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Chaque week-end, les oiseaux de nuit parisiens se pressent devant cette boîte de nuit centrale du quartier Pigalle. La Machine du Moulin Rouge fête cette année ses 15 ans.

Ce lieu de concerts et de musique live accueille des shows rock, hip-hop, jazz et électro depuis 2010.  

La locomotive, l’ancien temple du rock parisien  

“Auparavant, ici, il y avait la Locomotive, une salle illustre qui a ouvert ses portes dans les années 60. Il y avait beaucoup de concerts rock l’après-midi. Des groupes mythiques comme The Kinks, The Who ou David Bowie sont notamment passés par ici. Dans les années 80, l’endroit est devenu un club avec l’apparition des musiques électroniques, avant de faire faillite”, retrace Michael Mateescu, le responsable de la Machine.  

4 espaces, 2500 mètres carrés dédiés à la fête 

La boîte de nuit est ensuite rachetée et baptisée La Machine, en référence à l’ancienne chaufferie du Moulin Rouge, le célèbre cabaret attenant au lieu. “Avec ce club, on touche un public différent de celui du Moulin Rouge. Mais depuis septembre, on accueille un cabaret, la Barbichette, une troupe de chez Madame Arthur. On travaille main dans la main avec le Moulin Rouge”.

Le club a fêté ses 15 ans à l’occasion d’une série d’évènements, du 29 janvier au 1ᵉʳ février, avec notamment un banquet et le groupe Rendez-Vous.  

“Born to be olive”. C’est le nom de l’huile d’olive fabriquée par le collectif Malakolives. En effet, en Ile-de-France, de nombreux propriétaires possèdent des oliviers dans leur jardin. “À Malakoff [Hauts-de-Seine, ndlr], on dénombre 120 oliviers. Et à Châtillon ou Montrouge, il y a des oliviers partout. Les oliviers poussent bien en région parisienne : les sols des bassins d’Ile-de-France sont très riches et il pleut beaucoup ici. Les arbres produisent donc beaucoup de fruits”, explique Vincent, membre du collectif, qui possède un olivier dans son jardin.

Les olives ramassées par le collectif ont d’abord été distribuées entières dans des bars de la ville de Malakoff. Mi-décembre, les bénévoles ont ensuite pu fabriquer 15 litres d’huile d’olive. Ils avaient par ailleurs lancé une cagnotte en ligne pour acquérir un matériel de cueillette plus efficace 1934 euros avaient été récoltés au total.  

En 2018, Montrouge (Hauts-de-Seine) a pris les devants en supprimant le plastique des cantines scolaires, bien avant que la législation commence à se durcir sur la question. “Nous avons voulu agir sans attendre qu’une obligation légale nous y pousse. L’écologie et la santé des enfants sont nos priorités”, explique Marie Colavita, adjointe au maire de Montrouge à la vie scolaire, aux apprentissages périscolaires et au bien-être à l’école. 

Pour atteindre cet objectif, la Ville a donc investi dans des plateaux en inox, des couverts en métal et des contenants en verre. Dans les cantines, ils ont remplacé les emballages en plastique par des alternatives compostables ou recyclables. 

Un défi logistique relevé

Le remplacement du plastique par des matériaux durables n’a pas été sans défis. “Il a fallu repenser toute la chaîne logistique, des approvisionnements à la gestion des déchets, tout en formant le personnel aux nouveaux outils”, souligne Marie Colavita. Cette mise en place a nécessité une coordination étroite entre les fournisseurs, les équipes municipales et les établissements scolaires. 

Malgré ces ajustements, les efforts ont rapidement porté leurs fruits. Les élèves ont d’ailleurs accueilli positivement ces changements. Ils sont également accompagnés avec des séances de sensibilisation sur l’écologie et les enjeux de la réduction des déchets. 

Cinq ans après, les retombées de cette transition sont visibles. Pour les élèves, cette démarche a permis de renforcer leur prise de conscience environnementale dès le plus jeune âge. Nous avons vu naître une véritable culture du respect de la planète chez nos enfants”, se réjouit l’adjointe au maire.

1200 mètres carrés au service de la technologie et de la créativité. L’artiste Miguel Chevalier, actif depuis les années 80, investit, jusqu’au 6 avril, le Grand Palais Immersif place de la Bastille, à Paris.

L’occasion pour les visiteurs de déambuler dans un espace futuriste, pensé par ce pionnier de l’art numérique en France. Les installations visuelles et sonores réagissent aux passages des spectateurs. Le clou du spectacle ? L’installation monumentale “maillages cosmiques”, dont les images se renouvellent en continu.  

