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Louis Albert de Broglie, surnommé le Prince Jardinier, se souvient d’avoir toujours aimé la tomate. Cette fascination s’est rapidement muée en une véritable passion. C’est pourquoi, depuis 1993, Louis Albert met à l’honneur les quelque 800 variétés de ce fruit au sein de son château de la Bourdaisière, près de Tours. Avec son Conservatoire National de la Tomate, il rend hommage à ce légume-fruit qui ne cesse de surprendre par ses multiples formes, couleurs, tailles et goûts.

Chaque année, Louis Albert partage sa passion lors du Festival de la Tomate et des saveurs qui aura lieu au sein de son château les 13 et 14 septembre prochains. Il accueillera à cette occasion des milliers d’amateurs ainsi que des promeneurs qui viendront profiter des conseils de Nicolas Toutain, le jardinier en chef du Château. Les visiteurs pourront par ailleurs découvrir l’exposition “Deyrolle, Leçons d’anatomie – Santé connectée et intelligence artificielle“. Cette exposition rappelle l’importance de prendre soin de sa santé, notamment, en mangeant des tomates, riches en vitamines.  

Direction Chinon, en Indre-et-Loire, pour découvrir une discipline traditionnelle du Val de Loire : la boule de fort. Comme son nom l’indique, il s’agit d’un jeu de boules. Un peu à l’image de la pétanque, il faut ici se rapprocher le plus possible du cochonnet (appelé ici maître ou petit) pour marquer des points.

La boule de fort se distingue par l’aire de jeu. Longue d’une vingtaine de mètres, elle est incurvée sur les côtés. Concernant les boules, elles sont en bois cerclées d’acier. Elles possèdent par ailleurs un côté plus lourd, donc plus fort que l’autre, d’où son nom. Le cercle du Bon accord, à Chinon, nous a ouvert ses portes pour découvrir cette pratique. 

À la carte de Meurette et Persillé, les plats emblématiques de la région bourguignonne avec, comme plat signature, les œufs meurettes. Ce restaurant hommage aux saveurs de la région est porté par un chef de renom : Florent Colombo.

D’autres plats signature sont proposés pour régaler les papilles :  la brioche feuilletée de poulet fermier façon Gaston Gérard, le bœuf braisé à la cocotte comme un Bourguignon ou encore le coq au vin en effiloché préparé comme autrefois. Un vrai régal que l’on doit à l’âme généreuse du chef de Meurette et Persillé.

Cuisine traditionnelle revisitée dans un cadre plutôt moderne, le mélange est harmonieux. Tout comme le moment passé sur place.

Au programme : Un projet humanitaire et un accouchement

Le Sergent Chef Anthony Thiélin

Anthony est sapeur-pompier professionnel à la caserne de Tours Centre  dans le département d’Indre et Loire (37). Le secours à personnes représente la majeure partie des interventions (environ 82%). En plus de son activité de sapeur-pompier, Anthony est très investi dans le domaine du secourisme. Il fait partie d’une association de sapeurs-pompiers formateurs de secourisme, l’ESS 37 (Ecole de Secours et de Sauvetage d’Indre et Loire). Il y forme le grand public au PSC (Premiers Secours Citoyen).

Anthony forme également les salariés d’entreprise au SST (Sauveteur Secouriste du Travail), mais aussi leurs formateurs de secourisme. Anthony est engagé au sein de la Fédération Nationale des Sapeurs Pompiers de France (FNSPF) où il fait partie de la commission secourisme et formations. Il encadre les formations de formateurs de formateurs. Anthony nous racontera l’histoire émouvante de  trois pompiers (dont lui-même) qui ont lancé un projet humanitaire pour une petite fille via l’association « Sapeurs-lipopette ».

