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La société française change, le monde du travail aussi. Ces dernières années, les évolutions sont de plus en plus rapides. Les aspirations changent également selon les générations et l’accès à l’emploi est de plus en plus compliqué.

Le monde du travail n’est ainsi pas figé. Celui d’aujourd’hui n’a en effet rien à voir avec celui de nos parents ou grands-parents. C’est pourquoi Laetitia Vitaud s’intéresse à l’histoire et la mutation du monde du travail et de l’emploi. Celle qui a commencé sa carrière en tant que professeure d’anglais connaît bien ce milieu. Elle a en effet notamment travaillé dans les ressources humaines pour un grand groupe à Londres et a monté sa société en tant qu’auto-entrepreneuse.

Cette Working Girl passe désormais le plus clair de son temps à parler emploi, travail, évolution et mutation de ce monde en mouvement.

Qu’en est-il aujourd’hui de l’emploi des jeunes, des séniors, des femmes ? Que penser de la semaine de quatre jours ? Autant de questions que nous lui avons posées.

Pour aller plus loin > La Fédération France Séniors, architecte de l’employabilité des séniors

Attaché à l’esprit de transmission, Mossi Traoré a fondé en 2015 une école de haute couture : Les Ateliers Alix. Tournée vers la création et la maitrise du savoir-faire, l’institution forme une trentaine d’élèves par an. Avec celle-ci, Mossi n’enseigne pas seulement aux jeunes la haute couture, il les aide également à s’insérer dans le monde professionnel.

Découvrons cette école et rencontrons celles et ceux qui forment et apprennent. Rencontre avec Louisa et Nicole, deux jeunes retraitées de la haute couture, devenue enseignantes aux Ateliers Alix. Elles souhaitent ainsi transmettre aux jeunes générations leur savoir et leur vécu pour que le métier perdure. Nous avons également croisé quelques étudiants venus des quatre coins du monde et de banlieue parisienne.

Pour aller plus loin > Rencontre avec Mossi Traoré, styliste et fondateur des Ateliers Alix

Créée en août 2023, l’association Marrie Curry forme les femmes à l’entrepreneuriat culinaire. Elle met ainsi en avant leur cuisine avec un restaurant et un service traiteur. Le programme de formation s’étend sur quatre mois. Le but ? Accompagner les participantes dans la création de leur activité culinaire, qu’il s’agisse d’un food truck, d’un service traiteur ou d’une petite structure de restauration. Ce programme allie cours en groupe, accompagnement personnalisé et stages en entreprise pour aider les participantes à gérer et développer leur activité. 

« Nous voulons leur donner les clés pour qu’elles puissent être autonomes et vivre de leur passion pour la cuisine », explique Sandrine Clément, co-fondatrice de cette structure bordelaise. 

Des femmes réfugiées aux parcours inspirants 

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Depuis sa création, l’association Marie Curry a accompagné une quarantaine de femmes. Certaines ont d’ailleurs réussi à lancer leur entreprise culinaire. Parmi elles, Khuzama. Elle a ouvert un food truck syrien. De leur côté, Maryam a inauguré un restaurant iranien et Nariné s’est spécialisée dans la pâtisserie et le design cake. « La cuisine est un formidable moyen de créer du lien et de favoriser l’insertion professionnelle, ajoute Sandrine Clément. Ces femmes ont un savoir-faire précieux. Nous les aidons à le mettre en valeur. » 

Pratique.
Le restaurant Marie Curry se situe 15 rue Causserouge, à Bordeaux. Il est ouvert du mardi au vendredi, de 12 à 15 heures, et le samedi, de 11 à 16 heures.

Tout a débuté en pleine pandémie de Covid-19 en 2020. Trois hommes – Christophe et Emmanuel Brochot aidés de Corentin Emery – lancent alors leur association Bouge ton Coq, une structure mise en place pour réveiller les petits villages qui se vident inexorablement de leurs habitants et donc de leurs commerces. Selon Bouge ton Coq, 20 000 communes françaises de moins de 3 500 habitants n’ont ainsi plus aucun commerce, soit plus d’une commune sur deux. Toujours d’après l’association, 8 millions de Français vivent aujourd’hui dans des « déserts médicaux ».

Partant de ces constats, le trio a décidé bâtir un programme reposant pour le moment sur deux piliers : l’alimentation et la santé. La structure accompagne donc des projets d’épiceries participatives dans les communes rurales et ouvre également des centres de santé.

