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Bien que le marché du panneau solaire ne cesse de se développer, le secteur fait face à l’urgence des besoins en formation et à l’augmentation des éco-délinquants. Le manque d’installateurs professionnels se fait sentir à travers la France et particulièrement en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Des éco-délinquants, souvent peu qualifiés, profitent alors de cette absence de main-d’œuvre. C’est pourquoi l’entreprise Dualsun, spécialisée dans le panneau solaire hybride, a imaginé la Dualsun Académie afin de former efficacement les professionnels du solaire.

Lyon : La Dualsun Académie forme les professionnels du solaire
Inauguration de DualSun Académie à Lyon – DualSun

Le premier centre de formation a ouvert à Marseille. Face à son succès, Dualsun a ouvert une deuxième Académie à Lyon. Elle souhaite ainsi répondre aux enjeux de la formation et assurer le développement de la filière photovoltaïque pour les années à venir.

Eric Fihey, directeur de la Dualsun Académie, insiste sur le format court de la formation. Elle est ainsi adaptée aux professionnels qui souhaitent acquérir des compétences adaptées. À terme, Eric espère agrandir le réseau pour mailler efficacement le territoire et rattraper le retard de la filière.

Lors du challenge national CUBE.écoles, les groupes scolaires Marcelin-Berthelot et René-Descartes se sont distingués par leurs efforts en matière d’économies d’énergie.

Le Centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement (Cerema) organise depuis plusieurs années ce championnat d’économie d’énergie. Il vise à développer l’éducation à l’environnement dès le plus jeune âge. Tout au long de l’année, les élèves et acteurs de l’éducation ont ainsi mis en place des écogestes vertueux.

Villeurbanne : Deux écoles primées lors du championnat d’économie d’énergie
Gwendolyn West-Bienvenue et Antoine Colliat, adjoint au maire délégué à la transition énergétique reçoivent les prix de Cube.écoles – CEREMA

Ces efforts ont donné des résultats encourageants. L’école Marcelin-Berthelot a ainsi réalisé 25,5 % d’économies d’énergie par rapport aux deux années précédentes et l’école René-Descartes 22 %.

Antoine Colliat est adjoint délégué à la transition énergétique à la mairie de Villeurbanne. Il rappelle que les établissements villeurbannais participant à ce défi ont en moyenne réduit leusr consommations de chauffage et d’électricité de 13 %. Il espère, à terme, sensibiliser les autres établissements et mobiliser l’ensemble des acteurs de l’éducation.

En 2024, pour sa troisième édition, le prix Lire pour Agir a comptabilisé plus de 2200 lectures dans les 53 bibliothèques et structures partenaires. Organisé par la Maison de l’Environnement de la Métropole de Lyon, ce prix vise à récompenser des livres autour de la transition écologique.

Pour Vanessa Minarro, documentaliste et chargée des prix littéraires, un livre sur la transition écologique doit émouvoir et susciter l’envie d’agir. Trois prix ont alors été décernés : celui des lectrices et des lecteurs adultes, celui des bibliothécaires et, pour la première fois, celui des enfants.

Lyon : Récompenser les livres de la transition qui poussent à agir
La table ronde lors du prix Lire pour Agir – La Maison de l’Environnement de la Métropole de Lyon

L’édition 2024 s’est clôturée lors d’un après-midi festif à la Maison de l’environnement, fin novembre. Le public pouvait alors participer à des ateliers et à des animations. Les équipes ont d’ailleurs pensé ces activités en lien avec l’un des ouvrages de la sélection. Entre fresques des nouveaux récits, réalisation de badges engagés ou encore cuisine anti-gaspi, les animations ne manquaient pas de faire réfléchir.

Vanessa rappelle par ailleurs l’importance d’imaginer des ponts entre la lecture et le passage à l’action. Selon elle, cette édition est une réussite et elle espère avoir créé des inspirations chz lez participants.

Rendre visible l’invisible. C’est la mission que s’est donnée le collectif Tout/reste/à/faire, constitué des artistes Mathieu Dessailly, Vincent Gadras et David Chalmin. À partir de leur imagination et de recherches entomologiques rigoureuses, les artistes ont créé des arthropodes gigantesques à base d’instruments de musique hors d’usage.

