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Compensez l’impact carbone de vos voyages grâce à Green Tripper

© tinyakov/Adobe Stock
Un Paris/New-York, ce n'est pas moins de 2 tonnes de CO2 émises. Comment compenser l'impact carbone de ce voyage ? Présentation de Green Tripper, l'outil indispensable pour vos prochaines vacances.

Lors de vos vacances à l’étranger, c’est surtout le trajet qui va coûter cher à la planète en carbone. En 2019, les experts ont estimé que les émissions gazeuses liées au trafic aérien s’élevaient à 5 millions de tonnes.

Des chiffres importants qui, demain, ne vont pas baisser, bien au contraire, puisque malgré la pandémie, le tourisme a progressé de 4% à travers le monde, il devrait revenir à son niveau pré-pandémique voir le dépasser d’ici 2024.

Évidemment, de nombreux pays comptent sur les touristes, ils ont vu leur économie considérablement chuter à cause de la pandémie, il n’est donc pas question d’arrêter de voyager. Une solution existe pour continuer ces voyages, continuer de faire fonctionner l’économie de ces pays, c’est Green Tripper.

Financer des projets

Un organisme belge qui vous propose, dans un premier temps, de calculer l’empreinte carbone de votre voyage. Par exemple, un aller-retour entre Paris et Nice en avion consomme, selon Green Tripper, 320 kilos de CO2 ; pour un vol entre Paris et Tel Aviv, c’est 1,2t ; et enfin, pour un Paris-New-York, c’est 2,2t.

Évidemment, plus la destination est lointaine, plus le chiffre est élevé. En fonction de l’impact carbone calculé en ligne, l’organisme vous propose de financer plusieurs types de projets, notamment en Afrique.
Parmi ces projets, l’un au Rwanda, pour éviter la déforestation, et fournir de l’eau potable à la population. Cela passe par le financement de puits pour donner un accès direct à l’eau et ainsi prévenir les maladies dues à la consommation d’eau polluée.

Des associations de cuisinières moins consommatrices de bois pour éviter d’abattre de trop nombreux arbres et protéger la population des fumées parfois trop abondantes. C’est le même type de projet réalisé au Ghana, qui utilise souvent la biomasse pour cuisiner.

Des projets qui ont été labellisés notamment par l’organisme international Gold Standard.
 

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