L’association« Sapeurs-lipopette » sur les réseaux :

https://www.facebook.com/sapeurs.lipopette/?locale=fr_FR

https://www.instagram.com/sapeurs_lipopette

L’ ESS 37

L’ ESS 37 (Ecole de Secours et de Sauvetage d’Indre-et-Loire) est une association agréée de sécurité civile et organisme de formation. Certifiée Qualiopi, elle dispense des formations dans les domaines des premiers secours, de la santé au travail et de la protection incendie. En 2025, sur 2050 stagiaires formés, 1997 ont été reçus. Le taux de réussite est de 97,4 %. Ces formations sont ouvertes au grand public, quelque soit votre profil. N ‘hésitez pas à contacter l’école la plus proche.

Quels sont habituellement les gestes de premiers secours ?

Voici les conseils usuels : vérifier l’état de conscience de la victime (s’il s’agit d’un accident). Contrôler la respiration de la personne si elle est inconsciente. Placer la victime en position latérale de sécurité. Pratiquer des compressions thoraciques et des insufflations (massage cardiaque). Utiliser un défibrillateur. Mais si vous habitez en Indre-et-Loire et  que vous souhaitez avoir une formation plus poussée et être guidé par des professionnels, rdv sur le site de l’ESS37

Au cœur du Berry, à Boulleret, la Maison Médard est bien plus qu’un restaurant gastronomique étoilé. C’est un lieu vivant, pensé en harmonie avec la nature et les producteurs locaux. Son chef, Julien Médard, y défend une cuisine écoresponsable, sincère et résolument tournée vers l’avenir.

La Maison Médard est aujourd’hui un restaurant étoilé au Guide Michelin et figure parmi les rares établissements à avoir obtenu trois macarons Écotable, un label exigeant qui distingue les restaurants les plus vertueux sur le plan environnemental.

Formé auprès de grandes maisons, Julien Médard a choisi de revenir sur sa terre natale pour y créer un projet engagé. Chaque matin, il part cueillir des herbes sauvages dans les prés alentours, avant de transformer avec délicatesse les produits issus de fermes voisines.

Parmi elles, la Chèvrerie Bailly-Blain élève des bufflonnes dont le lait et la viande sont travaillés avec respect. Cette filière peu commune en France est ici valorisée avec finesse. L’assiette devient donc le reflet d’un territoire, d’un lien humain, d’une philosophie.

L’engagement de la Maison Médard ne s’arrête pas à la cuisine. En 2022, la salle du restaurant a été repensée avec des artisans et designers pour intégrer matériaux durables : végétation discrète et lumière douce. Un lieu chaleureux, pensé pour durer.

Ici, tout se tisse autour du vivant : l’attention portée aux gestes, la confiance faite aux saisons et le plaisir simple de partager, en conscience, un repas profondément humain.

La Loire à Vélo est un itinéraire cyclo touristique de 900 km qui longe la Loire en reliant Cuffy (Cher) à Saint-Brevin-les-Pins (Loire-Atlantique). Chaque année, près de 2 millions de cyclistes empruntent cette route et la tendance pourrait augmenter avec l’intérêt grandissant pour le vélo. Le parcours est plutôt plat, laissant le temps d’admirer le patrimoine culturel et les paysages de la région.

L’itinéraire la Loire à Vélo fête ses 20 ans cette année. Pour fêter cet anniversaire, les offices de tourisme de Tours et d’Orléans ont travaillé ensemble à la mise en place d’un Pass Loire à Vélo. « Les visiteurs vont pouvoir prendre un vélo à Orléans et se déplacer jusqu’à Blois pour le rendre là-bas, à la fin de leur visite. Ils pourront bénéficier de nombreuses visites culturelles gratuites et d’avantages et réductions chez nos partenaires en restauration, pour des activités de loisirs ou des hébergements », explique Sébastien Poisson, chargé de développement à Orléans Val de Loire Tourisme. « On se prend très vite au jeu et on en garde en général un très bon souvenir », ajoute ce dernier.

