En France, un adulte passe en moyenne 12 heures assis les jours travaillés et 9 heures les jours non travaillés. Cette sédentarité – le fait de rester assis longtemps et en continu – peut causer des ennuis de santé, comme augmenter les risques de maladies cardiovasculaires, du diabète, l’obésité, des problèmes aux articulations, etc.
Des solutions existent pour pallier cette problématique. Mathilde Mathieu est kinésithérapeute, près de Reims. Cette dernière est spécialisée en prévention santé et qualité de vie et conditions de travail au bureau. Elle propose dans ce cadre aux entreprises un accompagnement afin que celles-ci créent un environnement permettant un bien-être physique et mental aux collaborateurs.
Quelles sont les conséquences d’un espace de travail mal adapté ? Que faut-il mettre en place ? La professionnelle de santé nous partage ses conseils.
Psychologue spécialisée en psychologie positive, Cécile Neuville est une mutli-entrepreneuse. Elle est auteure de 17 livres dont plusieurs best-sellers sur le bonheur, le lâcher-prise et la gestion des émotions. Cécile fait par ailleurs partie du comité de rédaction de la Lettr’Optimiste, la newsletter hebdomadaire de la Ligue des Optimistes de France.
Cécile Neuville partage des clés simples et accessibles à tous pour adopter une dynamique positive. Cela est d’autant plus pertinent à l’arrivée des beaux jours. Elle explique ainsi que des rituels optimistes peuvent changer l’état d’esprit et le niveau d’énergie. Par exemple, se répéter des affirmations positives chaque matin. Ou encore bouger son corps avec des étirements ou une danse sur sa musique préférée. Cela libère des endorphines.
La lumière naturelle joue également un rôle essentiel sur le bien-être. Elle favorise en effet la production de sérotonine, appelée « hormone du bonheur ». Elle régule ainsi l’humeur et booste l’énergie. Le printemps est donc une très belle occasion de cultiver son optimisme
Le dernier ouvrage de Cécile, « Se libérer des autosaboteurs intérieurs », paru aux éditions Leduc, explore les mécanismes inconscients de l’auto-sabotage qui nous empêchent d’atteindre nos objectifs et de nous épanouir pleinement. À travers une approche bienveillante, elle nous aide à identifier nos auto-saboteurs intérieurs. Elle propose également des clés pour se libérer de ces schémas limitants, reprendre le pouvoir sur sa vie et avancer avec plus de confiance, de liberté et de joie.
Dès la vie intra-utérine, les réflexes archaïques, appelés aussi de réflexes primitifs, se développent. Ce sont des mouvements involontaires et automatiques. Puis, les mois qui suivent la naissance, ils sont observés et testés. Environ 70 réflexes archaïques ont été déterminés comme tel, comme le réflexe de succion, le réflexe des points cardinaux, le réflexe d’agrippement, le réflexe de ramper… Ils sont en lien avec les sphères cognitive, corporelle et émotionnelle.
Au fil du temps, ces réflexes deviennent des mouvements, sont volontaires et intégrés. Mais, parfois, leur intégration peut être « brouillée » au cours de la vie, à cause de différents événements. Cela peut alors interférer dans l’épanouissement. Des praticiens, comme Christelle Barrand, proposent un accompagnement pour agir là-dessus. Elle est ainsi accompagnante en intégration motrice primordiale et des réflexes archaïques à Saint-Aubin-de-Médoc, en Gironde.
Quelle est son approche ? Comment se déroule une séance ? Dans quel cas consulter ? Quels sont les bienfaits ? Christelle Barrand nous a accueillis pour noue en dire plus sur son métier.
La recherche sur la ménopause a peu ou pas progressé depuis les années 1970. Pourtant, toutes les femmes vivent, à un moment de leur existence, une phase de ménopause qui leur occasionne un certain nombre de symptômes. N’étant pas une maladie, ni une pathologie, mais bel et bien un état physiologique, le corps de la femme vit à ce moment-là un véritable changement hormonal, pouvant durer jusqu’à 10 années après l’arrêt des règles.
