Le déclic, Vincent Roncelli, il l’a eu pendant la pandémie. « J’étais journaliste, explique-t-il, mais je travaillais également en parallèle dans la restauration pour pouvoir tout simplement vivre et manger. Il se trouve que pendant la période du Covid, l’hôtellerie restauration, la première année, n’a pas du tout marché. Il n’y avait pas de travail, les restaurants étaient fermés. Et du coup, ça a été un peu une remise en question pour moi. »
Et le projet de se former et d’ouvrir son cabinet est parti de là. Après un bilan de compétences et une formation, Vincent Roncelli s’est lancé dans l’aventure du bien-être. Il a monté sa structure Inspire & Expire et est aujourd’hui sophrologue, magnétiseur humaniste installé à Saint-Sulpice-la-Pointe, dans le Tarn, près de Toulouse.

La sophrologie est une méthode psycho-corporelle, une méthode qui touche au développement personnel et aussi au bien-être. Quand on fait de la sophrologie, il y a donc des exercices de relaxation dynamiques, on va donc bouger son corps, ses bras, sa tête… Tout cela va permettre une détente mentale, physique et une respiration contrôlée. Il y a aussi un exercice qui s’appelle relaxation statique, qui se pratique assis ou allongé, les yeux fermés. Vous aurez donc des suggestions mentales pour vous permettre de vous détendre, d’être à l’aise, bien dans votre corps.
La sophrologie va ainsi permettre de répondre à plusieurs objectifs : combattre des phobies, se préparer avant de passer des examens ou encore, mieux vivre une maladie, par exemple… Pour la partie magnétisme, c’est l’énergie que l’on a en nous, dans notre corps et autour de nous et pour l’aspect humaniste, c’est tout simplement le fait de mériter le meilleur, de s’aimer, de s’apporter de la paix, de la joie, de la confiance…
Chaque semaine, dans notre journal de la culture, vous pouvez retrouver des recommandations variées, des films aux livres en passant par les séries, la musique ou les sorties.
C’est l’une des séries les plus attendues de l’année : ce vendredi 2 septembre, Amazon diffuse les premiers épisodes des « Anneaux de pouvoir », adaptée de l’univers créé par J.R.R. Tolkien, l’auteur britannique du « Seigneur des Anneaux ». Parallèlement, « House of the Dragon », autre série dérivée cette fois de « Game of Thrones », fait déjà un carton sur OCS. Preuve que l’engouement pour les séries fantasy ne se dément pas.
Envie de se réfugier dans un musée pour oublier la rentrée ? Certaines expositions prennent le pari de téléporter leurs visiteurs dans un autre monde grâce à des dispositifs immersifs qui s’appuient sur des technologies de pointe. À Bordeaux, c’est aux Bassins de lumière que ça se passe, avec une plongée dans l’architecture et les œuvres de la ville de Venise.
À Toulouse, l’espace EDF Bazacle propose un voyage hors norme dans les tableaux de Vincent Van Gogh. Quant à l’Institut du monde arabe à Paris, il permet de déambuler dans la pyramide de Khéops en réalité virtuelle.
Le plus beau film en salles ce 31 août raconte l’histoire d’une fuite. Celle d’Amin, jeune homosexuel afghan, poussé sur les routes de l’exil avec sa famille lorsque les talibans arrivent au pouvoir dans les années 1980. Aujourd’hui, il vit au Danemark et raconte son périple à Jonas Poher Rasmussen, le réalisateur de «Flee», fabuleux film d’animation dur mais lumineux.
À quoi ça tient, un tube de l’été ? Le plus souvent, une musique entraînante qui vous reste dans la tête. La preuve avec ces airs qui ont animé notre saison estivale, de Beyoncé à Lizzo en passant par le grand retour de Kate Bush.
Sur Airbnb, on cherche une chambre chez l’habitant. Sur Passpassion, on trouve un stage chez l’artisan. « C’est vrai que la comparaison est opportune », plaisante Jean Muller.
Le fondateur de la start-up toulousaine a un jour voulu donner plus de sens à sa vie. Ingénieur de formation, Vincent a travaillé pendant une vingtaine d’années dans le domaine de l’aérospatial. « J’ai eu, un peu comme tout le monde, ce déclic face à ces centaines de mails et de PowerPoints sur lesquels je travaillais. Je me suis demandé si j’avais envie de faire ça toute ma vie ? » se souvient-il.
