Et si la famille devenait le moteur du changement pour un avenir durable ? « Les Enfants de l’apocalypse », paru aux éditions Tana, de Charlotte Meyer invite à repenser son rapport au monde en explorant des modèles éducatifs sociaux et économiques qui résonnent avec les défis de notre époque.
Ce travail de 3 ans a conduit l’autrice à rencontrer une cinquantaine de personnes pour nourrir ces récits. Des profils parfois citadins, parfois plus radicaux, qui permettront à un large panel de parents écolos de trouver des réponses.
« Quand on parle d’écologie ou de parentalité écologique, on a tendance à tout ramener aux écogestes, au tri des déchets ou même à l’éducation en pleine nature. Mais quand on rencontre ces familles, on s’aperçoit que l’écologie, c’est beaucoup plus vaste », explique l’autrice. Ce livre apparaît comme un outil de réconciliation pour les écolos qui rêvent de fonder une famille.
Fini la dissonance, place à l’action et l’éducation. Car après tout, ne plus faire d’enfant, c’est abandonner la planète à ceux qui la détruisent. Il n’y a pas de solutions miracles, seulement des convictions personnelles et individuelles nourries par les imaginaires et autres récits.
