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Chaque année, en France, près de 113 000 naissances ont lieu dans les maternités dites « Amies des bébés ». Actuellement, elles sont 78 à avoir reçu cette labellisation IHAB (Initiative Hôpital Ami des Bébés), créée par l’OMS et l’UNICEF en 1991. Ces organismes l’ont initialement mise en place pour promouvoir et soutenir l’allaitement après avoir constaté, « dans les années 1970-1980, des baisses considérables des taux d’allaitement au niveau international ». Les raisons sont les « stratégies offensives de marketing de l’Industrie commerciale des substituts du lait maternel ».

Au fil de temps, le programme soins du label IHAB s’est centré plus largement autour de l’enfant et de la famille. Il repose ainsi sur dix recommandations. Quelles sont-elles ? Comment ce label se met en application ? Quel est son impact sur les patients ? Kristina Löfgren, directrice générale du label IHAB, France nous en dit davantage.

La France est une patrie de gaming. En effet, 38,3 millions de personnes jouent aux jeux vidéo, et parmi eux, 75%, au moins fois par semaine, selon une étude Médiamétrie pour le Syndicat des éditeurs de logiciels de loisirs. Sur console, sur ordinateur ou encore sur téléphone, ce loisir se pratique sur différents supports, par autant d’hommes que de femmes, mais aussi, pour 16%, par des enfants.

Si on a coutume de parler d’addiction aux écrans, les jeux vidéo peuvent aussi soulever une autre problématique : la santé auditive. C’est le sujet auquel s’est intéressée l’association nationale de l’audition, qui a publié une enquête sur les jeux vidéo et les risques auditifs, réalisée avec l’institut de sondage Ifop. Celle-ci révèle qu’en France, 60% des joueurs âgés de 18 à 24 ans ont déjà souffert d’hyperacousie contre 44% en moyenne pour les non-joueurs.

Alors comment prévenir les troubles de l’audition ? Jean-Charles Ceccato, vice-président de l’association nationale de l’audition, nous partage les solutions.

Événement incontournable en Nouvelle-Aquitaine, Les Escales du livre reviennent avec une 23e édition du 4 au 6 avril. Cette année, la manifestation culturelle quitte temporairement Sainte Croix, en travaux, pour trouver domicile à Darwin Éco-système, côté rive droite. Il n’empêche pas les rendez-vous avec les partenaires comme le TNBA et l’IUT Bordeaux-Montaigne.  

Les Escales du livre :  « on ne peut pas rester à l’écart des drames du monde »
Pierre Planchenault

Le crédo des Escales du livre est de diffuser la littérature au sens large avec des rencontres, des lectures, des ateliers, des expositions, des spectacles, des performances… Chaque année, ce sont 18 000 visiteurs qui répondent présents. Pour cette année, 250 auteurs et autrices sont attendus sur les trois jours. Les temps forts de cette édition 2025 sont la littérature jeunesse et le young adulte.

« Cette année, on est dans un engagement un peu plus fort avec des thèmes sociétaux dans la littérature young adult et adulte. Il nous semble important, vu le contexte national et international, de pouvoir interpeler le public. On va avoir des débats sur le climat, sur la famille d’aujourd’hui, etc. Des moments sérieux, mais aussi beaucoup plus conviviaux », raconte Pierre Mazet, président des Escales du livre. Il a accordé un entretien à AirZen Radio dans lequel il détaille la programmation.

Du 15 mars au 5 avril, la Fabrique du citoyen revient avec une nouvelle édition sous le signe de l’amour. Pour cette 10ᵉ manifestation, le réseau des Bibliothèques de Bordeaux, organisateur de ce festival, a laissé le choix au public. Parmi plusieurs thématiques proposées, c’est donc « Aimer ? » qui est retenue.

La Fabrique du citoyen qui se veut un espace de débats, d’échanges, de réflexions, et de rencontres, explore alors le thème de l’amour dans sa dimension sociétale. Relations amoureuses, les différentes formes de l’amour, l’éducation à la vie sexuelle et affective et le consentement font partie des sujets abordés lors de conférences, d’ateliers, de projection-débats, de spectacles, d’expositions… Il y aura la présence de Fabrice Midal, Ovidie, Doc Lili ou encore Jean-Claude Kaufmann.