De ce constat est née Passpassion, une plateforme de mise en relation entre particuliers et artisans. « Au départ, nous propositions uniquement des courts stages, en immersion. L’idée : permettre aux gens de découvrir les métiers de l’artisanat, explique-t-il. C’était plutôt pour le loisir, pour mettre en avant les métiers de notre patrimoine. »
Mais très vite, le succès est immense. Passpassion est lancée en 2020 avec un catalogue d’une trentaine de métiers en Occitanie et en Nouvelle-Aquitaine et une cinquantaine de stages. En six mois, la demande de stages est multipliée par dix. « Au début, nous parcourions les routes à la recherche d’artisans, aujourd’hui, ce sont eux qui nous appellent », se félicite Jean, qui décide donc de lancer le volet « formation professionnelle », encadrée par le CPF.
L’idée n’est donc plus seulement de mettre en avant des métiers de sens mais aussi de susciter des vocations et même d’accompagner des reconversions. « On se met à consommer local à nouveau, à réorienter nos carrières. Les boulangers, les maçons, les agriculteurs, ce sont eux qui nous font vivre en réalité », ajoute-t-il.
Pour rester dans la comparaison avec des plateformes type Airbnb ou Blablacar, Passpassion est une marketplace simple d’utilisation. On déroule le catalogue, on trie selon les métiers qui nous intéressent. Les stages apparaissent ensuite, disséminés un peu partout en France.
« Il faut savoir que beaucoup de nos stages et formations se déroulent dans le milieu rural. Les endroits sont généralement magnifiques », explique Jean Muller. Toutes les informations sont ensuite données (durée du stage, pratique de l’artisan…) et il suffit d’acheter son module via ses deniers personnels ou via le Compte personnel de formation.
Au départ, la plateforme s’adressait aux 40/50 ans mais, aujourd’hui, elle séduit également les jeunes. À l’image de Vincent, passionnée de mécanique moto. « Il se prédestinait plutôt à des études de commerce. Mais, après un stage avec un mécanicien, sa passion première s’est confirmée et Vincent est aujourd’hui à la recherche d’un atelier », raconte Jean.
Au sud-est de Toulouse, la cité médiévale de Carcassonne domine la vallée. Datant des XIIe et XIIIe siècles, cette cité abrite un château ainsi que deux enceintes fortifiées, inscrits au patrimoine mondial de l’Unesco.
Depuis plus d’un an, l’Office de Tourisme de la cité propose six ateliers médiévaux à destination des enfants de 6 à 11 ans. En s’appuyant sur la demande touristique, ces ateliers ont été pensés pour faire découvrir autrement Carcassonne et l’époque moyenâgeuse. Ils prennent place à différents endroits de la cité au gré de la météo.
Que ce soit l’apprentissage de la calligraphie, la découverte de l’art des blasons, le travail du cuir ou encore le goût des épices utilisées à l’époque, ces ateliers sont animés par les agents de l’office de tourisme qui ont été formés à ces traditions. Chaque atelier s’appuie également sur les savoir-faire de la région en faisant participer les artisans locaux.
Par exemple, les épées utilisées lors du parcours du chevalier ont été confectionnées par un artisan à proximité de la cité. Selon Magali Bardou, adjointe au maire de la ville de Carcassonne en charge du tourisme, connaître et maîtriser son histoire et savoir ce que nos ancêtres ont entrepris pour faire progresser notre pays sont des connaissances essentielles pour les enfants.
Fin juin dernier, Jean Porterie s’est vu remettre le prix CASDEN (Banque Populaire) du “jeune chercheur 2021”. Le médecin, chirurgien cardio-vasculaire, s’est vu récompenser pour ses travaux sur l’identification d’un biomarqueur sanguin du microbiote valvulaire.

Pour en saisir la potée, encore faut-il comprendre de quoi on parle. Tout part des valves cardiaques, ces petites bornes d’entrée et de sortie qui permettent la bonne circulation du sang entre les différentes cavités cardiaques.
Ces valves peuvent être endommagées ou fatiguer avec l’âge et causer ce que l’on appelle des valvulopathies dégénératives. Aujourd’hui, il n’existe aucun traitement préventif. Il est simplement curatif et souvent chirurgical puisqu’il implique de remplacer la valve défaillante par une prothèse.