En plus de recréer des services de proximité dans les villages, la volonté est ici de promouvoir l’économie locale et les producteurs locaux, de redynamiser les communes, de recréer du lien social et d’insuffler un mouvement d’engagement citoyen transgénérationnel.

Pour aller plus loin > Villages Vivants veut lutter contre la désertification des campagnes

Selon l’Insee, la population française atteindra son pic de vieillissement cette année, en 2025. Concrètement, cela signifie que les 50-64 ans dépasseront les 35% de la population et donc que la population française comptera plus de personnes âgées que d’actifs.

En parallèle, les séniors sont peu représentés sur le marché du travail. Au mieux ils sont invisibilisés, à défaut ils sont remplacés par plus jeunes qu’eux. En France, le taux actuel d’employabilité des séniors – est considéré comme sénior toute personne à partir de 45 ans – n’est que de 56%. Un chiffre bien en dessous de la moyenne européenne.

Pourquoi en sommes-nous là en France ? Que faire pour inverser la tendance ? Quelles solutions propose la Fédération France Séniors ? Autant de questions que nous avons posé à son président Jean-Louis Chapelet.

Pour aller plus loin > Pourquoi les femmes séniors sont une richesse pour la société ?

Alors qu’elle vivait en Haïti, Armelle Renaudin a pris conscience de la grande précarité des femmes qui l’entouraient. Elle a alors décidé, avec son mari, de créer l’ONG Entrepreneurs du Monde.

En se basant sur l’entrepreneuriat, elle accompagne ainsi les personnes vers plus d’autonomie et d’émancipation. Les femmes sont les premières touchées par la pauvreté, c’est pourquoi Entrepreneur du Monde met un point d’honneur à les soutenir dans leurs aventures.

Sur le terrain, l’ONG recrute une équipe locale et construit progressivement avec elle une structure de droit. Pendant plusieurs années, elle a ainsi développé ces organisations et mis en place les bonnes méthodologies de formation et de gestion de crédits.

Plus de 160 000 entrepreneurs ont déjà pu bénéficier du soutien de l’ONG à travers 13 pays. Armelle rappelle d’ailleurs que les enjeux d’Entrepreneur du Monde évoluent de plus en plus vite. Il est donc aujourd’hui nécessaire d’accompagner les agriculteurs qui souffrent du réchauffement climatique.

Dans les Bouches-du-Rhône, à Marseille, un programme innovant, Women For Women, autour de la paire-aidance, a été développé en 2023.  Il s’agit d’une formation diplômante d’animatrice en prévention santé destinée aux femmes issues des quartiers prioritaires de Marseille.

Ce projet est porté par la Maison des Femmes Marseille Provence, un service de soins de l’hôpital de La Conception et l’Université d’Aix-Marseille. Le Réseau Méditerranée coordonne quant à lui la pédagogie. Le programme a vocation à créer du lien entre les professionnels de la périnatalité de la région PACA, de Corse et de Monaco. Les financeurs de ce projet sont le fonds DAPAT, la Fondation RAJA, la Préfecture Égalité des Chances / SGAR et la Fondation Nexcity via Phoceo.

Huit femmes ont été diplômées à l’issue de la première promotion. Pour cette deuxième rentrée, elles sont treize à suivre la formation.

Quel est son contenu ? Quels sont les débouchés pour ces femmes ?  Pourquoi créer une formation destinée aux femmes issues des quartiers prioritaires de Marseille ? Entretien avec la Professeure Florence Bretelle, Professeur des Universités et praticien hospitalier en gynécologie obstétrique.

Pour Ismaël Cousin, le fondateur et directeur de l’association Action Bomaye, la culture et l’éducation enrichissent les esprits et élargissent les horizons par la mixité sociale. Depuis 2017, cet officier de police judiciaire se rend sur le terrain pour diffuser la culture dans la région de Marseille. Il souhaite ainsi décloisonner les quartiers défavorisés et avoir un impact bénéfique sur les habitants.

À travers des actions collectives, Action Bomaye favorise le dialogue interculturel et encourage le changement positif auprès de ces communautés. Ismaël rappelle qu’il est aujourd’hui nécessaire de changer l’image négative dont pâtissent les jeunes des quartiers. Avec le Festival Happy End, l’association va encore plus loin en promouvant l’emploi et en renforçant la responsabilité citoyenne.

