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Depuis 10 ans déjà, l’association Creative Vintage sensibilise le grand public aux notions de réemploi et d’anti-gaspillage. Elle organise ainsi régulièrement des ateliers en entreprise ou dans des écoles.

La créativité est utilisée pour faire réfléchir à sa façon de consommer et sa gestion des déchets. Creative Vintage favorise par ailleurs le réemploi en fabriquant des objets, comme des porte-clefs, des sacs, des bracelets ou encore de la décoration, à partir de déchets.

Le but est ainsi de donner une nouvelle vie aux chambres à air et autres tissus voués à être jetés. Pour ce faire, trois salariés et une trentaine de bénévoles s’engagent à lutter contre la surconsommation.  

“Born to be olive”. C’est le nom de l’huile d’olive fabriquée par le collectif Malakolives. En effet, en Ile-de-France, de nombreux propriétaires possèdent des oliviers dans leur jardin. “À Malakoff [Hauts-de-Seine, ndlr], on dénombre 120 oliviers. Et à Châtillon ou Montrouge, il y a des oliviers partout. Les oliviers poussent bien en région parisienne : les sols des bassins d’Ile-de-France sont très riches et il pleut beaucoup ici. Les arbres produisent donc beaucoup de fruits”, explique Vincent, membre du collectif, qui possède un olivier dans son jardin.

Les olives ramassées par le collectif ont d’abord été distribuées entières dans des bars de la ville de Malakoff. Mi-décembre, les bénévoles ont ensuite pu fabriquer 15 litres d’huile d’olive. Ils avaient par ailleurs lancé une cagnotte en ligne pour acquérir un matériel de cueillette plus efficace 1934 euros avaient été récoltés au total.  

Que ce soit par inhumation ou par crémation, le secteur funéraire a un impact environnemental important. Selon une étude commandée par les services funéraires de la Ville de Paris, une inhumation émet jusqu’à 833 kg de CO2. En partant de ce constat, Ali Lounis Wallace et Laura ont décidé de concevoir des cercueils respectueux de la planète. Avec Pivert Funéraire, ils ont opté pour une solution permettant de fabriquer ces produits à partir de déchets de l’industrie sylvicole.

L’idée n’est pour l’instant qu’à l’étape de prototype, mais Ali est bien décidé à trouver toutes les alternatives pour réduire l’impact carbone de ce secteur. Les cercueils de Pivert Funéraire ne comportent ainsi ni vis, ni polluant. Plus légers, ils peuvent ainsi s’emboîter pour gagner de l’espace.

Les fondateurs de Pivert Funéraire souhaitent par ailleurs changer le regard sur la mort. Ils veulent ainsi prouver qu’il est possible aujourd’hui de rendre hommage aux défunts dans le respect de l’environnement.

Perchée à Plouider (Finistère), face à la mer, la Table de la Butte est le terrain d’expression de Nicolas Conraux, un chef résolument engagé. Travaillant main dans la main avec des producteurs locaux, il magnifie les richesses bretonnes, des algues aux légumes cultivés en permaculture dans le potager du restaurant, en passant par les volailles, bœufs et poissons de la région. 

Mais l’engagement va bien au-delà des assiettes. Toiture végétalisée, serre bioclimatique, ruches et boulangerie artisanale témoignent de la quête d’autosuffisance du lieu. Ce modèle inspirant de gastronomie écoresponsable a obtenu les trois macarons du label Écotable, son niveau maximum. Et même le Guide Michelin lui a décerné une Étoile verte dès sa création. Deux reconnaissances de pratiques durables et respectueuses de l’environnement.

En plus de pratiques durables, Nicolas Conraux s’est également spécialisé sur toutes les formes de conservation : des cuirs de fruits (purée de fruits qui a été déshydratée afin de mieux les conserver) à toutes sortes de fermentations en passant par de fascinantes méthodes japonaises. Le tout pour développer une cuisine étonnante et extrêmement personnelle. 