Des installations pour petits et grands  

“L’espace du Grand Palais Immersif était conçu en premier lieu pour accueillir des décors d’opéra. Il y a donc des espaces petits, atypiques, bruts de béton, et des espaces plus grands. J’ai donc dû inventer un scénario regroupant mes œuvres depuis les années 90”.

“Pixels” est la plus grande exposition consacrée à Miguel Chevalier en France. 

Installé dans le 5 arrondissement de Paris, le Club K7 est un lieu unique qui s’annonce déjà mythique. Plus de 10 000 cassettes y sont répertoriées et permettent aux visiteurs de se replonger dans une époque pas si lointaine. À l’image du vinyle, la K7 revient petit à petit surface. Elle ressort en effet des placards et greniers pour le plus grand bonheur de nos oreilles.

Club K7
Photo Hémelyne Guillemot/airZen Radio

L’idée d’y dédier une boutique vient d’un couple d’amoureux, Léa et Andréas. « L’aventure a commencé, car on a acheté une voiture ancienne avec un autoradio. On a commencé à acheter des cassettes en faisant des brocantes pour pouvoir les écouter sur la route. On en a acheté de plus en plus et l’idée m’est venue d’ouvrir un commerce, car j’ai toujours voulu en avoir un », explique Andréas

Le projet a mis quelques années à se concrétiser et fait déjà, quelques jours après l’ouverture, le bonheur des passionnés ou des curieux qui viennent s’immerger dans l’ambiance hors du temps du Club K7.

Le char du film “Ben-Hur”, le bouclier de Brad Pitt, les costumes des deux Gaulois dans “Astérix et Obélix : l’Empire du Milieu” ou encore les robes de Liz Taylor… Jusqu’au 29 mars 2025, plus de 200 œuvres autour de l’Antiquité dans le cinéma sont à découvrir à la Fondation Pathé-Seydoux à Paris.

L’accent est ici mis sur les reconstitutions de cette période, avec notamment la création de décors et de costumes, mais aussi sur ces films appelés péplums.

Photo Léopoldine Deriot/AirZen Radio

“Ce terme désigne les films qui, depuis le début des années 60, prennent pour décor l’Antiquité. Le terme péplum recouvre des genres très différents, comme les films d’aventure, les films bibliques, les grandes fresques historiques”, détaille Stéphanie Salmon, la directrice des collections. Le tout premier film péplum est d’ailleurs français, “Néron essayant des poisons sur des esclaves”, sorti 1897.

Découvrez les secrets de ces films qui prennent vie dans l’Antiquité avec Stéphanie Salmon.

L’association UniR – Universités & Refugié.e.s – a été cofondée, en 2018, par l’activiste et poète vénézuélienne, Camila Ríos Armas, et par l’experte française en développement de projets à impact, Camille Soulier. Ensemble, elles ont imaginé des solutions pour accompagner les personnes réfugiées et demandeuses d’asile en France dans la reprise de leurs études.

UniR accompagne les personnes réfugiées à reprendre leurs études
Des ateliers organisés par UniR à destination des personnes refugiées ou demandeuses d’asile – UniR

Aujourd’hui présente à Paris et à Lyon, UniR s’appuie sur une équipe multiculturelle et des partenaires engagés.

UniR accompagne les personnes réfugiées à reprendre leurs études
Xiomara Palma, chargée d’apprentissage du français, accompagne une personne dans son parcours d’insertion socioprofessionnelle. Photo Vanessa Silvera

Pour Camila, l’apprentissage est un véritable refuge. C’est pourquoi avec UniR, elle valorise les acquis et les expériences passées des personnes accompagnées. Plusieurs programmes ont ainsi été spécialement conçus pour assurer leur insertion académique et socio-professionnelle. Le programme Mentorat entre femmes est d’ailleurs essentiellement dédié aux femmes afin de renforcer leur confiance en soi et leur autonomie.

Enfin, l’association remplit également une mission de recherche, de plaidoyer et de sensibilisation auprès des politiques publiques.

Découvrez comment l’association UniR a déjà orienté plus de 3 000 personnes réfugiées et demandeuses d’asile.

Chaque année, 100 000 jeunes quittent le système de formation initiale sans avoir obtenu de diplôme. Pour lutter contre le décrochage scolaire, l’association C’Possible œuvre depuis 2008 auprès de ces jeunes en lycée professionnel.

Souvent issus d’un milieu défavorisé, ils ne disposent pas, au départ, de tous les moyens leur permettant de construire leur avenir. Christelle Chamel, coordinatrice régionale au sein de l’association, revient sur cette mission de sensibilisation auprès des jeunes.