Ce pass numérique permet ainsi de découvrir le territoire pendant 24, 48 ou 72 heures pour un prix compris unique entre 59 et 130 euros par personne. D’autres itinéraires cyclables sont prisés des touristes et se professionnalisent, faisant de la découverte des territoires à vélo une option intéressante.

En apparence, il ressemble à un camion tout à fait ordinaire. Mais le Cinémobile abrite en vérité une salle de cinéma itinérante, avec ses fauteuils rouges et son projecteur. En un coup de commande électrique, le camion se transforme et ouvre ses portes aux habitants de 46 communes de la région Centre-Val de Loire.

Cette initiative de la région permet à un public rural de bénéficier d’un accès au cinéma, alors que les salles obscures se font de plus en plus rares à la campagne. Le Cinémobile présente 170 films, aussi bien populaires que du cinéma d’art et d’essai. En 2023, il a ainsi attiré 58 871 spectateurs.

Comment l’aventure du Cinémobile a-t-elle débuté ? Émilie Paré, responsable du Cinémobile, revient sur la naissance et l’histoire de ce projet.   

Tous les matins, il embarque à bord de son triporteur et emprunte les chemins du village de Châtillon-sur-Cher dans le Centre-Val de Loire. François Pellegrin est un boulanger pas comme les autres. Avec, toujours, la musique de Joe Dassin en fond sonore, il livre son pain et ses viennoiseries à domicile. “Je roule environ 50 kilomètres par jour. Et dès que les personnes âgées me voient arriver, elles retrouvent le sourire. Comme je diffuse du Joe Dassin sur mes haut-parleurs, ça leur rappelle des souvenirs… C’est dans ces moments de partage que je me sens vraiment utile”, raconte François Pellegrin

Un passé de militaire  

Par le passé, François Pellegrin était militaire à l’étranger. Après avoir perdu des amis en Afghanistan, et avoir vécu un stress post-traumatique, il est devenu aide-soignant dans la Somme. Il a finalement créé une société de chauffeur VTC, puis est devenu chauffeur de car. “Je n’étais pas épanoui dans ce métier. Et là, mon fils, avec qui je cuisinais souvent, m’a lancé un défi : m’inscrire à l’émission “Le Meilleur Pâtissier” sur M6. J’ai été sélectionné pour la saison 9. Cette expérience m’a mené vers le métier de boulanger.”

Le boulanger a opté pour le triporteur comme moyen de locomotion à cause de la flambée des prix de l’énergie, mais également pour son aspect écologique.

Le cinémobile sillonne la région Centre-Val de Loire et permet à un public rural de bénéficier d’un accès au cinéma à travers une programmation d’actualité et variée.

C’est la seule salle de cinéma de ce type. À l’intérieur de ce camion imposant, une salle de cinéma avec de magnifiques fauteuils rouges. L’ambiance est cosy et la salle à taille humaine.

« On essaye de venir tous les mois. On a une programmation assez régulière. C’est important d’ailleurs cette régularité pour nos spectateurs. À chaque passage, il y a au moins trois séances par commune, adaptées à tous types de public », explique Emilie Paray

L’équipe du Cinémobile est polyvalente

« On est une dizaine sur ce projet. Dont une équipe technique qui est présente sur le terrain et va déployer plein de compétences. Il faut à la fois savoir conduire le camion, aménager le semi-remorque en salle de cinéma et, bien sûr, savoir projeter, même si aujourd’hui tout est en numérique. Le travail ne s’arrête pas là, car nos régisseurs accueillent aussi le public », ajoute Émilie, passionnée par le projet.

Le Cinémobile propose des animations et rencontres autour du cinéma avec des débats, des concerts, des temps d’échanges conviviaux afin de favoriser les liens entre les œuvres, leurs auteurs et les publics, avec le soutien des communes.