Pour Nicolas Conraux, chef breton depuis 25 ans, la mer est une véritable « mère nourricière », qu’il s’attache à préserver tout en la sublimant. En transmettant son savoir aux nouvelles générations, il réaffirme d’ailleurs son ambition : réconcilier plaisir, authenticité et durabilité. À la Table de la Butte, chaque repas devient un hommage vibrant à la nature.

Pratique.
La Table de la Butte
12 Rue de la Mer
29260 Plouider

Des bières fabriquées comme au Moyen Âge au château de Langlard, dans l’Allier, un reportage sur le pain d’épices, un autre sur les agrumes rares… Le nouveau numéro de “Mordu“, le magazine d’Elisabeth Pierre, consacre ses 81 pages au bio, au goût et aux femmes productrices.

“Je rêvais de lire un magazine qui met en avant la bière et la table. Il n’existait pas, alors je lui ai donné vie”, explique la Franc-Comtoise. Et en matière de houblon et de malt, Elisabeth Pierre en connaît un rayon puisqu’elle est “zythologue”. “Je suis la première zythologue de France : je déguste et explique les mots des bières. C’est le Québec qui m’a le plus inspirée, le premier biérologue étant québécois.”  

Comment fabrique-t-on des bières fumées ? Qui sont les auteurs derrière “Mordu” ? Réponse dans l’interview d’Elisabeth Pierre, rédactrice en chef du trimestriel.

Frédéric Henrio a créé l’entreprise Selle à watt. Cet inventeur breton a monté chez lui, dans le Finistère, une centrale électro-musculaire. Reliée à un vélo, elle permet de produire de l’électricité en pédalant. Par exemple, une heure de sport de recharger un téléphone portable.

Cette centrale permet également de faire tourner un écran pour regarder un film ou de fournir l’énergie nécessaire pour un set de DJ. Cette solution est pour lui le moyen de sensibiliser aux différents enjeux énergétiques en rappelant la valeur de l’énergie.

Avec Selle à Watt, Frédéric souhaite par ailleurs intervenir dans d’autres entreprises, collectivités ou lors d’événements pour aborder la sobriété énergétique. 

L’Agence Bio est l’organisme qui décline les actions de communication et de promotion de la filière bio, en France, depuis 20 ans. Elle réunit tous les professionnels du secteur de la bio : les agriculteurs, les transformateurs et les distributeurs. Pour des raisons d’économie budgétaire nationale, les financements de l’Agence Bio sont aujourd’hui menacés.

Ces dix dernières années, les actions menées ont pourtant contribué à doubler la consommation et les activités bio en France. Didier Perreol, président de la Maison de la Bio, vice-président de Léa Nature et fondateur d’Ekibio, en rappelle d’abord les caractéristiques : sans pesticides, sans OGM et avec une traçabilité totale. Il explique ensuite qu’il y a encore beaucoup de Français à convaincre de l’intérêt à manger sain. Tout autant qu’il y a encore des agriculteurs à convaincre de passer en bio. Tout cela dans le but de préserver leur santé, l’environnement, l’air, l’eau, la biodiversité, la planète, etc. Or c’est justement le rôle confié et mené à bien par l’Agence Bio.      

Quelles sont les missions de l’agence bio  ?  Comment promouvoir la bio en France si l’agence bio disparaît ? Les acteurs de la bio partagent-ils la perspective d’arrêt de la Maison de la Bio  ?

En ce mois de janvier, le restaurant Lava, niché au cœur du 5ᵉ arrondissement de Paris, se distingue en proposant une expérience culinaire inédite : des accords mets et boissons entièrement sans alcool. Le chef Wilfried Romain, connu pour sa participation à l’émission “Top Chef”, s’engage ainsi dans le mouvement du Dry January, offrant à sa clientèle une alternative raffinée et créative.