Présente dans 120 lycées, l’association C’Possible s’appuie sur un réseau de 450 bénévoles. Ces derniers, experts dans leur domaine, proposent des interventions en classe ou à l’extérieur. Ils développent par ailleurs avec le lycéen un accompagnement individuel, le mentorat, afin de lui donner toutes les chances de réussir.

Éric est bénévole et, selon lui, il est indispensable de faire preuve d’une écoute active et d’une ouverture d’esprit. L’association lance d’ailleurs un appel aux bénévoles pour continuer d’accompagner les jeunes à trouver leur voie.

Cette interview a été réalisée en partenariat avec le média impact.info. Vous pouvez la retrouver en intégralité ici.

Ce média a été fondé par Impact Partners et AirZen Radio, afin de mettre en lumière la parole de celles et ceux qui veulent faire bouger les lignes au sein de leur entreprise… mais pas que !

Rendez-vous sur impact.info pour découvrir les nombreux témoignages.

Alors qu’elle habitait à Berlin, Alexandra découvre le concept de proposer des massages dans des lieux partenaires afin de favoriser le bien-être de la personne. De retour à Paris, elle se rend compte que ce type de massage n’existe pas en France. Elle décide d’inventer Nomad’s. Inspiré du massage Amma assis, du massage Thaï traditionnel et du Shiatsu, le massage Nomad’s est pensé pour être réalisé sur une chaise normale pendant l’apéro ou lors d’un moment partagé avec ses proches.

Rendre le massage accessible n’importe où avec Nomad’s
Un massage assis à Paris – Nomad’s

Les praticiens et praticiennes de Nomad’s se rendent ainsi dans les lieux partenaires et proposent des massages de quelques minutes à prix libre. Que ce soit dans les restaurants, dans les bars ou encore sur les festivals, chacun peut ainsi avoir un moment de bien-être et de détente. Nomad’s est également présent en entreprise et anime des ateliers bien-être. Laurie Bellemain est City Manager à Lyon et Bordeaux au sein de l’entreprise. Elle rappelle ainsi la première mission de Nomad’s : démocratiser le bien-être à travers le massage.

En janvier, la galette des rois s’impose dans les vitrines, mais à la Pâtisserie Mélilot, dans le 20ᵉ arrondissement de Paris, elle prend une dimension unique. Sabrina Allard, pâtissière et cheffe d’entreprise, insuffle à ses créations une éthique forte, mêlant créativité et écoresponsabilité.

Mélilot n’est pas une pâtisserie comme les autres. Sabrina l’a pensée comme une structure durable, plaçant l’écoresponsabilité au cœur de chaque étape. Les ingrédients sont ici sourcés auprès de producteurs français et les fèves en argile, fabriquées par une amie céramiste nantaise, remplacent le plastique.

La galette des rois incarne parfaitement cette vision. Garnie de crème d’amande et de mélilot — une herbe française aux saveurs proches de la vanille —, elle séduit par son équilibre entre simplicité et sophistication. La pâte feuilletée, légère et croustillante, reflète quant à elle l’excellence artisanale.

Sabrina ne se contente pas de pâtisser : elle sensibilise ses clients au gaspillage alimentaire et prône une consommation responsable. Avec Mélilot, elle prouve que plaisir et engagement peuvent coexister, dans une démarche qui inspire et redéfinit les codes de la pâtisserie moderne.

Pratique.
Pâtisserie Mélilot
50 Rue de la Réunion
75020 Paris

« Le Musée de Poche est un lieu culturel de petite taille (à peu près équivalente à celle d’une poche) où sont réunies des œuvres d’artistes (vivants) pour le plaisir des yeux des petits et grands. Ce mini-musée propose tous les mois des expositions temporaires d’illustrations contemporaines. Dans la galerie, à hauteur d’enfants, on observe, on écoute, on s’éveille à l’art sans même le savoir ! », explique Pauline Lamy, la fondatrice de ce concept unique.

Le lieu est extrêmement chaleureux, il est fait de parquet, de mobilier vintage ainsi que d’une immense et belle verrière qui sépare le musée en deux espaces. L’un est dédié aux expositions et aux livres et l’autre est utilisé pour les nombreux ateliers qui sont proposés.

Tout y a été conçu pour que les enfants mais aussi leurs parents se sentent à l’aise, rassurés et qu’ils puissent s’éveiller à l’art et à la culture sereinement.