En redonnant une seconde vie à ces instruments, ils proposent un univers où les insectes se croisent à différentes échelles. Dans l’exposition “Anima (ex) Musica, Bestiaire Utopique”, le Méloé printanier fait face à une planète-tambour lorsque de son côté, la Cigale géante de Bornéo vibre à travers son essaim d’instruments à cordes.

Pierre-Henri Alquier est le directeur du développement culturel et des publics au musée des Confluences à Lyon. Pour lui, au vu de la collection du musée autour des insectes, il était indispensable d’accueillir ce Bestiaire Utopique.

Les visiteurs du musée peuvent ici apprécier ce voyage sonore et interactif au cœur d’une salle plongée dans la pénombre. La beauté de cet orchestre d’arthropodes renvoie par ailleurs à la fragilité des insectes qu’il faut à tout prix protéger.

Pratique.
L’exposition “Anima (ex) Musica, Bestiaire Utopique” est à découvrir jusqu’au 5 janvier 2025 au Musée des Confluences, à Lyon.

En 2023, les associations Green TPE et Ingénieurs sans frontières de l’ENTPE, une école d’ingénieurs de Vaulx-en-Velin, près de Lyon, ont voulu créer un jardin partagé. Cet espace de jardinage collectif au sein du campus s’est finalement ouvert à une collaboration avec les habitants de la ville.

Rapidement, le collectif Voasis, nos cultures partagées s’est monté pour prendre soin du jardin. Une parcelle de nature abandonnée sur le campus a alors été réhabilitée et regroupe aujourd’hui des zones de cultures initiales.

Le collectif a ainsi pour mission de gérer et promouvoir le jardin participatif avec des rôles partagés entre les étudiants et les habitants. Cet espace vert a ainsi pour but de créer des liens durables entre les participants et permettre à l’école de s’ouvrir sur l’extérieur.

Pour Margot David, étudiante et cosecrétaire, ce lieu offre à tous une pause de tranquillité dans un écrin de verdure. Elle rappelle les valeurs de collaboration, d’écologie et de cohésion sociale portées par le lieu. À terme, le collectif aimerait s’appuyer sur ce jardin pour sensibiliser à la préservation de l’environnement.

Les bouchons, restaurants typiquement lyonnais, sont indissociables du patrimoine de la capitale de Gaules. Souvent surnommée “capitale mondiale de la gastronomie”, la ville propose une cuisine riche et gourmande issue des traditions.

C’est cette cuisine chargée d’histoire qu’Olivier Canal a voulu mettre en lumière dans “Lyon, mon p’tit bouchon“. Paru aux éditions de La Martinière, en octobre 2024, ce livre de plus de 380 pages revient sur les rencontres, les amitiés et les amours culinaires du chef du bouchon La Meunière, dans le 1ᵉʳ arrondissement.

Également président de l’association Les Bouchons Lyonnais, Olivier Canal partage ici toutes les spécificités qui existent au sein des bouchons. À travers une centaine de recettes, Olivier explore la cuisine traditionnelle, portée par les grand-mères lyonnaises qui n’hésitaient pas à revaloriser les abats.

Comme l’explique le chef, cette cuisine gourmande et généreuse peut parfois surprendre, mais elle a ce don de rassembler les convives autour d’une table. Cette expérience culinaire ne serait d’ailleurs pas possible sans l’aide des producteurs de la région, présentés tout au long du livre. Le chef de La Meunière propose ainsi un véritable voyage culinaire, agrémenté de photos lumineuses de la ville de Lyon.

Anne Patin a toujours aimé rassembler ses proches autour d’une table pour déguster un bon plat qu’elle a elle-même concocté. C’est donc tout naturellement qu’elle s’est tournée vers la cuisine en créant son entreprise Couleur Cuisine. En tant que cheffe à domicile, elle se rend chez ses clients et cuisine selon leurs envies.

Souvent, elle prépare tout pour la semaine en une seule session et doit s’organiser en fonction. Cette expérience lui permet ainsi de faire de belles rencontres tout en faisant face à de nouveaux défis culinaires.

Bénévole au sein de l’association Zéro Déchet Lyon, Anne a également découvert qu’il était possible de cuisiner en réduisant ses déchets. C’est pourquoi, aujourd’hui, elle imagine une cuisine prônant l’anti-gaspillage alimentaire. Ses plats sont généreux, colorés et familiaux. Quelques jours par semaine, elle est aussi cuisinière au sein du R Gerland, un café coworking dans le 7ᵉ arrondissement de Lyon. Elle en profite pour concocter des plats essentiellement végétariens et ainsi surprendre les clients les plus gourmands.