C’est une première en France. Dès septembre prochain, des autocars convertis à l’électrique circuleront en Auvergne-Rhône-Alpes et dans la région Centre-Val de Loire. À l’origine de cette solution décarbonée, une entreprise française : Retrofleet. La méthode appliquée, baptisée le rétrofit, consiste à enlever le moteur thermique de ces bus, puis de le remplacer par un moteur électrique muni d’une batterie.

Les premiers véhicules à circuler avec ces nouveaux moteurs seront des autocars scolaires en région Centre-Val de Loire et Auvergne-Rhône-Alpes. Retrofleet donne essentiellement une deuxième vie à des véhicules vieux d’au minimum cinq ans. Ils sont équipés de batterie produite par une entreprise française. Les véhicules nouvellement équipés ont une autonomie de 150 kilomètres.

Le temps de recharge dure deux heures et le bus est ensuite prêt à repartir. Selon Retrofleet, cette méthode peut devenir une véritable alternative pour le transport de demain puisque le rétrofit est conforme aux ZFE (zones à faibles émissions), qui fleurissent dans les différentes grandes ville françaises.

Par ailleurs, Clément Beaune, ministre délégué aux Transports, a annoncé le 28 mars dernier une enveloppe de 5 millions d’euros pour faciliter l’achat d’autocars électriques.

Que vous aimiez ou non les roses, les jardins de Roquelin est une destination à envisager si vous passez par Meung-sur-Loire (Loiret). Sur un hectare, Stéphane Chassine, son propriétaire, jardinier chevronné, propose 500 variétés de roses. Mais l’endroit est bien plus qu’une roseraie. L’ancien champ de blé s’est transformé en un petit parc botanique de style anglais.

Ici, pas de lignes droites au cordeau ponctuées de buis en topiaires. Place à une diversité foisonnante au désordre maîtrisé ! On la découvre le long d’allées serpentant au milieu de massifs colorés de vivaces et de rosiers, d’arbres et arbustes.

Un jardin intégré dans la nature

Et même si on est bien dans un jardin clos, l’impression qui domine est celle de la liberté. Logique quand on sait que la ligne directrice de Stéphane Chassine est d’intégrer son jardin dans le paysage et la nature.

Une nature qui n’hésite d’ailleurs pas à s’y inviter. Les butineurs bourdonnent allègrement. Les oiseaux y ont leur résidence. On y croisera des paons un peu timides et des coqs plus braillards. Ainsi que des canards en pleine baignade ! Probablement tous reconnaissants de la gestion résolument « zéro phyto » en vigueur.

Une halte sur La Route de la rose

Ce « tout naturel » se retrouve également dans les aménagements du jardin. Ainsi, les structures – entièrement réalisées par Stéphane – sont en bois de châtaignier. Dans l’espace détente, les tables et les chaises en fer joliment rouillées apportent leur touche d’authenticité.

Juste à côté, une grande serre fait office de pépinière où l’on peut acheter certaines des plantes admirées pendant la visite. Autant de bonnes raisons de faire une halte aux jardins de Roquelin, un des sites d’excellence sur la route de la Rose du Loiret.

La plupart des variétés de roses des jardins sont disponibles à la vente dans la pépinière. © Omar Mahdi / Greenfortwo Media

Le tofu, c’est en quelque sorte du fromage de soja pour faire simple. « En fait, on part de graines de soja sèches », explique Sébastien Leclercq, cofondateur de l’entreprise Le chat des champs.

Ces graines, « on les réhydrate, on utilise ensuite un moulin pour produire le lait de soja. À partir de ce lait, on fait un caillé, comme un fromage finalement, un fromage frais. On fait donc cailler ce lait avec du sel de magnésium et ça donne une pâte que l’on presse, qui donnera le tofu nature et frais que l’on connaît. »

Au cours de la préparation du tofu, tous les produits utilisés sont locaux. Les graines de soja proviennent d’une exploitation céréalière bio du sud de la Touraine, précise Sébastien Leclercq. Le sel, quant à lui, vient de Vendée. Seuls les épices et le nigari (le sel de magnésium), indispensables à la fabrication du tofu, viennent de plus loin.