Pourquoi l’amour est un thème plébiscité par le public ? En quoi est-il toujours d’actualité ? Entretien avec Marie-Pierre Rassat, coordinatrice de l’événement et Yoann Bourion, le directeur des Bibliothèques de Bordeaux.

Savez-vous comment optimiser votre budget ? Avez-vous déjà pensé à un plan d’épargne retraite ? Connaissez-vous les conditions d’accès d’un prêt à taux zéro ?

Photo de Sophie Liotier, experte en finances personnelles à la Finance pour tous
Sophie Liotier. Photo Jennifer Biabatantou/AirZen Radio

Ce type de questions en lien avec la finance et l’économie, qui sont parfois complexes, La finance pour tous fait en sorte de les rendre plus compréhensibles.

En effet, cette association a été créée pour promouvoir la culture financière pour tous, enfants comme adultes. Ainsi, elle souhaite aider tout un chacun à acquérir les connaissances de base nécessaires afin d’être plus à l’aise avec l’argent. Pour ce faire, la structure associative a développé différents outils pédagogiques sur son site Internet : quiz, articles explicatifs, questions/réponses, vidéos…

La mission de La finance pour tous est donc de promouvoir l’éducation financière. Pourquoi est-ce important ? Qu’en est-il en France ? Comment faire pour la développer davantage ? Sophie Liotier, experte en finance personnelle à La finance pour tous, répond à nos questions.

« Mais alors, quelles espèces migrent ? Migrer à quel rythme ? Quels individus migrent ? Migrer, comment ? Pourquoi migrer ? » Ce sont quelques-unes des questions auxquelles l’exposition « Migration du vivant » répond en s’intéressant aux déplacements des différents êtres de la Terre – les plantes, les animaux et les humains. Ce travail est à voir jusqu’au 9 novembre 2025.

Pour explorer dans son ensemble et avec profondeur cette thématique, l’exposition se tient dans deux lieux : au Muséum de Bordeaux – Sciences et nature et au Jardin botanique. C’est une approche à la fois scientifique et sociale des migrations qui est présentée aux visiteurs. Par ailleurs, l’exposition a reçu le label du ministère de la Culture « Exposition d’Intérêt National 2024 ».

Alors, pourquoi s’intéresser aux migrations ? Qu’est-ce que nous apprend le monde du vivant ? Visite avec Christel Huet et Mélissa Portes, chargées d’exposition.

Pour son édition 2025, le forum le Sens de l’Emploi revient avec une nouvelle formule. Anciennement appelé le Salon emploiDV (déficient visuel), cet événement, qui s’adressait initialement aux personnes aveugles et malvoyantes, est désormais ouvert au public sourd et malentendant. Mille personnes sont ainsi attendues le 28 mars pour cette édition, contre 700 les années précédentes.

Entre 120 et 130 exposants seront présents, 9 h 30 à 17 heures, à la Halle des Blancs Manteaux dans le 4e arrondissement de Paris. Parmi eux, des recruteurs, des professionnels porteurs de handicap, des représentants de diverses formations. Un espace dédié aux technologies et à l’accessibilité est également prévu.

Pourquoi cette volonté d’élargir la cible du salon ? Qu’en est-il de l’inclusion des personnes en situation de handicap dans le milieu professionnel et dans les études supérieures ? Quelles actions faut-il mener ? Pierre Maragou répond à nos questions. Il est le président de l’association apiDV, qui co-organise, avec l’Institut National des Jeunes Aveugles (INJA Louis Braille), l’Institut National de Jeunes Sourds de Paris (INJS).

C’est une invitation à agir ensemble pour trouver des solutions concrètes et durables pour la planète que lance depuis 2019 Nicolas Pereira avec le World Impact Summit. La nouvelle édition aura lieu les 25 et 26 mars à l’Arkéa Arena de Bordeaux et aura pour fil rouge : Résilience et Adaptation.