À ce jour, 17 millions de Françaises sont ménopausées. Cette étape importante de la vie peut leur procurer de nombreux désagréments. On estime que 80% des femmes subissent des effets contraignants en plus de l’arrêt de leurs règles. Bouffées de chaleur, suées nocturnes, troubles du sommeil, frilosité, fatigue, troubles dépressifs, prise de poids, troubles génito-urinaires… La ménopause augmente également les risques d’accidents cardiovasculaires.
Afin de mieux accompagner les femmes durant cette période, l’Hôpital Foch à Suresnes (92), sous la direction du Pr. Jean-Marc Ayoubi, chef du service de gynécologie, obstétrique et médecine de la reproduction, et du Dr Alexandre Vallée, chef du service d’épidémiologie et de santé publique, a lancé un projet de recherche dédié à une meilleure prise en charge de la ménopause et de la santé de la femme. Celui-ci se fait sous le patronage du ministère de la Santé et de l’Accès aux soins : le projet Climatère.
Le projet vise à questionner des femmes de 30 ans minimum, ménopausées ou non, pendant au moins 10 ans. L’objectif est ainsi de construire une base de données scientifiques actualisée sur le sujet, afin de mieux comprendre les enjeux de la ménopause. Le but est également d’optimiser sa prise en charge et de développer des stratégies de prévention et des politiques de santé publique plus pertinentes.
Le CidB est une association loi 1901 créée en 1978 et reconnue d’utilité publique depuis 2007. Cette structure collecte depuis plusieurs années des ressources concernant l’impact du bruit et lutte activement contre la pollution sonore. Elle œuvre également à la recherche d’un environnement sonore de qualité favorisant une meilleure qualité de vie pour le bien-être physique, mental et social des citoyennes et citoyens.
L’Agence européenne de l’environnement (AEE) a publié, en 2020, un rapport concernant le rôle essentiel d’un environnement sain pour notre santé et notre bien-être. Dans ce travail, l’AEE rappelle que le bruit est le deuxième facteur le plus important de morbidité environnementale en Europe, après la pollution atmosphérique. Il est ainsi prouvé que l’exposition à long terme au bruit ambiant est à l’origine de 12 000 décès prématurés par an sur le continent. Le bruit est ainsi responsable davantage de morts prématurées que les vagues de chaleur.
Pour lutter contre cela, le CidB a mis en place diverses ressources afin de limiter l’exposition au bruit. L’association a également créé le label QUIET, qui développe des lieux, en ville, en nature, ou en entreprise, où la quiétude règne.
Écoutez l’interview enregistrée avec Justine Monnereau, responsable de communication au sein du CidB.
Derrière la marque Nel & Tao se trouve une histoire personnelle. C’est celle d’Eva Moussey, maman d’un petit garçon atteint de troubles autistiques et hypersensoriels. Face aux crises quotidiennes provoquées par des vêtements trop serrés, des coutures mal placées ou des étiquettes qui grattent, Eva a pris conscience d’un manque criant dans l’industrie textile : la quasi-inexistence de vêtements pensés pour les personnes atypiques et hypersensibles.
“Quand j’ai commencé à me renseigner, je me suis rendu compte que beaucoup d’enfants vivaient la même chose. Ils ne supportent pas certains tissus, certaines étiquettes ou coutures. Et il n’existait aucune marque grand public qui répond à ces besoins”, explique-t-elle.
Nel & Tao propose ainsi une collection de vêtements sobres, confortables et ingénieusement conçus. Ici, les coutures sont à l’extérieur, les étiquettes imprimées ou placées hors de portée de la peau. Enfin, les tissus sont doux, respirants et choisis avec attention. La gamme s’adresse aux enfants comme aux adultes et a pour objectif de ne plus faire du moment de l’habillage une épreuve.
Nel & Tao ne propose pas uniquement des vêtements pratiques, la marque met également le soin, l’écoute et l’inclusivité au cœur de chaque création. Chaque pièce est ainsi conçue pour alléger la charge sensorielle et offrir un sentiment de sécurité.
