Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) touche environ 10% des femmes en France et dans le monde. Mais les symptômes sont très variables d’une patiente à l’autre. La maladie peut en effet se manifester de manière très légère, comme être très handicapante. Cette maladie reste pourtant méconnue de la société et du monde scientifique.
D’un point de vue médical, le SOPK est à l’origine d’un dérèglement hormonal. Ce dérèglement présente trois caractéristiques majeures : une présence de petits follicules au niveau des ovaires, une augmentation du taux de testostérone et des problèmes au niveau du cycle menstruel. Tous ces changements impliquent de nombreux symptômes qui varient en fonction des femmes.
Un des symptômes le plus handicapant pour certaines femmes est l’infertilité. Pour le moment, aucun traitement n’a été trouvé pour combattre le SOPK. Mais les recherches se poursuivent. La seule solution pour le moment est de traiter les symptômes.
Pour lever le voile sur cette maladie méconnue et sous-diagnostiquée, la société Solence a lancé une campagne de prévention en ligne en mettant notamment en avant 17 portraits de patientes capturés par la photographe Cha Gonzalez.
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