Pour ce Dry January, le chef a donc élaboré un menu dégustation en cinq étapes, accompagné d’accords sans alcool tout aussi travaillés que les plats eux-mêmes. Pour le chef, il ne doit plus faire entièrement confiance à son sommelier, mais créer lui-même les accords. Les boissons proposées sont ainsi le résultat de techniques telles que la torréfaction, l’infusion et la fermentation, offrant des saveurs complexes et harmonieuses. Parmi ces créations, un jus de pomme oxydé avec du houblon et du blé torréfié, ou encore une infusion de citron brûlé, cumin et foin. 

Le résultat est véritablement étonnant : les saveurs s’accordent parfaitement, permettant à ceux qui ne boivent pas d’alcool de vivre une expérience gastronomique complète et aboutie.

Cette initiative reflète l’engagement de Lava à proposer une expérience culinaire inclusive. Et il est certainement l’un des premiers restaurants en France à vouloir réellement développer ceci. 

Un slogan disait il y a quelques années : « Sans alcool, la fête est plus folle ! ». Maintenant, c’est possible ! 

« Nous sommes douze moniales cisterciennes, d’une moyenne d’âge de 41 ans, présentes à l’abbaye de Notre-Dame-des-Neiges depuis le 1ᵉʳ décembre 2022. Originaires de l’abbaye de Boulaur, dans le Gers, nous avons pris la suite des frères trappistes qui occupaient les lieux depuis 1850 et qui ont dû renoncer à y poursuivre leur vie monastique, car le poids du site était devenu trop lourd pour eux », expliquent celles qui ont réussi à sauver cette abbaye mythique située en Ardèche.

Cette communauté ne cesse, depuis son installation, de multiplier les bonnes idées afin de pouvoir entretenir les 22 000 m² de bâtiments et les 450 hectares qui entourent l’abbaye.

Depuis deux ans, les sœurs fabriquent des produits ménagers naturels qui plaisent beaucoup. Rencontre avec sœur Ann.

Créé en 2022 à Strasbourg, l’atelier CirculR se donne pour objectif de transformer les déchets alimentaires en objets composés de matériaux 100% biodégradables. La structure est née de l’association d’un petit groupe de scientifiques et bricoleurs créatifs souhaitant développer des matériaux recyclables.

Les déchets alimentaires sont donc ici transformés en divers objets du quotidien. L’association a ainsi récemment produit des pots à semis entièrement dégradables. De petits bijoux ont été fabriqués avec du marc de café ou même du papier avec du son de blé.

L’association vient de boucler une phase de financement. Elle souhaite désormais développer son activité et, notamment, organiser des ateliers découvertes ouverts au grand public. 

Le carton est un matériau aux multiples vertus. Nicolas Le Dirach, charpentier-menuisier breton, s’en est rendu après avoir regardé l’émission “E=M6”, qui mettait en avant les bénéfices de ce matériau dans la construction d’habitations.

Impressionné, ce chef d’entreprise a alors construit sa maison, à La Vraie-Croix, dans le Morbihan. Il a ainsi utilisé du carton recyclé pour l’isolation thermique et sonore, fourni par l’entreprise Bat’Ipack, fabricant de matériau bas-carbone, et du bois pour l’ossature. “L’ensemble est composé de 93% de matériaux biosourcés”, affirme-t-il. La réalisation s’est étalée sur près de six mois. 

Voyant que son ouvrage avait fait effet sur son entourage, Nicolas Le Dirach a décidé de lancer, en 2022n sa société Maison Bois Carton 56. Celle-ci propose donc des habitats moins énergivores que des constructions classiques, fait avec du béton. Comment expliquer cela ? Comment sont construites ces maisons écoresponsables et en combien de temps ? Sont-elles si économiques que cela ? L’artisan nous raconte les coulisses de fabrication.

En 2024, 4,2 millions de personnes étaient en situation de mal-logement en France, selon les estimations de la Fondation Abbé Pierre. Frédéric Pédro s’est sensibilisé à cette problématique de la précarité liée au mal-logement. C’est pourquoi il a lancé, en 2019, un fonds d’investissement collaboratif citoyen. Investir Ensemble concentre ses actions en Nouvelle-Aquitaine.

