Rescap’Equidés offre une seconde vie aux chevaux abîmés par la vie

L’idée est lumineuse : mettre les équidés en éco-pâturage pour leur permettre de terminer leurs jours paisiblement. Explications avec Camille Bornier, la fondatrice de Rescap’Equidés.

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Les conditions à respecter pour accueillir un cheval en éco-pâturage

Les conditions à respecter pour accueillir un cheval en éco-pâturage

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Offrir une seconde vie aux chevaux abîmés par la vie

Offrir une seconde vie aux chevaux abîmés par la vie

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Le fonctionnement de Rescap’Equidés

Le fonctionnement de Rescap’Equidés

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« Notre mission consiste à sauver des chevaux, poneys ou ânes handicapés, malades, vieux ou risquant la boucherie, en de proposer aux entreprises et collectivités d’entretenir leurs espaces verts à l’aide de nos rescapés », explique Camille Bornier, la fondatrice de Rescap’Equidés.

Camille a toujours été passionnée de chevaux, mais ce n’est que récemment qu’elle a décidé d’en faire son métier. Avec ses valeurs écologiques fortes, elle a eu l’idée de proposer ses petits pensionnaires à l’éco-pâturage : « Nos poneys, nos ânes, nos chevaux sont tous rescapés et sont placés en éco-pâturage dans des communes, des entreprises qui ont des terrains à entretenir ou à valoriser. »

Cette idée innovante allie écologie et bien-être animal. En effet, les équidés de Camille, une fois placés, sont chouchoutés. « On leur cherche vraiment un petit coin de paradis pour qu’ils terminent leur vie paisiblement. Le but est de ne pas les bouger souvent. On leur met un abri, de l’eau, du foin à disposition. Tous les soins seront apportés par notre entreprise. La prestation comprend l’entretien, le suivi quotidien et tous les soins vétérinaires, dentaires, le maréchal-ferrant, etc. »

Rescap’Equidés donne par ailleurs à ses pensionnaires des séances de shiatsu pour contribuer davantage à leur bien-être.

Ce contenu audio a été diffusé le 11 juin 2024 sur AirZen Radio. Maintenant disponible en podcast sur airzen.fr, notre application et toutes les plateformes de streaming.

Par Hemelyne Guillemot

Journaliste

Agence de communication Perpignan