Le Musée de Poche, 41 rue de la fontaine au Roi, 75011 Paris

Avis à ceux qui aiment visiter les coulisses, découvrir l’envers du décor. Direction l’un des grands magasins parisiens : le Printemps, boulevard Haussmann.

L’entreprise Manatour organise régulièrement des visites guidées pour faire découvrir de l’intérieur cette institution pas comme les autres. Louise Champenois nous sert de guide pour cette visite. Elle nous explique la création de ce grand magasin, par un couple, Augustine Figeac et Jules Jaluzot, et revient également sur les innovations mises en avant par le Printemps : lapparition des premiers ascenseurs et surtout, l’utilisation de l’électricité.

Pour découvrir les coulisses du Printemps, écoutez notre reportage.

Pour aller plus loin > Vitrines de Noël : le Printemps Express promet un voyage féérique

« L’Étagère, c’est un lieu de créations manuelles, pour passer un bon moment et faire un atelier seul ou à plusieurs, autour d’une boisson ou d’un gâteau maison », expliquent les deux fondateurs de l’Étagère Café.

Le concept est très simple, il suffit de réserver une ou deux heures sur place, de choisir l’objet que l’on souhaite créer. Ensuite, une fois sur place, l’établissement fournit tout le matériel et les informations afin que l’on puisse se lancer dans sa création.

Des cours collectifs sont également proposés, ainsi que des ateliers animés soit par les fondateurs du lieu, soit par des artistes externes.

Les activités proposées sont multiples et l’idée est toujours la même, faire en sorte que les clients repartent chez eux avec un objet qui leur plait et qu’ils auraient pu acheter en magasin.

Qui ne connaît par les perles, ces petites boules blanc irisé qui se forment dans certains coquillages à travers le monde ? Cet objet précieux est au cœur de la nouvelle exposition de l’École des Arts Joailliers à Paris.

“Paris, capitale de la perle” présente près de 100 pièces de joailleries et une cinquantaine de dessins et documents iconographiques provenant de prêteurs prestigieux comme les maisons Van Cleef et Arpels, Cartier et Fred, ou encore l’exposition privée Albion Art.

Ce travail retrace l’histoire de la joaillerie et de la perle depuis la fin du XIXe siècle jusqu’à nos jours. D’où viennent ces perles ? Comment se forment-elles ? Réponse avec Leonard Pouy, docteur en histoire de l’art et commissaire de l’exposition. 

La croisière démarre au pied de la Dame de fer. Il est 19 heures, la tour Eiffel scintille. Sur le bateau, des touristes, mais aussi des Parisiens. Comme cette jeune femme qui revient chaque année le jour de son anniversaire, “parce que c’est offert et, surtout, parce que c’est magnifique”, sourit-elle.  

Les boudins de cheveux Ecofhair flottent à la surface de la Seine.
Vedettes de Paris

Bien qu’habituée, elle fronce les sourcils lorsque la guide-conférencière informe les passagers que “la croisière est 100% électrique”. Les Vedettes de Paris ont en effet converti quatre de leurs cinq bateaux à l’énergie électrique. “Il n’y a plus de bruit, de pollution sonore”, reconnaît un matelot sur le pont.  

La compagnie de tourisme fluviale vient par ailleurs de s’associer à Ecofhair, une start-up qui dépollue les cours d’eau avec des cheveux humains. Accrochés au bateau principal, des boudins flottent et captent ainsi les hydrocarbures présents à la surface de l’eau. 

Pour vivre la croisière en immersion et comprendre les enjeux écologiques afin de rendre le fleuve plus vert, écoutez les épisodes en tête de l’article.

Depuis quelques années, le Festival “Brisons le Silence” sensibilise autour des violences sexistes, sexuelles et conjugales afin de mieux les combattre. Organisé par l’association Filactions, le festival rassemble une vingtaine d’événements à Paris et à Lyon. À l’occasion de ces rencontres, l’association d’aide féministe de solidarité internationale Equipop a organisé un “voyage d’échanges féministes”. Trois militantes féministes d’Afrique de l’Ouest ont ainsi pu partager leurs expériences et leurs expertises avec leurs homologues français.

Un voyage d’échanges féministes au cœur du Festival Brisons le Silence
Chanceline Mevowanou, Kadiatou Konaté et Amandine Yao lors de la manifestation du 23 novembre à Lyon lors du Festival Brisons le Silence – Equipop

La féministe Amandine Yao a fait le déplacement depuis la Côte d’Ivoire. Experte en communication, elle a fondé les Gouttes Rouges. Cette organisation lutte contre la précarité menstruelle et l’illettrisme autour des menstruations. De son côté, la féministe Kadiatou Konaté est co-fondatrice des Jeunes Filles Leaders de Guinée. Elle milite depuis neuf ans pour les droits des filles et l’accès à l’éducation. Enfin, la féministe Chanceline Mevowanou est fondatrice de Jeunes Filles Actrices de Développement au Bénin. Elle s’engage pour la lutte de genre.