L’objectif de la structure est de racheter des logements insalubres et de les rénover avec des matériaux bas-carbone pour les mettre en location à destination des publics les plus vulnérables. Jusqu’à présent, 22 immeubles, soit 60 logements, ont été réhabilités. Prochainement, 155 de plus le seront grâce à une levée de fonds de 4,3 millions d’euros, effectuée fin 2024, auxquels se sont ajoutés 200 00 euros.

Désormais, Investir Ensemble compte 225 associés. Qui sont-ils ? Comment sont rénovés les logements ? Comment sont-ils rendus moins énergivores ? Frédéric Pédro nous explique.

Connaissez-vous la graine de chia (prononcée tchia) ? Originaire d’Amérique du Sud, elle a été redécouverte par des agronomes à la fin des années 1990. Rapidement, un Français s’y intéresse : Frédéric Poujaud. Il a fondé Agrofün, en 2005, et a créé la filière chia de France en 2017. « La chia est une plante vierge de toute sélection et sa graine contient un niveau important d’oméga 3. Or les oméga 3 servent à constituer le système nerveux. Et nous en manquons cruellement, ce qui engendre des maladies neurodégénératives », rappelle-t-il. 

La chia après transformation. Photo Agrofün - Filière Chia de France.
La chia après transformation. Photo Agrofün – Filière Chia de France.

Autre atout : la chia fleurit en été, demande peu d’intrants et d’eau et aucun traitement fongicide ou insecticide. La filière est 100 % bio. « La production est bio parce que les consommateurs bio sont plus sensibles à ce discours », nuance Frédéric Poujaud. Mais celui-ci souhaiterait convaincre tous les consommateurs des bienfaits de ce superaliment. « En sept ans, nous avons réussi à créer une filière qui est rémunératrice pour les agriculteurs et bénéfiques pour les consommateurs », se réjouit-il. Pour que cela fonctionne, il insiste sur l’importance de la contractualisation entre producteurs, industriels et distributeurs pour ne produire qu’en fonction des besoins.

Retrouvez les portraits d’autres salariés engagés

Comment passer au zéro déchet ? Par où commencer ? Difficile parfois de faire le tri parmi toutes les propositions et de ne se démotiver face à l’impression qu’il y a une montagne à franchir.

Il est ainsi important d’y aller pas à pas. Clémence Bressin a décidé de tenter cette aventure. Elle a créé sa boutique écologique en ligne et s’est lancée comme mission de valoriser les déchets textiles en objets ménagers. Elle propose notamment des éponges lavables qu’il est possible d’utiliser pendant un an. Ces éponges sont fabriquées à partir de tissu revalorisé, mais aussi d’hévéa pour le rembourrage. “Aussi nommé l’arbre à caoutchouc, cette plante produit du latex utilisé dans la fabrication de matelas”,  explique Clémence.

Le Dry January ou “Janvier Sec” gagne en popularité chaque année. Mais renoncer à l’alcool ne signifie pas sacrifier le plaisir. Matthias Giroud, mixologue de renommée internationale et co-fondateur de la société L’Alchimiste, l’a bien compris.

Spécialisé dans la création de cocktails, entre autres, sans alcool, Matthias propose une gamme de boissons prêtes à déguster, élaborées avec des ingrédients naturels, et des recettes audacieuses. Ses créations mêlent des saveurs subtiles et inattendues, comme le rooibos, le poivre d’Afrique, le yuzu ou encore les baies de Timur, pour des expériences gustatives inoubliables. Un mixologue, c’est un peu comme un saucier dans une cuisine. C’est lui qui va s’occuper des préparations, des saveurs…”, explique-t-il.