« L’idée de ce projet était d’être capable d’identifier chez ces patients la présence d’un microbiote au niveau valvulaire », indique le chirurgien employé par le CHU de Rangueil à Toulouse.
Le microbiote est une population bactérienne qui est présente de façon « dormante chez le patient ». Celui de l’estomac est, par exemple, très connu. Cette présence n’entraîne pas de signes infectieux actifs mais peut avoir un rôle pathogène dans le développement de certaines maladies chroniques. Dans le cas de l’estomac, on pense notamment à la maladie de Crohn, qui est due à une réaction du système immunitaire au microbiote intestinal.
« Notre objectif était donc d’acter la présence de ce microbiote dans la valve, et ce, à l’aide d’un simple test sanguin », ajoute le lauréat du premier prix.

Dans le cas des dysfonctionnements des valves, ceux-ci ne peuvent pour l’instant qu’être constatés en cas de complications cardiaques. Ce marqueur, qui indique, via une simple prise de sang, la présence de ce microbiote, permettrait ainsi de faire de la prévention.
« Attention, nous n’avons pas découvert ce microbiote, nous avons simplement trouver une façon de le détecter via un marqueur visible grâce à une prise de sang », explique le Dr. Porterie. Et d’ajouter : « On peut imaginer, dans un futur plus ou moins proche, de généraliser ce test à la population générale à partir d’un certain âge ».
À un deuxième degré de prévention, cela pourrait aussi permettre d’éviter l’aggravation de la valvulopathie et de limiter la survenue de complications post-opératoires.
Direction Libourne, à quelques kilomètres de Bordeaux, où se trouve une maison d’hôtes pas comme les autres : le Refuge du sorcier.
Cet endroit est le repaire de la magie. Dès votre arrivée dans ce lieu immersif, vous serez propulsé dans un univers cosy et magique.
. Un lieu à visiter si vous êtes à proximité de Bordeaux et que vous êtes fan d’Harry Potter, bien que le plus commun des moldus peut aussi se laisser prendre au jeu.
Autre lieu consacré à la saga de J.K. Rowling à Toulouse. Au 17 rue Sainte-Ursule se trouve une incroyable boutique, Imagin’Eres.
Lorsque vous poussez la porte, vous êtes accueilli par Dobby, en taille réelle. L’elfe libre ici ne l’est pas vraiment puisqu’il se trouve dans une vitrine.


Vous y trouverez également tout ce qui touche à l’univers de l’apprenti sorcier : baguettes magiques, tee-shirt, pulls, écharpes, foulards, cravates, sans oublier les figurines pop.
Cette incroyable boutique est dédiée à Harry Potter d’un côté et à la pop culture de l’autre avec des objets inspirés notamment de “Stranger Things”, “Naruto”, “Le Seigneur des anneaux.

Retrouvez tous nos contenus sur Harry Potter ici…
Déguster une glace à la vanille, puis croquer sa cuillère. Ce sera bientôt possible grâce à Croc Fork. Cette start-up, fondée par trois amies toulousaines, a pour ambition d’inventer les tout premiers couverts comestibles et compostables à partir de fruits et légumes « moches ».
Par « moches », il faut comprendre ces produits difformes ou abîmés dont la plupart des grandes surfaces ne veulent pas quand bien même ils ont les mêmes propriétés nutritionnelles.

« L’idée, derrière ça, est de valoriser la production de nos agriculteurs et agricultrices en travaillant main dans la main avec eux », explique Marie Varin d’Ainvelle, directrice générale de Croc Fork.
Le concept est né d’une réflexion qu’ont eu trois étudiantes de l’Ecole d’Ingénieurs de Purpan, à Toulouse, au cours d’une simulation de création d’entreprise. « Nous souhaitions répondre à un enjeu majeur, celui de réduire notre volume de déchets », explique Marie alors que le gouvernement français a interdit, dès 2021, la production et la commercialisation de couverts en plastique à usage unique.
Tout l’enjeu est de savoir quel goût auront ces couverts comestibles. «: « Notre objectif, c’est que la cuillère, par exemple, n’ait pas de goût quand on mange une glace, mais qu’elle ait le goût du fruit dont elle provient quand on la croque. »
Évidemment, charge aux trois associées de trouver une solution pour rendre les couverts goûteux mais sans trop masquer les autres aliments. Mais il ne s’agit pas de la seule contrainte technique : « Ils doivent être suffisamment durs pour résister à l’aliment qu’ils portent mais pas trop pour ne pas abîmer la dentition. Ils doivent aussi être hydrophobes et thermophobes », ajoute Marie.