L’association UniR – Universités & Refugié.e.s – a été cofondée, en 2018, par l’activiste et poète vénézuélienne, Camila Ríos Armas, et par l’experte française en développement de projets à impact, Camille Soulier. Ensemble, elles ont imaginé des solutions pour accompagner les personnes réfugiées et demandeuses d’asile en France dans la reprise de leurs études.

UniR accompagne les personnes réfugiées à reprendre leurs études
Des ateliers organisés par UniR à destination des personnes refugiées ou demandeuses d’asile – UniR

Aujourd’hui présente à Paris et à Lyon, UniR s’appuie sur une équipe multiculturelle et des partenaires engagés.

UniR accompagne les personnes réfugiées à reprendre leurs études
Xiomara Palma, chargée d’apprentissage du français, accompagne une personne dans son parcours d’insertion socioprofessionnelle. Photo Vanessa Silvera

Pour Camila, l’apprentissage est un véritable refuge. C’est pourquoi avec UniR, elle valorise les acquis et les expériences passées des personnes accompagnées. Plusieurs programmes ont ainsi été spécialement conçus pour assurer leur insertion académique et socio-professionnelle. Le programme Mentorat entre femmes est d’ailleurs essentiellement dédié aux femmes afin de renforcer leur confiance en soi et leur autonomie.

Enfin, l’association remplit également une mission de recherche, de plaidoyer et de sensibilisation auprès des politiques publiques.

Découvrez comment l’association UniR a déjà orienté plus de 3 000 personnes réfugiées et demandeuses d’asile.

Chaque année, 100 000 jeunes quittent le système de formation initiale sans avoir obtenu de diplôme. Pour lutter contre le décrochage scolaire, l’association C’Possible œuvre depuis 2008 auprès de ces jeunes en lycée professionnel.

Souvent issus d’un milieu défavorisé, ils ne disposent pas, au départ, de tous les moyens leur permettant de construire leur avenir. Christelle Chamel, coordinatrice régionale au sein de l’association, revient sur cette mission de sensibilisation auprès des jeunes.

Présente dans 120 lycées, l’association C’Possible s’appuie sur un réseau de 450 bénévoles. Ces derniers, experts dans leur domaine, proposent des interventions en classe ou à l’extérieur. Ils développent par ailleurs avec le lycéen un accompagnement individuel, le mentorat, afin de lui donner toutes les chances de réussir.

Éric est bénévole et, selon lui, il est indispensable de faire preuve d’une écoute active et d’une ouverture d’esprit. L’association lance d’ailleurs un appel aux bénévoles pour continuer d’accompagner les jeunes à trouver leur voie.

Bien que le marché du panneau solaire ne cesse de se développer, le secteur fait face à l’urgence des besoins en formation et à l’augmentation des éco-délinquants. Le manque d’installateurs professionnels se fait sentir à travers la France et particulièrement en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Des éco-délinquants, souvent peu qualifiés, profitent alors de cette absence de main-d’œuvre. C’est pourquoi l’entreprise Dualsun, spécialisée dans le panneau solaire hybride, a imaginé la Dualsun Académie afin de former efficacement les professionnels du solaire.

Lyon : La Dualsun Académie forme les professionnels du solaire
Inauguration de DualSun Académie à Lyon – DualSun

Le premier centre de formation a ouvert à Marseille. Face à son succès, Dualsun a ouvert une deuxième Académie à Lyon. Elle souhaite ainsi répondre aux enjeux de la formation et assurer le développement de la filière photovoltaïque pour les années à venir.

Eric Fihey, directeur de la Dualsun Académie, insiste sur le format court de la formation. Elle est ainsi adaptée aux professionnels qui souhaitent acquérir des compétences adaptées. À terme, Eric espère agrandir le réseau pour mailler efficacement le territoire et rattraper le retard de la filière.

Une pièce en verre en forme de serpentin, de drôles de tubes reliés entre eux à trois entrées… Dans son laboratoire situé sur le campus de Beaulieu, à Rennes, Thierry Pain répare et assemble des éléments en verre. Il est l’un des trois souffleurs de verre présents sur le campus scientifique. Ses pièces sont ensuite utilisées par des étudiants, des chercheurs et des ingénieurs du CNRS.  