Au total, ce sont 10 000 entreprises, acteurs, collectifs, privés comme publics, qui seront réunis. Tous sont issus de la transition écologique, économique et environnementale.

Au programme de ces deux jours : 240 exposants venus partager leurs solutions. Mais aussi des ateliers et des conférences comme « L’eau : au carrefour de la résilience de nos territoires », « Le numérique et l’IA, alliés dans la lutte contre le dérèglement climatique ? » ou encore « Adapter nos villes : comment vivrons-nous en ville en 2050 ? ».

Parmi les intervenants, Paul Watson, fondateur de Sea Shepherd, et Estelle Lefébure, présidente de Spero Mare. À quoi faut-il s’attendre pour cette nouvelle édition ? Entretien avec Nicolas Pereira.

Un rhume, une conjonctivite, une toux, de la fièvre, une éruption cutanée, de petites taches rouges sur le corps sont les principaux symptômes de la rougeole. Cette maladie virale et très contagieuse est actuellement en recrudescence en France.

Une centaine de cas ont effet été déclarés sur le territoire national depuis le début de l’année 2025. C’est la raison pour laquelle la Direction générale de la santé appelle à « une vigilance renforcée de l’ensemble des professionnels de santé et de la petite enfance concernant la détection précoce de la rougeole ».

Le vaccin contre la rougeole fait partie, depuis 2018, des treize vaccins obligatoires, qui doivent être réalisées avant les 2 ans de l’enfant. Il est à combiner avec les vaccins contre les oreillons et la rubéole. Après deux doses, sa protection est de 97%.

Pourquoi est-ce important de se faire vacciner ? Que faire en cas de rougeole ?  La pédiatre Estelle Millot, qui exerce à Bordeaux, a répondu à nos questions lors d’une consultation.

Aborder sa vie sexuelle, affective et intime avec sérénité, n’est pas toujours facile. Encore moins quand on n’a pas reçu d’enseignement. Alors, afin d’accompagner au mieux le jeune public, depuis 2001, trois séances par an d’éducation à la vie affective, relationnelle et à la sexualité sont obligatoires à l’école pour chaque élève. Les programmes s’adaptent en fonction des âges. Pourtant, cette obligation n’est pas respectée. Ainsi, comme le montre un des rapports du Conseil Économique, Social et Environnemental de 2021, moins de 15% des élèves en ont bénéficié.

Autre souci rencontré : le manque d’adaptabilité de ces cours aux personnes ayant un handicap visuel. De façon plus globale, il y a un manque d’information au niveau de l’éducation sexuelle. Caroline Chabaud a décidé de prendre ce problème à bras-le-corps et de trouver des solutions adapter à ce public.

Cette maman d’une adolescente malvoyante est la fondatrice de la maison d’édition Mes mains en or. Celle-ci adapte les livres aux jeunes déficients visuels. Elle vient par ailleurs de développer, avec son équipe, des notices de préservatifs pour les personnes malvoyantes et aveugles. Elle nous explique sa démarche.

 

Depuis 2002, Handicap.fr est le 1er média d’informations en ligne sur tous les sujets liés au handicap et à l’autonomie des personnes handicapées. C’est aussi une équipe de personnes engagées qui mettent leurs énergies et leurs différences au service d’un objectif, celui d’une meilleure prise en compte des personnes en situation de handicap dans la société.

Rendez-vous sur handicap.fr…

Huit-cents kilomètres C’est la distance que vont parcourir les plus de 200 personnes inscrites à la 38ᵉ édition de la Course du Cœur, organisée par l’association Trans-forme, qui sensibilise au don d’organes. Pendant quatre jours et quatre nuits, du 19 au 23 mars, les coureurs vont donc être les porteurs de ce message. Les participants vont ainsi traverser plus de 200 communes, entre Paris et la station des Arcs, située à Bourg-Saint-Maurice (Savoie). Les participants sont des salariés de grands groupes, des personnels soignants et une équipe de personnes transplantées.