Afin de financer le prototypage final et le lancement d’une première commercialisation, la jeune start-up lance sa première campagne de crowdfunding sur la plateforme Bluebees. Les entrepreneuses ont besoin de 12 000 euros.
Les couverts Croc Fork seront en premier lieu vendus aux restaurateurs, glaciers ou grossistes et non pas directement aux consommateurs.
Hélène Vie est chef d’entreprise à Toulouse. Elle est membre active du réseau FCE Occitanie (Femmes Chef d’Entreprise).
Elle a créé en 1993 la Maison de la Violette, aujourd’hui installée sur une péniche amarrée en cœur de la ville rose et qui accueille chaque année plus de 20 000 visiteurs français et étrangers qui y découvrent l’histoire de la Violette de Toulouse, sa culture, sa filière et les produits artisanaux à base de cette fleur. Ces productions régionales sont également conditionnées pour être distribuées dans toute la France et à l’export.
Hélène évoque l’entraide entre femmes chefs d’entreprises qui lui a permis de mener de front ses vies familiale et entrepreneuriale, et de consacrer toute son énergie à sa passion pour la violette et sa ville. Hélène est d’ailleurs ambassadrice de Toulouse et présidente des Amis de la Violette.
Elle participe à de nombreux salons dans tout le territoire ou à l’étranger pour promouvoir la violette de Toulouse et ses créations.
Elle vient également, après de huit ans de recherche, de réussir à percer un « secret » de la violette en y détectant un actif anti-âge. Elle lance ainsi une nouvelle marque pour une gamme de produits de beauté toujours à base de violettes : Jardin Confidentiel.
Hélène Vie : 0622053833
www.lamaisondelaviolette.com
www.jardinconfidentiel.com
Loger, accompagner, tisser des liens sont les trois champs d’action de Toit à Moi pour aider les sans-abris. Cette association nationale est active depuis 2007 dans douze communes de France comme à Toulouse, Bordeaux, Lyon, Lille, Clermont-Ferrand etc…
À l’origine de cette structure : Denis Castin. « Le point de départ a été la misère que l’on côtoie dans les villes. Enfant, quand je voyais des gens qui dormaient dans la rue, je trouvais ça révoltant. Devenu adulte, j’ai gardé cette indignation-là et j’ai voulu agir », confie-t-il.
Denis avait alors dans l’idée de compter sur la solidarité citoyenne pour lancer Toit à Moi : « Je me suis dit que si on était plusieurs à faire des petits dons réguliers, peut-être qu’à plusieurs on pourrait acheter des logements pour sortir des personnes de la rue ».
Il a été rejoint par Gwenaël Morvan pour créer ce projet qui a « pour vocation d’être un dispositif tremplin pour permettre aux bénéficiaires de se stabiliser grâce à un logement. »
Aussi, les bénéficiaires sont accompagnés par une équipe de travailleurs sociaux pour régler des problèmes d’ordres différents : administratif, santé, justice, familial, emploi, addiction, financés par du mécénat d’entreprises. « Les accompagnants dans notre association sont comme des chefs d’orchestre, explique le co-fondateur de l’association. Ils sont en lien avec plein d’autres associations. Ils tissent des liens forts et créent une relation de confiance. Nous, on fait du sur-mesure : un accompagnant pour dix personnes. »
L’association peut aussi compter sur ses bénévoles pour partager des activités toutes simples avec les personnes aidées, comme aller à un concert, boire un café, faire une randonnée. Le but étant de les sortir de l’exclusion.
En quinze ans d’existence, Toit à Moi a aidé une centaine de personnes et pu acheter 50 appartements.
Depuis la crise sanitaire, de nombreux restaurateurs font face à une pénurie accrue de main d’œuvre. Beaucoup de cuisiniers se sont rendu compte, pendant le confinement, qu’il était possible d’avoir une vie à côté de leur travail et que leur passion ne suffisait plus.
Pour répondre à cette problématique, Hélène Gallais et son frère, Clément, ont sorti, au moment de la réouverture des restaurants, l’application Jobs & Chefs.
Ce service de recrutement est dédié aux métiers de la cuisine et propose aux professionnels de trouver la perle rare. Hélène et Clément ont ainsi intégré les écoles hôtelières dans le processus pour accompagner les futurs candidats de demain.