Cécile Valter, souffleur de verre au CNRS. Photo Thierry Pain

“Les chercheurs me demandent des pièces uniques, qui ne sont parfois utilisées qu’une seule fois, car la pièce peut être ensuite polluée. Ils dessinent en partie les plans de cette pièce. Selon la grandeur de la pièce, je peux passer entre 10 minutes et deux heures dessus.”

Thierry Pain est souffleur de verre depuis 30 ans. Il a appris ce métier rare au lycée public technique Dorian, dans le XIe arrondissement de Paris. Ce lycée est le seul de France à proposer une filière “verrerie scientifique”.  

Médaillé de cristal au CNRS 

Thierry Pain a par ailleurs reçu une médaille de cristal au CNRS. Elle récompense, chaque année, des hommes et des femmes qui, “par leur créativité, leur maîtrise technique et leur sens de l’innovation, contribuent aux côtés des chercheurs et des chercheuses à l’avancée des savoirs et à l’excellence de la recherche française”. 

Face à l’Estaque, au bout des quais, au cœur du Grand Port de Marseille. C’est ici qu’est installée depuis onze ans l’association Pilotine. La Méditerranée permet à la structure de poursuivre son objectif puisque Pilotine est un chantier naval d’insertion, qui accompagne ses salariés vers le retour à l’emploi, notamment dans le secteur de la mer.

En quelques années, Pilotine a su se faire connaître et se voit aujourd’hui confier de nombreuses réparations navales. Ces chantiers permettent d’acquérir de nombreuses compétences. Mais aussi, dans certains cas, d’apprendre le français. Les salariés en insertion sont encadrée par une dizaine de salariés passionnés.  

En France, 20% des maires sont des femmes. Elles représentent par ailleurs moins de 40% de l’effectif de l’Assemblée nationale, 32% de celui du Sénat et occupent 14% des présidences de conseils départementaux. Les femmes restent donc minoritaires en politique.

“La nouvelle loi sur la parité a conduit beaucoup de femmes en politique. En effet, dans toutes les communes de plus de 1000 habitants, la parité doit être respectée à 50%. Mais au niveau des postes à haute responsabilité, c’est bien plus compliqué”, explique Stéphanie Rivat, directrice générale du réseau Élues locales.  

Le sexisme en politique  

Les raisons de ces inégalités ? “Être une femme en politique est compliqué. Lors de prises de parole en public, les femmes sont sept fois plus interrompues que les hommes. Elles subissent également des attaques sexistes. Et se mettre en avant n’est pas forcément naturel pour elles.”

Élues locales est une structure où elles peuvent donc partager leur expérience de mandat, créer un réseau et, surtout, se former et renforcer leurs compétences en politique.

La pandémie de Covid-19 a marqué un tournant dans notre rapport au travail, notamment en popularisant le télétravail. Pourtant, les entreprises reviennent progressivement à un modèle hybride ou davantage centré sur le bureau.

“Aujourd’hui, nous sommes autour d’un jour et demi de télétravail par semaine en moyenne en Ile-de-France, contre trois jours en 2020”, observe Nicolas Beuvaden, président de Welcome at Work. 

Créer un bureau qui donne envie 

Pour accompagner ce retour en présentiel, Nicolas Beuvaden met en avant deux enjeux majeurs : recréer un sentiment d’appartenance et valoriser les échanges informels. “Tout ce qui se passe autour du travail, comme les discussions avant ou après une réunion, joue un rôle crucial dans l’efficacité et la créativité des équipes.” 

Selon lui, un bureau réussi se distingue par sa luminosité, sa verdure et sa capacité à être “un lieu vivant et dynamique, où il se passe toujours quelque chose”. En transformant ces espaces en lieux de convivialité, les entreprises répondent donc aussi aux besoins des salariés en quête de frontières claires entre vie professionnelle et personnelle

Pour découvrir comment les espaces de travail évoluent pour répondre aux attentes de demain, écoutez l’interview complète de Nicolas Beuvaden en haut de cet article.  

Cette interview a été réalisée en partenariat avec le média impact.info. Vous pouvez la retrouver en intégralité ici.

Ce média a été fondé par Impact Partners et AirZen Radio, afin de mettre en lumière la parole de celles et ceux qui veulent faire bouger les lignes au sein de leur entreprise… mais pas que !