Découvrez l’histoire et l’engagement féministe de ces trois militantes d’Afrique de l’Ouest en écoutant notre sujet sur ce “Voyage d’Échanges Féministes”.

Lorsqu’on ne boit pas d’alcool ou occasionnellement, pour diverses raisons – goût, religion, allergie, santé… – trouver dans des bars ou des restaurants qui proposent autre chose que le traditionnel diabolo fraise ou un Virgin mojito peut s’avérer difficile. C’est pour s’y retrouver qu’a été écrit le guide “Paris sans alcool friendly “. Publié chez L’Indispensable, il s’adresse aussi aux curieux du sans alcool.

À l’intérieur, y sont recensées plus de 100 adresses de restaurants, bars, boutiques qui ont une offre de boissons sans alcool diversifiée et élaborée. Des ateliers pour fabriquer des boissons sans alcool y figurent également. À l’initiative de ce projet, qui est un complément du livre “Sans alcool” (éd. Massin), Raphaële Bortolin, Maud Catté et Augustin Laborde. Ce dernier est le fondateur du Paon Qui Boit, cave sans alcool parisienne. Alors, comment ont-ils sélectionné ces lieux ? Quels ont été leurs critères ? Augustin Laborde nous explique.

C’est un projet novateur en faveur de l’inclusion et de l’autonomie des personnes ayant un handicap visuel qui s’est concrétisé. Il s’agit du campus Louis Braille, tourné autour de l’innovation, de la formation et des recherches dans le domaine de la déficience visuelle. Celui-ci a été inauguré le 3 décembre au sein de l’Inja-Louis Braille (l’Institut national des jeunes aveugles) à Paris. Cet établissement public fait par ailleurs partie des structures fondatrices du lieu avec trois associations : apiDV, Voir Ensemble et Valentin Haüy.

Situées au cœur de la capitale, dans le 7ᵉ arrondissement, elles vont accueillir dans leurs locaux les différentes composantes du campus. Ce qui représente au total 20 000 m². « Ce quartier, par la présence historique de ces structures, est l’endroit où il y a la plus forte concentration de personnes malvoyantes en France. C’est-à-dire des non-voyants complets ou des malvoyants profonds ou légers. On en dénombre plus de 400 par jour, qui passent dans le quartier. Autant de personne qui pourraient contribuer à tester les solutions développées par les start-up », explique Thibaut de Martimprey, chargé de projet de ce campus. Il nous raconte en détails les missions et les ambitions de ce site.

Faites-vous attention à la DLC (date limite de consommation) des produits dans votre frigo ou vos placards ? Veillez-vous scrupuleusement à tout consommer avant la date fatidique ou vous arrive-t-il, parfois, d’être pris de court ? Savez-vous que, dans la plupart des cas, ces dates sont volontairement « pessimistes » ? De nombreux produits restent en effet parfaitement consommables plusieurs jours, voire plusieurs semaines après leur DLC.

Par exemple, un yaourt peut se savourer jusqu’à trois mois après sa date de péremption, tant qu’il est bien fermé. Un jambon entamé peut quant à lui être dégusté encore deux semaines en moyenne, à condition de rester vigilant. Et que dire des paquets de pâtes, de riz ou d’épices ? Bien qu’affublés d’une Date de durabilité minimale (DDM), ils sont quasiment immortels.

Le chef Jean Covillault, connu du grand public grâce à “Top Chef”, a eu l’idée de créer un restaurant éphémère centré sur l’antigaspi, une thématique qui lui tient à cœur. Pour concrétiser ce projet, il s’est tourné vers plusieurs entreprises spécialisées et a reçu un accueil enthousiaste de la part des épiceries responsables NOUS ant-gaspi.

Vincent Justin, dirigeant de la chaîne, a accepté de relever ce défi inédit pour son entreprise qui n’avait jamais collaboré avec des chefs professionnels auparavant. De cette union est ainsi né Des Restes, un restaurant ouvert depuis le 26 novembre et qui accueillera ses convives jusqu’au 30 mars 2025. Au menu : une cuisine de bistrot créative, à base d’aliments déclassés pour des raisons de date, de grammage ou même d’apparence. Le tout pour un menu entrée-plat-dessert à seulement 22 euros.

Des Restes
16 Rue Pastourelle
75003 Paris