Avec Jobs & Chefs, il est possible de créer son profil, poster des annonces, vérifier la crédibilité des candidats et entrer en contact avec eux. Aujourd’hui, l’application compte plus de 2000 utilisateurs et 500 annonces ont déjà été partagées. Hélène tente de valoriser ces métiers tout en digitalisant et en simplifiant le processus de recrutement.
La fratrie a également créé un groupe Facebook La vie des Chefs, dans lequel les participants peuvent partager des astuces et des conseils en cuisine. Un blog leur est par ailleurs destiné, avec de nombreux articles préparant les candidats à leurs premiers jours en cuisine. Pour Hélène, Jobs & Chefs est plus un créateur de vocation qu’un simple site de recrutement.
Se sentir en Australie l’espace d’un après-midi sans pour autant quitter l’Occitanie. C’est possible au Parc Australien de Carcassonne ! Fondé en 2003 par Carole Masson, cet espace de 5 hectares a peu à peu réussi à s’imposer au sein du tourisme local, et attire aujourd’hui jusqu’à 40 000 visiteurs par an.
Une prouesse quand on se trouve à seulement quelques minutes de la célèbre Cité de Carcassonne ou à moins d’une heure d’un immense parc zoologique comme la Réserve africaine de Sigean.
Être plus petit que les autres n’empêche pas pour autant de voir les choses en grand. C’est justement en cultivant son esprit familial et en insistant sur la proximité avec les animaux que le Parc Australien a su se démarquer. Il propose pour cela notamment des visites guidées qui permettent, par exemple, d’entrer dans la volière des perruches, dans l’enclos des wallabies ou encore de nourrir les autruches.
Des animaux qui ont une place très importante dans le parc, qui ne veut pas pour autant se résumer uniquement à ça. « Nous n’avons pas du tout la prétention de présenter une collection exhaustive des animaux d’Australie », explique Carole Masson. « Nous ne sommes pas un parc zoologique. Ici, nous cherchons vraiment à montrer au visiteur ce qu’est l’Australie. Cela passe évidemment par les animaux, mais aussi par des zones thématiques pour découvrir la culture aborigène par exemple, le didgeridoo ou encore le boomerang ».
Le Parc Australien est ouvert en ce moment du lundi au samedi de 14h à 18h (dès 10h30 les dimanches, jours fériés et ponts). Les horaires sont plus larges pendant la saison estivale.
Tarifs : 11,50€ l’entrée adulte (plus de 12 ans), 8,50€ pour les enfants, gratuit pour les moins de 3 ans.
Parc Australien de Carcassonne – Chemin des Bartavelles 11000 Carcassonne
Le Camion douche est une association toulousaine qui, au quotidien, développe un concept pour lutter contre la pauvreté et l’exclusion sociale.
Dans l’agglomération toulousaine, 4000 personnes vivent dans la rue avec peu, voire aucun accès à des installations pour prendre soin de leur hygiène corporelle. L’idée de cette association est de leur apporter des services gratuits : prendre une douche, distribution de produits d’hygiène, de vêtements, des kits d’hygiène et des sous-vêtements.
L’opportunité pour les bénéficiaires de pouvoir prendre une douche et avoir des produits à disposition et une écoute bienveillante avec les bénévoles de l’association.
Le dispositif mis en place par l’association a lieu dans des camping-cars adaptés et prêtés par des bénévoles. Ceux-ci sont disposés dans trois différents lieux fixes de Toulouse et en périphérie.
L’association, qui existe depuis 2014, s’est inspirée du même projet Mobil’ douche, en région parisienne. Elle propose ses services de mars à décembre à Toulouse. Alors, si vous habitez dans les environs et avez l’envie et du temps pour aider cette association et lutter contre l’exclusion socialen n’hésitez pas à les contacter et devenir bénévole.
Pratique
Mercredi soir de 19h à 22h, place du Marché aux Cochons (Minimes) à Toulouse.
Dimanche matin de 9h à 13h, allée Jules Guesde, devant le Quai des Savoirs à Toulouse
Réservé aux femmes le samedi matin de 9h à 12h, place Lange, devant l’hôpital La Grave à Toulouse.
C’est en 2016 qu’Epicery, la plateforme pour faire ses courses chez les commerçants de proximité, est née. Depuis, de nouveaux services sont proposés dont le dernier est La Table.