Pour sa 7ᵉ édition, le Christmas Corner rassemble essentiellement des artisanes au sein de l’Atelier Muguette, dans le 6ᵉ arrondissement de Lyon. Treize artisanes locales viennent ainsi présenter leur travail et mettent en avant le savoir-faire lyonnais.

Lyon : Un Christmas Corner met en lumière des artisanes locales
Le coin des ateliers d’initiation au sein du Christmas Corner – Alix Hédou

Pour Alix Hédou, céramiste à l’Atelier Muguette et organisatrice de ce Christmas Corner, ce rendez-vous est une chance pour les Lyonnais de découvrir des créations inédites. Que ce soit de la couture et du tricot de la marque Hermanitas, de la borderie fleur d’Hisia Borderie ou encore des bijoux en laiton plaqué de Feste, ces créations à petit prix répondent aux goûts de toute la famille.

Lyon : Un Christmas Corner met en lumière des artisanes locales
L’intérieur du Christmas Corner au sein de l’Atelier Muguette à Lyon – Alix Hédou

Ce Christmas Corner met par ailleurs en lumière des valeurs écoresponsables. Marie-Hélène Rivière, par exemple, y présente ses foulards en soie sous la marque Ames Sœurs Édition. Elle rappelle qu’elle travaille uniquement avec des artistes lyonnais et ses matières premières viennent de pays voisins à la France. Pour Amélie Gozard, d’Oh My Goz qui propose des illustrations et du papier, ces rendez-vous sont indispensables pour soutenir l’artisanat local tout en valorisant des fêtes de fin d’année locales et responsables.

Infos pratiques : Le Christmas Corner se situe au sein de l’Atelier Muguette,138 Rue Bugeaud, 69006 Lyon.

Le rêve s’accompagne de paradoxes tous plus mystérieux les uns que les autres. Alors qu’un être humain passe une dizaine d’années de sa vie à rêver, le phénomène onirique est aujourd’hui très peu étudié.

À Lyon, le Musée des Confluences tente d’apporter des pistes de réflexion pour comprendre la fonction d’un songe. L’exposition “Le Temps d’un rêve” propose ainsi une série d’escales dans les lieux où le rêve s’exprime. Par la scénographie, les visiteurs peuvent voyager dans ces mondes oniriques et insaisissables.

Près de 200 objets et de nombreuses œuvres audiovisuelles proposent alors une multitude de regards. En passant par l’histoire, la psychologie, l’ethnologie, l’art ou encore la recherche en neurosciences, les visiteurs peuvent alors tenter d’approcher le rêve. Il est par ailleurs question du cauchemar, avec l’idée que celui-ci serait bénéfique au développement personnel.

Pour Yoann Cormier, chef de projet de l’exposition, ce travail met en lumière notre fascination pour ce phénomène onirique qui nous concerne tous.

Lyon : L’exposition "Le Temps d’un rêve", tente de saisir l’insaisissable
L’exposition “Le Temps d’un rêve” au Musée des Confluences à Lyon – Bertrand Stofleth

Pratique. “Le Temps d’un rêve” est visible au Musée des Confluences, à Lyon, jusqu’au 24 août 2025.

Fin mai 2024, les acteurs de la construction ont inauguré la nouvelle Maison du BTP à Villeurbanne, près de Lyon. Cela faisant deux ans que le bâtiment se renouvelait pour répondre plus efficacement aux enjeux environnementaux.

Olivier Brunet est le secrétaire général de la Fédération des entreprises du bâtiment et des travaux publics du département du Rhône et de la Métropole, copropriétaire de cette maison du BTP. Avec cette rénovation énergétique, il espère inciter les jeunes générations à découvrir les métiers qui gravitent autour du bâtiment.

Lors du chantier de cette Maison du BTP, les équipes ont développé et mis en place différentes innovations. Une façade bioclimatique permet par exemple de réduire la consommation d’énergie. Le bâtiment profite par ailleurs d’une production d’électricité grâce à 274 m² de panneaux photovoltaïques. Les matériaux utilisés sont quant à eux biosourcés et l’eau de pluie peut être récupérée facilement.