Cette initiative s’inscrit parfaitement dans l’esprit du Dry January : adopter un mode de vie plus sain tout en célébrant le plaisir de partager un verre entre amis. Avec Matthias Giroud, trinquer sans alcool devient un véritable moment de fête et de raffinement. Il existe ainsi aujourd’hui une véritable créativité dans le domaine du sans alcool. Matthias Giroud est décidément l’un des plus mixologues les plus créatifs.

Depuis 2011, la commune de Mouans-Sartoux, dans les Alpes-Maritimes, a lancé les fermes municipales. Ce nouveau modèle économique permet d’intégrer des enjeux alimentaires et agricoles.

À ce jour, trois maraichers cultivent 6 hectares pour alimenter les cantines scolaires, soit 1200 couverts par jour, en circuit court et 100% bio. Gilles Pérole l’adjoint au maire de cette ville. Il est également le fondateur de la Maison de l’éducation à l’alimentation durable et fondateur du réseau des fermes municipales.

Les fermes municipales sensibilisent les habitants

Une récente étude d’impact du projet alimentaire territorial de Mouans-Sartoux a ainsi montré que 71% des habitants ont modifié leurs pratiques alimentaires en diminuant, par exemple, de 30% leur consommation de produits ultra-transformés et de 23% leur consommation de viande, mais aussi en mangeant, pour 28% d’entre eux, des produits bio tous les jours. Ces changements de pratiques alimentaires ont par ailleurs généré une diminution de 26% de l’impact carbone de l’alimentation des habitants de la commune.

Gilles Pérole sera l’un des intervenants au sommet Benvivo le 22 janvier 2025 à Kedge Business School Bordeaux.

La coopérative marseillaise Bourlingue & Pacotille s’est lancée dans le transport de marchandises en Méditerranée à l’aide d’un voilier. Pour ce faire, elle a fait l’acquisition d’un navire d’acier de 17 mètres, initialement conçu pour des expéditions polaires.

La coopérative s’est retroussé les manches pour l’adapter au fret maritime et stocker 5 tonnes de marchandises. Ce voilier permet ainsi désormais de transporter des produits à la voile entre Marseille et le pourtour méditerranéen. Un moyen également de proposer une solution de transport décarbonée, a contrario des cargos dépendants du fioul.

Bourlingue & Pacotille a donc créé un réseau de producteur, de la Tunisie à la Sicile jusqu’en Sardaigne, composé d’apiculteurs, de céréaliers ou de maraichers. Nicolas Rousson, le co-fondateur de Bourlingue & Pacotille, nous en dit davantage. 

Jérémy Tosten, directeur des Alchimistes Toulouse, partage ses conseils pour un compost maison réussi. La clé : l’aération. Si le compost dégage de mauvaises odeurs, cela signifie qu’il manque d’oxygène. Il faut donc penser à le remuer régulièrement et à ajouter du broyat de bois, des feuilles mortes ou des tontes de pelouse pour structurer la matière. 

Tout peut être composté, y compris la viande et le poisson, à condition de bien mélanger. Toutefois, il vaut mieux éviter les gros os ou carcasses. Avec ces règles simples, les déchets deviennent en un terreau riche, sans nuisibles ni odeurs désagréables, pour les plantes. 

Pour plus de détails, retrouvez tous les conseils pratiques dans l’interview en tête d’article. 

Chaque année, deux milliards de cafés sont consommés partout dans le monde. Expresso, latté, glacé… Le café à boire ne représente en réalité qu’une partie de la filière café. C’est justement ce qu’ont appris Émilie Marquois et Lalatiana Rakotomamonjy, qui viennent de créer Café Way of Life. Ce concept store 100% digital met en lumière l’ensemble de la filière café.

Du café à boire, bien sûr, en passant par la cuisine, la mode, la cosmétique ou encore la décoration, tous les univers sont ainsi représentés et mis en avant sur le site. Émilie et Lalatiana nous en disent plus.

Pour aller plus loin > Paris : Les Etablis réparent vos objets du quotidien