Cette marque de vêtements n’est pas une mode “à part”, mais une autre façon de penser le vêtement : plus douce, plus empathique, plus humaine.
Qui se ressemble s’assemble. Cela paraît tellement logique. Or il faut également réussir à faire travailler ensemble des gens différents, venant de divers horizons. Face à ce constat, Hugo Paul est parti en quête de communautés afin de comprendre l’art de faire ensemble et de faire tribu. Il a ainsi compris à quel point nous avons besoin de faire communauté pour nous, mais également pour les autres et le monde. Il indique notamment que rien de grand au monde n’a jamais été réalisé seul.
Pendant une année, il a découvert des outils concrets pour animer des collectifs engagés. Dans ces derniers, chacun peut trouver sa place, car nous sommes des êtres sociaux qui ne demandent qu’à appartenir à un groupe. Autre constat : les liens que nous tissons avec nos tribus impactent directement notre santé. Hugo explique qu’être déconnecté socialement a le même impact sur notre espérance de vie que de fumer 15 cigarettes par jour.
Dans un monde où les défis exigent plus que jamais de la collaboration et où 44% des Français se sentent seuls (un chiffre qui grimpe à 62 % chez les jeunes), le livre d’Hugo Paul “L’Art de faire tribu”, paru aux éditions Eyrolles, nous aide à renouer avec la puissance du collectif.
Comment apprendre à coopérer ? Tribu ou communauté ? Et comment entretenir la flamme de l’engagement ? Quelles sont les conditions d’une bonne coopération entre collègues ou équipes de travail ?
Le microbiote intestinal est considéré comme un organe à part entière. Véritable usine à bactéries, microbes, champignons ou encore levures, cette colonie de micro-organismes est essentielle au bon fonctionnement physique et mental. Lorsque ce dernier est équilibré, on dit qu’il est en “eubiose”. Il joue ainsi un rôle essentiel dans la digestion, l’immunité et la santé mentale.
Un déséquilibre, appelé “dysbiose”, pourrait quant à lui être associé à différentes pathologies chroniques, comme l’obésité, le diabète, des maladies cardiovasculaires, des troubles fonctionnels intestinaux ou encore à certains cancers.
Il est par ailleurs possible de contrôler la santé de son microbiote. Cela passe par deux choses très accessibles : une alimentation équilibrée et une activité physique régulière. Marine Plaza, naturopathe spécialisée dans la santé de la femme et de l’équilibre métabolique, conseille notamment de manger des aliments bruts et non transformés et de pratiquer une activité physique quotidienne. La régulation du stress est également nécessaire afin d’éviter une perturbation du microbiote. Pour résumer, l’hygiène de vie impacte forcément le microbiote intestinal.
Marine Plaza intervient tous les mois sur AirZen Radio pour parler de la santé des femmes au naturel.
Ce livre, c’est un guide. Un mode d’emploi, si on veut. Philippe Aïm y donne des conseils simples et pratiques. Pas de discours compliqués, pas de théories floues. Juste des idées concrètes pour aider les enfants victimes à se défendre, à parler, à reprendre confiance en eux.
Il parle aussi des parents. Parce que quand on est parent d’un enfant harcelé, on peut se sentir perdu. Que faire ? Que dire ? Comment réagir sans aggraver la situation ? Le livre répond à toutes ces questions.
Oui. Parce que Philippe Aïm ne se contente pas de donner des conseils. Il propose des solutions qui ont fait leurs preuves, basées sur son expérience de psychiatre. Il explique par exemple comment aider un enfant à dire stop, comment l’encourager à parler, et comment impliquer l’école pour que ça bouge vraiment.
Le harcèlement scolaire laisse des traces. Ça peut briser la confiance d’un enfant, l’isoler, lui donner l’impression qu’il ne vaut rien. Alors, si vous êtes parent, enseignant ou simplement concerné par le sujet, ce livre peut être une vraie aide. Parce qu’au fond, le message est simple : personne ne devrait grandir dans la peur.