Olivier Brunet souhaite ainsi inspirer durablement les acteurs du secteur du bâtiment et des travaux publics.

Chaque année, lors de la Fête des Lumières, les Lyonnais peuvent faire un geste solidaire en achetant une petite bougie. L’opération Les Lumignons du cœur a ainsi pour but de mettre en avant une cause caritative, chère à la ville de Lyon. Pour cette édition 2024, Alynéa – Samu social 69 bénéficiera de la somme collectée. Cette association s’engage depuis 50 ans dans l’accompagnement des personnes en situation de précarité en les aidant à retrouver leur place d’actrice dans la société.

Pour Philippe Imbert, directeur général d’Alynéa – Samu Social 69, être lumignon du cœur est une réelle chance offerte par la ville de Lyon. Les fonds récoltés permettront en effet de contribuer à la réhabilitation de plus de 50 logements pour héberger dignement les familles.

Sophia Popoff est adjointe au maire de Lyon, chargée de la lutte contre le sans-abrisme et l’hébergement d’urgence. Elle met en avant les actions solidaires et encourageantes qui résultent d’un partenariat efficace entre la Ville et les associations.

Lors de la Fête des Lumières, ces lumignons seront visibles sur la place Sathonay. Les visiteurs pourront ainsi s’immerger dans une œuvre participative.

Découvrez toute l’histoire autour de cette opération “Les Lumignons du Cœur” qui a lieu chaque année lors de la Fête des Lumières à Lyon.

À Vaulx-en-Velin, à côté de Lyon, l’école d’ingénieur publique l’ENTPE œuvre pour que ses étudiants soient préparés à accompagner les transitions. Dans le cadre du cycle « Transitions », l’école a organisé un forum étudiant des indicateurs de la transition écologique et solidaire. Début novembre, les élèves, accompagnés de professionnels, se sont donc rassemblés pour discuter autour de six indicateurs de cette transition : bilan carbone, analyse de cycle de vie, services écosystémiques, indice de santé sociale, santé des sols avec le projet MUSE, évaluations quantitatives des impacts sanitaires (EQUIS).

Lors de ces débats, chaque groupe d’élèves représentait un de ces indicateurs. Ils sont revenus sur l’histoire, les enjeux et les motivations de chacun. Pour l’économiste Florence Jany-Catrice, marraine de cette 2ᵉ édition, ce rendez-vous a permis aux étudiants de dialoguer avec d’autres générations.

Margot David étudie à l’ENTPE et elle a également participé à ces débats en présentant le projet Muse. Elle raconte qu’elle ne connaissait pas ces indicateurs. Grâce à ce forum, elle est prête maintenant à les faire connaître au grand public.

Aujourd’hui, la vigne représente 4% de l’agriculture et 20% des pesticides utilisés. Pour changer cette dynamique, la marque activiste du vin Oé accompagne et soutient les vignerons dans leurs parcours autour de la transition agroécologique. Elle finance ainsi des actions de régénération dans les vignes tout en relançant le réemploi des bouteilles en France. Pour transformer cette agriculture, l’équipe Oé s’appuie sur des partenaires comme EcoFarms ou encore Biomede.

En 2024, Oé décide d’aller plus loin en achetant son premier domaine viticole. Situé dans la vallée du Rhône, ce Domaine Oé de Chapelle Saint-Pierre est labellisé AB depuis 2023. Avec cette nouvelle aventure, le cofondateur Thomas Le Mal souhaite favoriser la régénération des vignes. Il espère également sensibiliser aux bonnes pratiques. En étant au plus près des vignes et des vignerons, Oé peut ainsi vivre la réalité du monde viticole et ainsi développer d’autres solutions innovantes.
Pour découvrir les bonnes actions mises en place par Oé pour assurer un schéma bas-carbone, écoutez notre sujet dès maintenant.

Depuis plus de 70 ans, Dynacité s’est donné pour mission d’intérêt général de loger le plus grand nombre. Cet acteur immobilier social d’Auvergne-Rhône-Alpes s’adapte en effet aux parcours de vie et aux besoins des territoires. Le groupe gère plus de 30 000 logements sur cinq départements. Ses activités immobilières englobent l’aménagement, la construction neuve, la réhabilitation, la location ainsi que l’accession sociale à la propriété.