En 2024, 6 034 greffes ont pu être réalisées, a annoncé l’Agence de la biomédecine. Ce seuil n’avait pas été atteint depuis 2017. Dans le même temps, l’organisme constate que le taux d’opposition aux dons d’organe se maintient au taux très élevé de 36,4 %. Pourtant, huit Français sur dix se disent favorables à cette démarche. Ce constat met en exergue un manque de communication des volontés concernant ce don avec ses proches.

Justement, Olivier Coustère, président de l’association, et Laurent Desormeaux, capitaine de l’équipe des greffés, rappellent l’importance de cette mobilisation avec la Course du Cœur.

Bien dormir, c’est bon pour la santé. Pourtant, le sommeil est négligé. L’an dernier, les Français ont dormi en moyenne 6h42 les jours de la semaine et 7h25 le week-end ou en congés. C’est 15 et 16 minutes en moins qu’en 2023. Pour avoir un sommeil de qualité, les scientifiques recommandent de dormir entre 7 et 9 heures par jour.

Le plus important reste néanmoins de respecter ses besoins physiologiques. Dans le cas contraire, un manque de sommeil peut en effet causer des problèmes d’attention, une prise de poids, un risque de maladie cardiovasculaire, mais aussi avoir une incidence sur la santé mentale. Justement, l’Institut National du Sommeil et de la Vigilance (INSV) a décidé de dédier la 25 édition de la Journée nationale du sommeil, ce 14 mars, au lien entre sommeil et santé mentale, Grande cause nationale 2025.

Une série d’événements – des portes ouvertes, des conférences, des animations, des ateliers – est ainsi organisée sur une partie du territoire. Parmi eux, un échange sur « le sommeil en psychiatrie », au CHU de Bordeaux, une sieste collective à l’hôpital Maritime de Zuydcoote (Nord), ou encore une conférence « Somnolence anormale, quand s’inquiéter ? ” au Centre du Sommeil de l’hôpital de la Timone, à Marseille.

Le Dr Marc Rey, président de l’INSV, nous explique pourquoi ce thème est d’une grande importance.

C’est avec beaucoup d’humour et un ton décomplexé que la Fondation ARC pour la recherche sur les cancers a imaginé sa dernière campagne de sensibilisation au dépistage du cancer colorectal.

Dans une vidéo, on peut voir Mr Popo, qui chante, sur un air entrainant et entêtant, l’importance de cet acte. La mascotte pousse à prendre soin de ses proches en les incitant à se faire dépister. En effet, cet acte permet de sauver plus de 6 000 de vie chaque année. Et, détecté tôt, le cancer colorectal se guérit dans 9 sur cas sur 10.

Par ailleurs, selon une étude de la Fondation Arc, « les Français se sentent plutôt bien informés sur le dépistage du cancer colorectal. Ils sont convaincus de son importance (90 %) et de sa fiabilité (84 %) ». Pourtant, son dépistage est encore tabou et suscite de la gêne. Le Dr Éric Solary, hématologue, souligne que ce geste naturel, accessible, gratuit n’est réalisé que par « seulement que par 34% des personnes éligibles », soit les 50-74 ans, hommes comme femmes. Entretien avec le professionnel de santé.

« Hope » est un mot anglais qui signifie « espoir ». C’est ce nom qu’ont choisi de donner Annabel Brourhant et le Dr Nicolas Chopin à leur association, créée en 2017, à Saint-Cergues (Haute-Savoie). Celle-ci a vocation à accueillir et accompagner les femmes atteintes d’un cancer, du diagnostic jusqu’au post-traitement, et propose de l’équithérapie. Cet accompagnement est pris en charge grâce aux dons et au mécénat.

Depuis sa création, Hope a pu aider 700 femmes à travers ses diverses antennes. Parmi elles, une centaine de femmes de moins de 40 ans. La cofondatrice de l’association a par ailleurs constaté une légère hausse du nmbre d’adhérentes. Ce constat fait ainsi écho aux études de l’institut Gustave Roussy, qui a alerté sur la hausse des cancers chez les adultes de 20 à 40 ans. Ce public représente en effet 15 000 cas parmi les plus de 430 000 cas détectés chaque année .  

