Dans l’Ain, une maison d’hôtes dans une ancienne école

À Ambronay, entre Lyon et Genève, la Maison d’Ambronay est une maison d’hôtes un peu particulière : une ancienne école transformée en maison d’hôtes.

Réécouter en podcast

Dans l’Ain, une maison d’hôtes dans une ancienne école

Dans l’Ain, une maison d’hôtes dans une ancienne école

02:35

La belle histoire de l‘école René Cassin d’Ambronay dans l’Ain continue

La belle histoire de l‘école René Cassin d’Ambronay dans l’Ain continue

08:15

Une reconversion réussie, Nathalie travaillait dans l’univers de l’imprimerie

Une reconversion réussie, Nathalie travaillait dans l’univers de l’imprimerie

03:37

On y sent encore l’odeur de la craie et du papier ! La Maison d’Ambronay, c’est l’histoire un peu folle de Nathalie Schlienger qui a eu l’idée de réinventer l’École René Cassin.

En 2014, l’école doit fermer ses portes pour aller s’installer plus loin dans le village, les locaux étant devenus trop petits. La municipalité a besoin d’argent pour construire de nouveaux bâtiments.

Le hasard fait bien les choses : Nathalie découvre la petite annonce et tombe sous le charme de cette ancienne école. Elle se lance et change de métier, après 22 ans passé dans le monde de l’imprimerie.

L’école René Cassin n’aurait jamais imaginé devenir une maison d’hôtes. Le bâtiment, une belle bâtisse en pierre, de 1 000 m² a été construit en 1870.

Garder l’atmosphère

Nathalie a tenu à respecter les lieux, leur histoire, l’atmosphère en imaginant un univers coloré, joyeux autour de l’école. Elle a gardé les porte-manteaux des enfants, installé le petit déjeuner dans une salle de classe….

Mais l’amour des vieilles pierres est plus fort que tout. Nathalie a encore des projets puisque sur les 1000 m², il lui en reste 300 à aménager… Elle va développer l’offre à destination des entreprises et des télétravailleurs.

Ce contenu audio a été diffusé le 07 février 2022 sur AirZen Radio. Maintenant disponible en podcast sur airzen.fr, notre application et toutes les plateformes de streaming.

Par Dorisse Pradal

Journaliste

Agence de communication Perpignan