Les logements MyHope s’adaptent aux parcours de vie des séniors
La Résidence Cap Soleil de MyHope à Bourg-en-Bresse – Dynacité

En 2024, le bailleur social engagé Dynacité a inauguré MyHope, une nouvelle marque qui déploie des solutions de logements pour les personnes fragiles. Destinés aux seniors et aux personnes porteuses de handicap, ces projets d’habitat se veulent inclusifs et accessibles. Ils s’adaptent au désir d’autonomie des publics fragiles. Pour Silvia Plion, la directrice de MyHope, cette solution se construit avec l’aide des résidents qui adhèrent à ce projet commun.

Écoutez notre sujet et découvrez comment MyHope tente de répondre aux enjeux de l’habitat inclusif et spécifique.

Dans le 7ᵉ arrondissement de Lyon, le restaurant Trattino se démarque par sa superficie étonnante. À l’intérieur, plus de 380 m² accueillent les clients autour d’un bar-café et d’une épicerie. La terrasse de 350 m² attire également les foules tout au long de l’année. Ce restaurant italien est dédié à l’éco-alimentation et propose ainsi des produits 100% bio, locaux et en circuits courts. Cette spécificité fait de Trattino le plus grand restaurant bio de France et le deuxième d’Europe.

En suivant les valeurs de la Nonna des fondateurs (la grand-mère en italien), Trattino propose un espace convivial autour du bien-manger. Ce tiers-lieu écoresponsable propose une expérience inédite et fait dialoguer l’épicerie avec le bar et la programmation culturelle. Pour Davide Fontana, le cofondateur, il était essentiel de lier ce restaurant avec la culture. Régulièrement, la pièce principale se transforme en ateliers de cuisine ou de réflexion autour de la transition écologique.

Venez vous régaler en écoutant notre sujet et découvrez les valeurs et l’engagement de Trattino, ce restaurant italien, 100% bio.

Depuis 2019, la start-up lyonnaise de la French Tech Bookinou permet aux enfants de 2 à 7 ans de découvrir la lecture grâce à un lecteur pédagogique. Ce lecteur sans écran propose une lecture audio synchronisée avec la manipulation des livres. L’enfant suit alors l’histoire audio enregistrée par un proche ou par des conteurs professionnels. Soutenu par le ministère de l’Éducation Nationale, Bookinou équipe aujourd’hui plus de 15% des écoles.

En octobre 2024, l’équipe a tourné une nouvelle page en imaginant une version reconditionnée. Les lecteurs audios sont alors collectés, réparés et remis à neuf au sein de l’atelier de réparation à Orléans. Ils peuvent ainsi émerveiller à nouveau les enfants tout en les accompagnant dans l’apprentissage de la lecture. Bookinou 2e Vie divise par trois l’impact environnemental et s’appuie sur un prix réduit. Pour Vincent Gunther, le cofondateur, cette nouvelle version assure ainsi l’accessibilité auprès de tous les enfants.

Écoutez notre sujet et plongez dans le monde auditif de Bookinou qui ne cesse de se réinventer pour répondre aux enjeux actuels.

Louis et Othmane se sont rencontrés au collège à Rabat, au Maroc. Leur amitié a évolué en même temps que leur parcours de vie. Une fois tous les deux en France, ils décident de se lancer dans la cuisine et commencent par vendre des wraps sur le campus d’une école de commerce.

Lyon : Le couscous pour favoriser le vivre-ensemble chez Rachid Dupont
Othmane et Louis, les deux fondateurs – Rachid Dupont

Après avoir converti leur appartement en cuisine, ils ouvrent leur premier restaurant Rachid Dupont, dans le 6ᵉ arrondissement de Lyon. Tous les deux amoureux du couscous, ils concoctent une cuisine fusionnant aussi bien la culture française que la culture marocaine.

En liant les recettes traditionnelles de leurs grands-mères, Louis et Othmane ont imaginé un couscous avec du canard ou encore des lardons de poulet. Tout le monde peut ainsi apprécier la multiculturalité du restaurant, pour le plus grand bonheur des deux fondateurs.

Grâce à cette gastronomie, ils souhaitent valoriser la diversité et la richesse de ces deux cultures. Une richesse qui se retrouve d’ailleurs dans le personnage représentant Rachid Dupont. En effet, à l’image du restaurant, Rachid Dupont met en avant les caractéristiques de ce métissage culturel. Forts de leur succès, Othmane et Louis ont encore de belles idées dans la tête pour favoriser le mieux-vivre ensemble.