« On va avoir peu de patients touchés dans cette tranche. Mais quand on regarde la croissance d’incidences de cette maladie dans cette tranche d’âge, elle augmente rapidement », explique Bérénice Deletang, oncologue-médical, au sein de l’association. D’où l’importance de faire de la prévention, une autre mission que s’est attribuée Hope.

Comment l’association accompagne les femmes ? Comment s’adapte-t-elle aux différentes participantes ? Annabel Brourhant et Bérénice Deletang répondent à nos questions.

Après la perte d’un être cher, il y a différente façon de lui rendre hommage : en allant sur sa tombe, en allumant une bougie, en se rassemblant en famille pour se remémorer des bons souvenirs de lui… Dans les pays anglo-saxons, comme en Angleterre, aux États-Unis ou encore en Nouvelle-Zélande, le défunt est parfois commémoré avec un banc de mémoire, auquel est attachée une plaque commémorative.

Séduit par ce concept, Warren Coopman a décidé de le développer en France. Le décès de son grand-père, le premier deuil qu’il a vécu, l’a fait réfléchir sur la façon de cultiver le souvenir de ceux qui ne sont plus là. Il a alors créé la start up Sit in Peace, qui commercialise ces bancs de mémoire, réalisés par des artisans français. Il est possible de les installer dans des espaces privés. Le fondateur travaille également avec des collectivités pour les voir fleurir dans des lieux publics.

Avec sa structure, le chef d’entreprise a par ailleurs la volonté de nous faire porter un autre regarde sur le deuil, la mort et le rapport que l’on entretient avec les défunts. Comment compte-t-il y arriver ? Pourquoi est-ce un sujet qui lui importe ? Combien coûtent ces bancs de mémoire ? Sont-ils utilisables à d’autres fins ? Warren Coopman nous raconte.

En France, 4 à 5% des enfants et des adolescents de 6 à 17 ans sont en situation d’obésité. Cette maladie chronique multifactorielle a une incidence sur la qualité de vie. Les parents peuvent par ailleurs se trouver démunis, ne sachant pas comment accompagner leur enfant. C’est justement l’une des missions de la Ligue nationale contre l’Obésité. L’association se charge ainsi de soutenir et d’aiguiller les familles et les enfants.

C’est dans ce sens que la structure a développé le programme Diet à Dom. Financé par le Rotary Club, il est expérimenté depuis 2024 à Orléans. L’association souhaiterait d’ailleurs étendre son projet à d’autres villes son projet et lance dans ce sens un appel aux dons. Car l’obésité infantile est un sujet de santé public, et plus simplement l’obésité en soi. L’association va ainsi, à l’occasion de la Journée de mondiale de l’obésité, ce 4 mar, faire de la sensibilisation et de la prévention.

Elle organise, en effet, une série d’événements tels que des webinaires gratuits, du 5 au 22 mars : « Parentalité et obésité : aider son enfant sans culpabiliser » ou encore « Alimentation équilibrée et prévention de l’obésité ». Ces rendez-vous sont à destination des professionnels de santé, des associations et des patients. Mais aussi, plus généralement, à celles et ceux qui souhaitent mieux comprendre l’obésité. Plusieurs animations, notamment un simulateur d’obésité, sont aussi prévues, place de la Comédie à Montpellier, où se situe le siège de l’association.

Comment la Ligue nationale de la Lutte contre l’Obésité vient concrètement en aide aux personnes obèses ? Qu’en est-il de « Diet à dom », programme de lutte contre l’obésité infantile ? Hanane Guillard-Meziane, diététicienne et directrice de la ligue contre l’obésité, nous répond.

La Fédération Nationale des Associations Tutélaire (FNAT) organise, du 3 au 9 mars, la première édition de la Semaine Nationale de la Protection Juridique des Majeurs. Cet événement a vocation à mettre en lumière l’accompagnement et la défense des droits des personnes vulnérables.

