Terre des Dieux : près de 172 kilomètres et 11 700 mètres de dénivelé sur un terrain qui est parmi les plus difficiles au monde pour les coureurs. Mais pour l’organisateur, c’est également une expérience méditative et humaine.
“Au-delà d’une course, c’est un cheminement, comme la vie, avec du dénivelé positif et négatif qu’il faut appréhender avec beaucoup d’humilité”, explique Frederic Rafaelli.
Principalement composé du fameux GR20, la jeune course n’a qu’un an, mais est déjà très ambitieuse. L’organisateur veut offrir un circuit qui change chaque année à ceux qui souhaitent découvrir ou redécouvrir l’île.
Expérience unique
“Une des idées reçues que la course souhaite combattre est le fait que les insulaires sont rudes avec les étrangers. Ici, nous recevons tout le monde. Il y a un jeune Parisien qui s’entraînait sur la Butte Chaumont et qui a dit avoir vécu une expérience humaine unique. Je trouve ça juste magnifique”, confie l’organisateur hors micro. Le but est de réunir les coureurs insulaires, continentaux et d’ailleurs pour une expérience unique au monde.
C’est une course particulièrement rude, mais organisée pour créer une véritable découverte et, surtout, une introspection.