Vers de meilleures pratiques avec les outils digitaux

Entre le ”tout digital” et à l’inverse une “sobriété totale”, la juste place du digital reste à affiner. Alexandre Jost partage les enseignements d’une étude réalisée par la Fabrique Spinoza.

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Le digital peut aider les bonnes relations humaines

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02:40

Le digital vertueux dans le domaine médical

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04:35

Vers de bonnes pratiques avec le digital

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04:43

Créée par Alexandre Jost en 2011, la Fabrique Spinoza est le think-tank du bonheur citoyen. Sa mission est de redonner au bonheur sa place au cœur de notre société. Avec son réseau de « passeurs du bonheur » elle remet le bonheur au centre de la société, de l’école, du travail, etc.

Elle appuie ses travaux sur des études scientifiques et partage des bonnes pratiques de transformation positive.  

Parvenir à un équilibre

Le digital fascine par l’impact majeur qu’il a sur les individus, les organisations et les institutions. Il affecte toutes les composantes de la société. Ses détracteurs sont aussi convaincants que ses partisans. D’un côté, les dérives qu’il occasionne chez les personnes (addictions électroniques, doom-scrolling, etc.) et la prise de conscience de son impact écologique. De l’autre, des promesses et des espoirs démesurés. Le digital élargit les horizons et accueille une très grande diversité. Il ouvre des voies prometteuses de thérapies digitales et d’un accès plus étendu à la santé. En termes éducatifs, il élargit la palette des outils et des approches pour apprendre. Cela notamment pour celles et ceux qui sont en difficulté.

Le digital bouleverse également le travail en profondeur. Il génère des rapports transformés, plus libres et plus flexibles pour tous les utilisateurs dans tous les métiers. Il ouvre de nouveaux canaux d’expression aux salariés et aux citoyens, soutenant la participation aux décisions et la démocratie participative.  

L’étude de la Fabrique Spinoza incite donc à faire attention au mythe où le ”tout digital” serait la solution, ou à l’inverse celui d’une sobriété totale. La juste place du digital reste d’être un outil à la disposition du plus grand nombre pour aider l’humanité. C’est en cheminant que le digital pourra donner sa pleine puissance positive. Les algorithmes doivent être pensés au bénéfice de l’être humain. Les entreprises doivent être refondées autour d’un travail hybride épanouissant.

Le lien vers l’étude et le site de la fabrique Spinoza :  Productions de l’Observatoire Spinoza – La Fabrique Spinoza :La Fabrique Spinoza

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