Plus de 900 000 personnes sont concernées par cet accompagnement en France. Ces dernières sont assistées d’un mandataire judiciaire à la protection des majeurs (MJPM) car elles sont en situation de vulnérabilité suite au vieillissement, à un accident, à un handicap ou à des problèmes de gestion financière.

Qu’est-ce que la protection juridique ? Pourquoi créer un événement autour de ce sujet ? Quel est le programme de cette première édition ? Ange Finistrosa, président de la FNAT, nous répond.

Imaginez un lieu dans lequel, pendant que vous buvez une eau aromatisée ou dégustez une planche de fromages, une machine tricote une paire de chaussettes, un pull, un bonnet ou encore des mitaines en quelques minutes, et ce, dans l’atelier que jouxte le bar. Cet endroit existe et s’appelle les Trois Tricoteurs. Situé à Roubaix, dans le Nord, ce café bar a été conçu par Sacha Boyadjan, Victor Legrain et Alexandre Bianchi, tous les trois ingénieurs textiles,

Il importait à ces Roubaisiens de monter leur atelier de production et de distribution dans cette ville autrefois surnommée la “Manchester française”, réputée pour ses usines textiles. Leur démarche s’inscrit par ailleurs dans un mode durable, responsable et accessible. La production se fait à la commande pour ne pas avoir de stock et il n’y a pas d’emballage au moment de l’achat. Un atelier de réparation pour les défauts existe également.

Julie Guillerm, responsable de la communication de ce lieu atypique, raconte l’histoire des Trois Tricoteurs. 

Migraine, maux de dos ou encore difficultés à faire certains mouvements. Les douleurs chroniques, ces douleurs persistantes ou qui viennent par vague, handicapent le quotidien des patients en affectant leur comportement ainsi que leur bien-être. En France, environ 30% des adultes sont touchés par cette maladie, selon l’Inserm.  

Pour les soulager, différents moyens existent :  les médicaments, les exercices de kiné, de la médecine douce comme la sophrologie, l’acupuncture… Constatant une augmentation du public concerné par cette problématique, Aurélien Fromm, masseur-kinésithérapeute dans le Médoc, en Gironde, s’est emparé de ce sujet. Il a ainsi développé, avec le soutien de l’Inserm, du CNRS et du Gérontopôle Nouvelle Aquitaine, E-Tonus. 

Il s’agit d’un dispositif non invasif, intuitif, qui se porte au bras ou à la cheville et qui fonctionne par neuromodulations. Prévu pour une commercialisation en mai 2025, Aurélien Fromm souhaite, à terme, en faire de son innovation un dispositif médical.

Comment fonctionne-t-elle ? Quels sont ses bienfaits ? Le créateur d’E-Tonus répond à nos questions. 

“Nouveau regard, changer de perspectives et voir autrement”. C’est le thème du dernier numéro mars-avril d’”Esprit Yoga“, qui a consacré un dossier à ce sujet. Cette nouvelle édition sous le signe du printemps s’attarde sur le Cycle Syncing, ou comment les femmes peuvent adapter leurs besoins en fonction des phases de leur cycle menstruel, en y incorporant des micro routines bien-être.

Esprit Yoga mars avril

Comme toujours, sont également proposés des exercices posturaux, des conseils en nutrition ou des parcours de vie inspirants, comme celui de Sadia Hessabi, cheffe franco-afghane.

Aussi, à retrouver dans le numéro 84 d’Esprit Yoga, un reportage sur la pratique du yoga en dehors des villes. Le sujet veut ainsi rompre avec cette idée selon laquelle seuls les citadins en feraient. Loin de là, on y apprend que, “celon un sondage du Syndicat National des Professeurs de Yoga (2021), si 50 % des pratiquants vivent en ville, 34 % résident en zones rurales, et 16 % en périurbain”. Une enquête, réalisée par Zineb Fashi, dont nous avons parlé avec Andrea Semprini, fondateur et rédacteur en chef du magazine.