Alexandra Debergue Prevel et Zoubir Ait Abdallah se sont lancés mi-février dans un voyage à vélo à travers le monde. Originaires de Loire-Atlantique, ils se sont d’ailleurs rencontrés lors d’une épreuve d’ultradistance, tous deux à vélo. Ce voyage sonne comme un vrai changement de vie pour Alexandra et Zoubir, qui ont ainsi mis en pause leur vie professionnelle, l’une d’assistante maternelle et l’autre de pompier.
Leur point de départ : une envie de voyager, de s’offrir une pause ensemble. Ils ne se fixent pas de durée ni de limites géographiques. Le périple se fera également en fonction de leurs rencontres. Après la Bretagne, ils iront découvrir les îles Britanniques, l’Angleterre ou encore l’Irlande. Ils sillonneront l’Europe et souhaitent s’aventurer en Asie, en Afrique et dans les pays nordiques. Ils partagent leurs aventures sur les réseaux sociaux sous le profil de Choux-Fleur Pédaleurs.
En France, plus de 9 millions de femmes sont confrontées, au moins une fois au cours de leur vie, à une incontinence urinaire (source enquête TNS Healthcare SOFRES 2009). Ce sujet demeure encore trop tabou, face à l’importance du muscle du périnée.
Mais alors à quoi sert le périnée ? Tout d’abord, il s’agit d’un muscle présent chez les femmes et chez les hommes. Bien que leur structure soit quelque peu différente, leur rôle est le même. Il est situé dans la paroi inférieure du pelvis, au fond du bassin, et soutient les voies urinaires, digestives et génitales, ce qui en fait le grand garant de la continence fécale et urinaire.
Ainsi prendre soin de son périnée est important et ce que l’on soit un homme ou une femme et ayant eu des enfants ou non. De plus, il est courant qu’au cours d’une vie, ce dernier soit mis à rude épreuve. Par conséquent, près de 10 % des femmes jeunes nullipares (c’est-à-dire qui n’ont jamais accouché) sont touchées par l’incontinence urinaire. Ce chiffre passe à 30 % lorsqu’elles sont très sportives.
Afin d’en savoir plus sur le rôle de notre périnée, mais également de comprendre comment le rééduquer, écoutez l’interview enregistrée avec Béatrice, masseur-kinésithérapeute spécialisée dans la rééducation du périnée.
Comprendre avant d’agir et se décourager. Depuis des générations, le poids et la relation à l’alimentation pèsent dans le cœur de millions de personnes. On estime que près d’un million de Français seraient concernés par des troubles des conduites alimentaires (TCA), tels que l’anorexie mentale, la boulimie ou encore l’hyperphagie boulimique.
Au-delà de ces maladies, le culte de la minceur ainsi que la course au corps parfait s’amplifient depuis l’avènement des réseaux sociaux. Le tout parsemé de “summer body” et de régime miraculeux en tout genre qui germent chaque année. Ce qui, indéniablement, n’aide pas les gens à développer une relation saine et stable avec leur alimentation.
Afin d’éviter de vivre continuellement avec cette culpabilité dès lors qu’un “écart” est commis, ou qu’un kilo supplémentaire apparaît sur la balance, Nicolas Da Silva propose diverses approches. Diététicien, nutritionniste et spécialisé dans les TCA, Nicolas s’est également formé en thérapies comportementales et cognitives (TCC) ainsi qu’en thérapie d’acceptation et d’engagement (ACT). Il est l’auteur du livre : “Manger : La Faim des injonctions ! Pourquoi et comment l’alimentation ne devrait pas être un problème”, sorti aux éditions First.
Le professionnel de santé tente premièrement de briser les injonctions qui peuplent nos esprits et détériorent notre relation avec la nourriture. En offrant notamment une approche plus thérapeutique, il souligne que la santé mentale est l’un des principaux piliers pour avancer sainement, sereinement et durablement.
