche. C’est la plupart du temps ce que recherche les gens. Le moelleux étant assimilé depuis la nuit des temps à la pourriture, et le croquant, à un aliment frais est bon pour la santé.
Mais alors, la forme d’un aliment peut-elle vraiment changer la perception du goût ? Comment déguster le meilleur chocolat ? Voici quelques explications et l’avis d’un expert en la matière : Cyril Escarnot, maître chocolatier dans le sud-ouest de la France. Vous n’en sortirez pas sans une grosse envie de croquer dans une tablette !
Je suis tombé dessus par hasard et j’ai adoré l’idée ! Un livre, en plusieurs volumes, facile à lire, qui parle de science et d’histoire de la science, mais aussi des curiosités que les scientifiques ont pu rencontrer au fil de l’histoire.
Ces fragments de science sont des traces matérielles qui construisent la mémoire collective, et finalement contribuent à définir notre identité. Ils sont autant d’indices qui, mis bout à bout, permettent de déchiffrer et de recomposer l’aventure scientifique.
Chaque ouvrage propose une promenade en cinq étapes, permettant la rencontre avec un minéral, un végétal, un animal, un instrument scientifique et une formule mathématique.
Les deux premiers volumes viennent de sortir, le troisième est attendu pour la rentrée. Et dans ces deux premiers livres, vous allez enfin apprendre et comprendre le fonctionnement de nombreux minéraux, végétaux et formules mathématiques, même si vous n’êtes pas scientifique !
Qu’est-ce que l’Ulva lactuca, la malachite, le Hyaenodon brachyrynchus, les tuyaux sonores, la loi de Planck, le drosera Rotundifolia, la pyrite, le prisme de Newton, ou encore l’équation d’Alembert… ?
Explications avec Corinne Labat et Carlos De Matos, auteurs de ces « Fragments de science » (EDP Sciences).
Ne vous êtes-vous jamais posé ces questions : comment fait-on pour savoir combien dure exactement une seconde ? Comment est fixée cette norme ? Et pourquoi est-elle fixée ainsi ? Cette durée est-elle vraiment exacte, et fiable ? Eh bien non !
C’est d’ailleurs tout le travail du BIPM : le Bureau International des Poids et Mesures, situé à Paris. Il a notamment pour rôle de fixer les poids et mesures au niveau mondial, pour qu’un kilo, par exemple, pèse bien le même poids partout dans le monde. Il en est de même pour l’unité de temps.
Et les scientifiques du BIPM préparent une véritable révolution du temps dans le monde entier. Ils vont redéfinir la durée exacte de la seconde. Car pour l’instant, malgré une grande précision, elle n’est pas complètement exacte. Les horloges atomiques vont progressivement être remplacées pour corriger leur marge d’erreur, avec un système beaucoup plus fiable.
Concrètement, la variation sera infime et cela ne changera donc pas grand-chose pour les citoyens. Mais cela affectera la précision, notamment des GPS et des satellites. Au lieu de quelques mètres à l’heure actuelle, votre GPS sera donc plus précis, à quelques centimètres près.
Cela permettra également de détecter plus facilement les ondes gravitationnelles, et donc la matière noire que nous recherchons toujours… Explications avec la directrice du département du temps au BIPM, Patrizia Tavella.
Vraiment ? On ne parle donc pas de préférence alimentaire, mais simplement de perception du goût de certains aliments ?
En effet, il s’agirait ni plus ni moins d’une différence génétique, et d’une variation dans les récepteurs olfactif situés sur le chromosome 11. C’est tout ce qui ferait la différence entre une personne qui aime et une personne qui n’aime pas la coriandre ! C’est le résultat d’une étude récente réalisée sur plus de 14 000 personnes.
Mais alors, comment fonctionne ce mécanisme de perception du goût ? D’où vient notre goût, ou notre dégoût pour certains aliments si l’on écarte simplement les habitudes et préférences alimentaires ? Ne ressentons-nous donc pas tous, les aliments de la même façon ?
On peut logiquement se poser la question quand on voit que nous ne percevons pas tous le sens de la vue de la même façon, par exemple. Prenez le cas des daltoniens, des myopes, astigmates, qui ne voient pas la même chose qu’une personne qui y voit correctement.
Alors, comment fonctionne le goût ? Les spécialistes l’affirment : il est intimement lié à l’odorat. Voilà pourquoi, lorsqu’on est enrhumé, nous avons l’impression que le goût des aliments change. C’est simplement car notre nez est bouché. Un peu comme un enfant qui se bouche le nez pour finir son assiette de choux de Bruxelles : pour ne pas sentir le goût de ce légume !
Ne vous est-il jamais arrivé de sortir la tête de l’eau et de vous faire littéralement manger le front par des moustiques en à peine quelques secondes ? Ou d’apprécier un dîner dans le jardin avec famille et amis et d’éprouver une irrésistible envie de vous gratter les chevilles toute la nuit ?
C’est la saison des moustiques ! Et en France, comme partout en Europe, les moustiques tigres sont en train de devenir un véritable fléau. En plus de leurs piqûres désagréables, ces nuisibles peuvent également être porteurs de maladies. Il est donc utile, voire même nécessaire, de s’en débarrasser.
Guillaume Lombart vient de lancer sa start-up Ma boîte à moustiques. Et en s’aidant de chercheurs, il a mis au point une jardinière connectée qui permet de réduire considérablement la présence de moustiques tigres dans notre environnement proche.
Cette jardinière, pilotée à distance, est un bijou de technologie. Elle reproduit, grâce à des procédés chimiques naturels, la respiration et la transpiration humaine, pour mieux tromper, attirer et capturer les nuisibles.
Grâce à son action de fond, cette jardinière connectée permet un traitement des plus efficaces. Et en plus, elle est écoresponsable car elle fonctionne avec du biogaz : énergie durable et renouvelable. C’est un gaz produit par la fermentation de matières organiques animales ou végétales.