Pour la distribution des produits, là encore, le circuit reste local : supermarchés bios du coin, AMAP, restaurants ou encore cantines scolaires…

Qu’est-ce qu’un insecte ? À quoi sert-il ? Est-ce que ça pique ? Ce sont les questions auxquelles répond Aline Donini, entomologiste et muséologue en Loire-Atlantique, lors des balades entomologiques pour faire découvrir le monde des insectes aux enfants comme aux adultes.

Lors de ces promenades ludiques de deux heures, aux thématiques diversifiées, la biologiste emmène ses participants dans des lieux bien spécifiques. « On va dans des pairies sauvages, c’est-à-dire des zones où la nature a été laissée à elle-même. Les fleurs sont sauvages, les insectes sont donc habitués à ces plantes, vont se reproduire et les polliniser. »

Éveiller la curiosité

Collection privée Aline Donini

Aussi, « je préfère aller dans des endroits où l’on parle de diversité biologique naturelle, donc où il n’y pas forcément des espèces originales, comme ça l’enfant va développer son œil naturaliste. C’est pour l’encourager à regarder les moindres petits insectes, explique Aline Donini. » D’ailleurs, l’entomologiste tient à préciser qu’un insecte « a six pattes, un thorax, un abdomen et a quatre ailes. Donc, on exclut les araignées ou encore le mille-pattes. »

Afin d’explorer dans les meilleures conditions ces petites bêtes, Aline Donini a créé son propre matériel. Une fois que les curieux du jour sont équipés « chacun prend un filet à papillons. On se promène, on fauche, on ramasse, on fait aussi du battage dans les arbres pour faites tomber les insectes. Puis, on les met dans des bocaux pour les admirer ». L’idée est de comprendre les caractéristiques des différentes espèces d’animaux.

La passionnée d’insectes conclut : « Quand on est curieux et qu’on a soif de savoir, les insectes c’est parfait, parce qu’on en apprend tous les jours. »

Pour participer aux balades entomologiques d’Aline Donini, n’hésitez pas à vous rendre sur son site internet ou sur le site de l’office de tourisme Centre-Val-de-Loire.

C’est l’histoire d’un hashtag, d’une marque, #enrouelibre, développée par le comité régional du tourisme de Centre-Val de Loire. Son objectif ? Mettre en avant les initiatives de slowtourisme dans la région, que ce soit les hébergements, ou les activités.

Parmi les valeurs défendues par la marque, le respect de la nature, la transmission, le local, ou encore simplement le fait de prendre son temps.

Le vélo est maître

Les équipes de #enrouelibre espèrent sensibiliser les voyageurs au respect de la nature, à l’écomobilité. Elles veulent également partager avec les touristes leur territoire, ses passions, faire découvrir le savoir-faire des artisans et favoriser les échanges. Bref, elles espèrent que vous prendrez le temps de venir en région Centre-Val de Loire pour vous déconnecter du rythme quotidien, vous ressourcer ou favoriser l’éveil de vos sens.

Parmi toutes les activités éco-responsables à réaliser en dans la région : le vélo. La région dispose de pas moins de 5 000 kilomètres d’itinéraires cyclables. De grandes véloroutes traversent en effet les différents départements, que ce soit la Loire à vélo, ou la Scandibérique. Si vous préférez l’eau, il existe également de jolies balades en bateau, ou à pied pour les amateurs de randonnées.

Grande place à la nature

En plus de toutes ces activités, vous pourrez également brasser votre propre bière, participer à des ateliers de céramique à la poterie, ou à la vannerie.

La nature a également une grande place dans cette région avec notamment trois grands parcs naturels régionaux, des forêts, ou encore des itinéraires boisés, la silvothérapie est d’ailleurs l’une des activités proposées par les équipes de #enrouelibre.

Plus d’informations sur enroulibre-centrevaldeloire.com