Selon ses méthodes détaillées dans son ouvrage, cela passe aussi par un grand tri de certaines idées reçues comme : être en surpoids équivaut à être en mauvaise santé ou encore manger de façon stricte tous les jours est le régime idéal. Il discrédite également plusieurs “solutions minceur” présentées comme miraculeuses. Enfin, il pousse les lecteurs à se questionner, à reconnaître certains comportements et surtout à adapter son mode d’alimentation en fonction des besoins de chacun et non des attentes de la société.
Pour en savoir plus concernant son approche, écoutez l’interview enregistrée pour AirZen Radio.
Du 23 mai au 1er juin prochain à Gruissan dans l’Aude, la plus grande manifestation de glisse reviendra pour une 23ᵉ édition. Le Défi Wind réunit plus de 2000 passionnés de kiteboard, wingfoil et windsurf. Amateurs comme professionnels venant de 50 pays différents, ils s’élanceront depuis la même ligne de départ.
Un « Woodstock de la glisse », devenue la plus grande compétition au monde dans ce domaine. Parmi, les grands champions, nous retrouverons Marion Mortefon, windsurfeuse professionnelle, championne du monde de foil en 2021 et vice-championne du monde 2021 et 2019 en slalom. Elle participera d’ailleurs à cette compétition en étant enceinte.
Avec l’arrivée de ses deux enfants, Arnaud Biezanek se rend compte rapidement du calvaire autour de l’arrêt de la tétine. Le sevrage est souvent compliqué et l’utilisation tardive de la tétine peut provoquer des troubles du développement bucco-dentaire. Cet orthésiste dentaire a alors imaginé Clipp, un système de collerettes empilables sur la tétine. Les multiples collerettes réduisent progressivement la surface de succion jusqu’à un arrêt définitif et en douceur.


Lancée en 2022, la tétine de sevrage Clipp rencontre aujourd’hui un franc succès auprès des parents et des professionnels de santé. Pour le fondateur, les retours réguliers des parents lui prouvent que son innovation répond à un besoin criant. Cette innovation a d’ailleurs remporté la médaille d’argent au Concours Lépine 2023. Avec plus de 50 000 familles accompagnées en France et en Allemagne, Arnaud compte bien exporter Clipp à l’international et ainsi faciliter cette étape de sevrage en douceur dans la vie des familles.
Depuis de nombreuses années, des études scientifiques démontrent les bienfaits de la nature sur notre santé physique, cognitive et psychologique. D’où l’intérêt de la reconnexion. Le contact avec la nature renforce la concentration et laisse émerger la créativité. Pour les groupes, le contexte naturel améliore les capacités cognitives, renforce le lien social et fédère.
Sandrine Ankaoua, créatrice d’Essentiel-Nature, partage ces bienfaits de la nature. Elle organise des sorties et des bivouacs avec découverte des plantes sauvages comestibles, fresque végétale, dégustation de vin et bains en eau froide. Elle accueille aussi les entreprises en teambuilding écoresponsable.
Sandrine Ankaoua explique que l’humain a une tendance innée à être attiré par la nature, c’est la biophilie. Le design biophilique repense les aménagements et les constructions sur les principes des bienfaits de la nature.
Pour les entreprises, la nature est un miroir de notre écosystème personnel et collectif. Grâce au biomimétisme, la nature inspire des modèles de management des organisations vivantes, de cohésion d’équipe et d’intelligence collective.
Sandrine Ankaoua – Guide reconnexion Nature, Sophrologue, Formatrice et conférencière
+33 6 28 23 20 05 Strasbourg – Annecy – Montréal
https://www.essentiel-nature.com
https://sandrineankaoua-entreprise.com
En août prochain, accompagnée de son mari et de sept autres proches, Sophie Moreau se lancera dans l’ascension du Kilimandjaro en Tanzanie. Elle s’investit dans cette aventure après avoir guéri d’un cancer du sein. Elle souhaite ainsi transmettre un message d’espoir fort auprès des autres malades. C’est en 2017 que le diagnostic tombe. Sophie a ainsi traversé six ans de traitement durant lesquels elle n’a jamais arrêté d’avoir une activité sportive. Il s’agit, selon elle, d’une part importante de sa rémission. Elle gravira les 5900m d’altitude du Kilimandjaro, le toit de l’Afrique, pour récolter des fonds à destination de la recherche contre le cancer. La cagnotte est ici.
