Témoignages : pourquoi aiment-ils tant le vélo ? 

Ils aiment le vélo parce que c’est la liberté, l’autonomie, un vecteur de bien-être, un déplacement écolo. J’ai tendu mon micro à de petits et grands cyclistes. Morceaux choisis.

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Le vélo vu par les enfants

Le vélo vu par les enfants

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Le vélo vu par des acteurs du vélo

Le vélo vu par des acteurs du vélo

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Le vélo vu par la journaliste

Le vélo vu par la journaliste

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Qu’ils soient fabricants de vélo, d’accessoires, vélotaffeurs, cyclotorouristes, simplement passionnés ou porte-parole, cela fait sept mois que je tends mon micro à des acteurs du vélo. Que représente le vélo pour eux ? Pourquoi aiment-ils le vélo ?

Le vélo vu par l’écosystème du vélo

Pour Stein van Oosteren, « le vélo, c’est la liberté, le plaisir absolu. Dès que je sors du train, c’est toujours un petit miracle, je déplie mon vélo et je suis comme un oiseau ».

« C’est l’autonomie. C’est vous qui maîtrisez », assure Pauline Even.

« Le vélo a l’avantage de recréer du lien dans une ville », explique Mathieu Rault. 

« Je défends cette solution comme un vecteur de bien-être », témoigne Nico Pulcrano.

« Je briefe tous les gens que je connais et les encourage à prendre leur vélo, même quand il pleut. Il y a un petit côté jouissif à ne pas être pris dans la circulation », assure Claire Rousset.

« Le vélo, c’est une solution pas chère, viable et hyper agréable pour découvrir une grande ville », pour Manu Cier.

« Le voyage à vélo, c’est le meilleur compromis, la marche c’est très lent, la voiture, aucun intérêt, on voit rien et ça pollue, le vélo c’est juste parfait, on peut s’arrêter quand on veut », assure Nathan Pigourier.

« Dans le voyage à vélo, ce que j’aime c’est être dehors, aller lentement et voir le paysage qui défile », témoigne François Lardoux.

Le vélo vu par la journaliste 

En ce qui me concerne, j’ai deux vélos, dont un vélo à assistance électrique pour le travail. Un reportage à l’autre bout de la métropole ? Pas de voiture, pas de transport en commun, j’enfourche mon vélo, je sais exactement à quelle heure je vais arriver. Et quand je repars de mon reportage, je ne perds jamais mon temps sur mon vélo. J’observe, j’écoute. Je digère tout ce que j’ai vu et entendu, Je réfléchis à la manière dont je vais écrire un article ou monter un reportage. Et une fois devant mon ordinateur, je déroule.

Mais j’ai aussi un vélo musculaire (non électrique) pour le loisir, un longtail (allongé) pour les trajets du quotidien avec mes enfants. 

Le vélo vu par les enfants

Les enfants, justement, dans tout ça ? « À vélo, on peut aller partout, dans les petits chemins, dans les bois, dans les montagnes. J’aime faire du vélo parce que c’est écolo, c’est moins polluant que les voitures. Ça me détend et j’aime bien faire du sport », témoigne Elouan 8 ans.

« J’aime faire du vélo parce qu’on voit des animaux, on voit des écureuils dans les bois. J’aime bien faire du vélo parce que j’aime bien aller vite. Je fais la course avec mon frère », s’amuse Liza, 5 ans.

Ce contenu audio a été diffusé le 19 avril 2023 sur AirZen Radio. Maintenant disponible en podcast sur airzen.fr, notre application et toutes les plateformes de streaming.

Par Helene Lerivrain

Journaliste

Agence de communication Perpignan