Pratique. Rachid Dupont est situé au 134 avenue Thiers, dans le 6ᵉ arrondissement de Lyon.

Orane Dupont côtoie la lecture et l’écriture depuis qu’elle est jeune. Elle imaginait alors des nouvelles et comptait bien, un jour, écrire un roman. Entre-temps, elle est sortie diplômée à l’Université de Lyon en psychologie et a ouvert son cabinet dans la banlieue lyonnaise.

Orane Dupont, romancière et psychologue des comportements humains
“Un platane dans le bitume” – Orane Dupont

S’est alors offert à elle l’opportunité d’écrire sur ses expériences quotidiennes. Rapidement, elle autopublie en 2022 son premier livre “Les Maux contraires“. Son roman rencontre un grand succès auprès des lecteurs et l’amène à écrire de nouvelles histoires autour des comportements humains.

Selon Orane, sa double casquette de romancière et de psychologue lui permet d’écrire des histoires inédites avec des portraits forts et touchants. Passionnée par l’humain et les émotions, elle n’hésite pas à s’appuyer sur ses réflexions personnelles pour approcher l’authenticité. Les questionnements de ses patients inspirent d’ailleurs souvent les thèmes de ses romans. Orane espère ainsi pousser à la réflexion autour de ces questions universelles.

En octobre 2024, elle a également publié son quatrième livre “Pour combien on plonge ?” qui porte sur l’attachement sentimental.

“Nous avons voulu répondre à un besoin croissant de sécurité et de tranquillité pour les cyclistes urbains. Beaucoup de personnes hésitent à utiliser leur vélo à cause de la peur de la panne ou d’un accident. CycloCare est là pour lever ces peurs et rendre le vélo accessible à tous”, explique Clément Schmitt, co-fondateur et directeur de l’entreprise. 

CycloCare propose ainsi une gamme de services qui va de l’entretien préventif à l’assistance sur route, que ce soit pour une simple vérification, une réparation en cas de panne ou une aide en cas d’incident. Elle travaille ainsi toute l’année en collaboration avec des entreprises à Paris, Lyon et Rennes. “Notre objectif est de donner aux cyclistes la possibilité de se déplacer en toute sécurité, sans craindre les imprévus”, ajoute Clément Schmitt.

Lever les peurs et encourager le vélo au quotidien

L’un des principaux défis que CycloCare cherche à relever est la peur de l’accident ou de la panne. Cette crainte empêche en effet de nombreuses personnes de se lancer dans la pratique du vélo, malgré les avantages évidents de ce moyen de transport. Nous savons qu’il y a une réticence à utiliser le vélo – surtout dans les grandes villes – souvent liée à des préoccupations de sécurité. Nous voulons changer cette perception en offrant des solutions simples et efficaces”, ajoute-t-il. 

CycloCare met ainsi l’accent sur la prévention en proposant des conseils pratiques, des formations à la sécurité et des services d’assistance pour que chaque cycliste puisse prendre la route en toute confiance. 

À Villeurbanne, près de Lyon, les quatre résidences autonomie du Centre Communal d’Action Sociale (CCAS) acceptent depuis quelque temps les animaux de compagnie. Que ce soient des chats, des petits chiens ou encore des canaris, les seniors peuvent ainsi aujourd’hui vivre avec leurs animaux. Tout en respectant plusieurs conditions, ils ont la possibilité d’aménager leur logement pour assurer le bien-être de ces nouveaux pensionnaires.

Pour Marie Caballero, la directrice de la résidence Marx Dormoy à Villeurbanne, la présence de ces animaux a de nombreux bienfaits sur les résidents. Ils favorisent notamment la mobilité des personnes âgées, qui doivent ainsi les promener régulièrement, jouer avec eux ou encore assurer leur propreté.

Par exemple, pour Colette Lopez, résidente au sein de la résidence Marx Dormoy, sa chatte Tina lui procure beaucoup de bien-être et de sérénité. Grâce à son animal, elle se sent en effet moins seule le soir, après le repas. Elle espère que cette initiative se développera au sein des logements adaptés aux seniors pour ainsi faciliter le bien-vieillir.

Découvrez quels sont les bienfaits des animaux de compagnie acceptés au sein des logements adaptés aux seniors.