“Pour moi, l’odorat est la fabrique du langage. Nous vivons dans un moment historique où aujourd’hui, la vue a la part belle sur tous les autres sens. On le voit avec les réseaux sociaux qui ne passent que par des images. Notre langage est très précis pour décrire ce qui est visuel. En revanche, pour ce qui est de l’olfactif, on doit tout inventer. Les odeurs sont des sentiments. Ce sont des choses abstraites, alors il faut créer des expressions, des mots”, relate Giulio Giorgi, l’auteur de “Botanique olfactive”.

Giulio Giorgi est écologue, un métier qui consiste à analyser et prévoir l’impact des activités humaines sur l’environnement. Il a écrit le tout premier ouvrage qui classifie le monde végétal via les odeurs. Ce livre est le fruit d’un travail entre scientifiques et parfumeurs, et présente 52 espèces botaniques. Giulio Giorgi nourrit une réflexion plus large sur l’importance de l’olfaction et de la conscience environnementale. AirZen Radio a pu suivre une balade olfactive menée par l’auteur à l’école du Breuil, à Paris. À découvrir dans les pastilles sonores en haut de l’article.
“Botanique olfactive, sentir la nature au fil des saisons” de Giulio Giorgi, disponible aux éditions Nez.
Des éternuements, la gorge qui gratte, les yeux rougis, voire qui pleurent, le nez qui coule… C’est toujours ce même cérémonial qui annonce l’arrivée du pollen et du printemps. Entre 25% et 30% de la population française est concernée par les allergies au pollen.
Pour aider les citoyens, mais aussi les professionnels, à suivre quotidiennement les niveaux de pollens dans l’air et donc anticiper les symptômes et traitements allergiques, Atmo France a développé un nouvel outil : « l’indice pollen ». Celui-ci fonctionne grâce l’intelligence artificielle et est disponible sur le site Internet de la fédéraion.
Alors, comment s’utilise-t-il ? Quels pollens peut-il identifier ? Quelles sont les missions d’Atmo France ? Delphine Guillaume, chargée de communication et d’événementiel chez Atmo France, nous éclaire.
En France, environ 150 000 personnes ont un accident vasculaire cérébrale chaque année. Parmi elle, entre 20 et 40% d’entre deviennent aphasiques : c’est la perte partielle ou totale de l’expression et/ou de la compréhension du langage parlé et écrit. Et cette situation, le père de Cookie Kalkair, Philippe, la vit depuis 2016.
Cette histoire, le bédéiste a souhaité la raconter dans son dernier ouvrage : « Merveilleux », aux éditions Steinkis. Après son ouvrage sur les réseaux sociaux et les ados, cette fois-ci, il revient avec un récit plus intime. Il aborde aussi la façon dont toute une famille a vu son quotidien chamboulé, comment lui et sa sœur Lou, qui avait 13 ans à l’époque, sont devenus aidants. C’est aussi une histoire de retrouvailles et de liens familiaux ressoudés. Rencontre avec l’auteur de BD et sa sœur.
Jusqu’au 7 juillet 2025, les sculptures en céramique détonantes de Margaux Laurens-Neel prennent possession du musée Gustave Moreau. Ses oeuvres colorées répondent aux peintures de l’artiste très populaire au 19ᵉ siècle. “La peinture Les Chimères a donné naissance à mon exposition. C’est une œuvre florissante, avec beaucoup de personnages et de corps entremêlés. Ce tableau de Moreau représente un paysage rêvé. Il s’est inspiré de l’architecture gothique pour créer une ville fantastique. Il a composé cela comme une peinture religieuse, une toile médiévale”, relate Margaux. La jeune diplômée des Beaux-arts de Paris reprend des éléments de cette peinture de Moreau pour en livrer une version très personnelle et inattendue.