Rendez-vous sur impact.info pour découvrir les nombreux témoignages.

Chaque année, lors de la Fête des Lumières, les Lyonnais peuvent faire un geste solidaire en achetant une petite bougie. L’opération Les Lumignons du cœur a ainsi pour but de mettre en avant une cause caritative, chère à la ville de Lyon. Pour cette édition 2024, Alynéa – Samu social 69 bénéficiera de la somme collectée. Cette association s’engage depuis 50 ans dans l’accompagnement des personnes en situation de précarité en les aidant à retrouver leur place d’actrice dans la société.

Pour Philippe Imbert, directeur général d’Alynéa – Samu Social 69, être lumignon du cœur est une réelle chance offerte par la ville de Lyon. Les fonds récoltés permettront en effet de contribuer à la réhabilitation de plus de 50 logements pour héberger dignement les familles.

Sophia Popoff est adjointe au maire de Lyon, chargée de la lutte contre le sans-abrisme et l’hébergement d’urgence. Elle met en avant les actions solidaires et encourageantes qui résultent d’un partenariat efficace entre la Ville et les associations.

Lors de la Fête des Lumières, ces lumignons seront visibles sur la place Sathonay. Les visiteurs pourront ainsi s’immerger dans une œuvre participative.

Découvrez toute l’histoire autour de cette opération “Les Lumignons du Cœur” qui a lieu chaque année lors de la Fête des Lumières à Lyon.

Sans eux, les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 n’auraient pas pu avoir lieu. Eux, ce sont les 45 000 volontaires bénévoles qui ont animé les jeux, qui ont donné de leur temps. Pour valoriser leur expérience et transformer ce moment en véritables compétences, la start-up gouvernementale Diagoriente a lancé Brillo.

Depuis le 28 août 2024, le module Brillo disponible sur la plateforme s’est engagé aux côtés des bénévoles et volontaires. Ces derniers peuvent maintenant traduire leur engagement en compétences concrètes et reconnues, un atout précieux pour leur future carrière et leur employabilité. La suite, c’est justement Pascal Chaumette, directeur de Diagoriente, qui la raconte sur AirZen Radio.

Pour aller plus loin > A la rencontre des bénévoles des Jeux Olympiques de Paris 2024

Les mentalités évoluent doucement, mais sûrement. En témoigne la proportion de femmes qui évoluent dans l’industrie automobile. Aujourd’hui, elles sont 25% contre 8% il y a 16 ans. Mais selon Elisabeth Young, présidente de l’association Wave les elles de l’auto, le chiffre ne monte pas assez rapidement.

En effet, de nombreux freins, clichés et préjugés envers les femmes sont toujours d’actualité. Certaines femmes hésitent donc à suivre leur passion, leurs envies professionnelles. Par ailleurs, elles doutent souvent de leur légitimité à travailler dans le secteur automobile. C’est justement pour montrer aux femmes qu’elles ont leur place dans cette industrie que l’association Wave les elles de l’auto se bat sans relâche depuis plus de 15 ans.

Rencontre avec Elisabeth Young, Doria Alexandre et Fabienne Raynaud.

Pour aller plus loin > Avec Autos du Cœur, cédez votre voiture à des gens qui en ont besoin

Avec l’application VAZY, un kilomètre parcouru à vélo, à pied ou encore à trottinette permet de gagner cinq points. Ces points sont ensuite convertibles en réductions ou en remise dans les commerces de proximité.

Imaginée en 2021 par Loïc Robbiani, l’application lyonnaise s’appuie donc sur la mobilité douce pour faire bouger les utilisateurs. En plus de soutenir 440 commerces de proximité partenaires, VAZY souhaite améliorer le pouvoir d’achat des quelque 27 000 utilisateurs en France.

Deux utilisateurs de l’application Vazy – VAZY

Depuis la rentrée 2024, VAZY accélère son déploiement en s’adressant directement aux entreprises. La nouvelle version prend ainsi en compte les déplacements en transport en commun, en covoiturage et en autopartage. Les salariés déclarent ainsi leurs trajets effectués et ont accès à des offres premium.

L’application propose également des challenges au sein des entreprises pour favoriser l’esprit d’équipe. Pour Loïc, ces défis représentent un avantage pour la politique RSE des sociétés qui peuvent mettre en avant l’empreinte carbone économisée par l’ensemble de l’équipe.