Le site permet de se faire livrer les plats préparés par les restaurateurs de notre quartier. L’idée est venue après qu’un « certain nombre de restaurants ont été sollicités pour rejoindre notre plateforme. Puis, on a formalisé le service il y a quelques mois », raconte Edouard Morhange, le cofondateur d’Epicery.
Au total, 250 établissements sont référencés, et ils viennent de partout en France comme de Paris, Lyon, Bordeaux, Toulouse. «. Ce ne sont pas des “dark kitchen”, qui sont des laboratoires. »
Quant à l’offre proposée sur la plateforme, « il y a tout type de cuisine et la carte est relativement courte, locale et de saison, souligne le cofondateur d’Epicery. On fait en sorte que les plats soient livrés à température ambiante pour qu’ils puissent être réchauffés à la maison puis être mis sur la table, d’où le choix de ce nom. C’est la grande différence des plateformes internationales qui livrent du burger, du sushi ou de la pizza ».
Pour conclure, Edouard Morhange nous fait part de certaines valeurs auxquelles il tient dans son entreprise : « On a une approche locale et responsable parce qu’on travaille avec les artisans et commerçants du centre-ville. On veut vraiment développer un partenariat sur le long terme en respectant leur savoir-faire. Par ailleurs, on travaille avec des sociétés de livraison responsables. »
Malgré la pandémie, le tourisme international est en pleine croissance. Certes, le Covid-19 a ralenti cette progression, mais il n’en est pas moins que d’ici 2050, les experts estiment que la croissance du tourisme aura pour effet d’accroître la consommation d’énergie de plus de 150%, et les émissions de gaz à effet de serre (GES) de 131%.
Il est donc impératif de modifier nos comportements, de changer nos habitudes, pour mieux voyager. De nombreux citoyens lancent ainsi des initiatives pour accompagner les touristes de demain.
La plateforme collaborative voyagir.org a pour objectif de faciliter l’accès et la visibilité d’un tourisme plus responsable. Elle propose des solutions qui permettent aux voyageurs de trouver les informations nécessaires pour mieux organiser leur voyage.
Une plateforme fondée par Marine de Beaufort et Mathieu Chevalier, née après un voyage de Marine en Amérique centrale (Costa Rica et Panama). Sur cette plateforme, vous pourrez découvrir les voyages réalisés par Marine et Mathieu, que ce soit en France, à Toulouse par exemple, mais également en Équateur. D’autres récits de voyages ont également été publiés par ce que le site appelle des « voyacteurs » ou « voyacteuses ».
En plus de ces souvenirs de vacances, la plateforme vous invite à partager une bonne adresse, celle d’un hébergement éco-responsable, ou d’un restaurant qui propose des options végétariennes par exemple.
Selon Marine, il ne faut pas oublier que le tourisme peut avoir un impact négatif, à la fois sur la planète, mais aussi sur l’environnement social (gentrification, changement des habitudes cultuelles et culturelles des populations). Il faut donc adapter son voyage, se renseigner et avoir les bonnes attitudes en amont, pendant, et après son voyage.
Une astuce, par exemple : partir moins souvent mais plus longtemps, ou financer l’impact carbone de son voyage grâce à des entreprises comme Green Triper.
Une mère de famille a créé deux jeux des 7 familles par comme les autres. Le premier : Méditation et bien-être avec les familles Méditiation, Yogi, Gratitude, Émotions, 5 Sens et la famille Bonheur
Le second : Méditation et 7 chakras avec les familles Je suis, Je ressens, Je fais, J’aime, Je parle, Je vois et Je comprends.
Si votre enfant fait partie des petits angoissés, stressés… vous allez l’aider grâce à ces 42 cartes « action » très simple à réaliser dès l’âge de 6 ans, à deux jusqu’à six joueurs.
Grâce à ces jeux des 7 familles, vous devriez vous régaler et vous amuser en famille… Et fous rire garantis, surtout avec les positions Yogi !
Comme tout jeu de cartes, il s’emmène partout et à l’avantage de ne pas nécessiter une connexion wifi.
Et petit plus pour ces jeux, ils sont 100% Frenchies. Ils sont en effet créés en Moselle par Florine, dessinés dans l’Oise par Nicolas et du côté de Toulouse par Johan, imprimés à côté de Nancy en Meurthe-et-Moselle et expédiés depuis Lyon.
Si vous voulez plus d’informations et commandez un des jeux de carte de Meditation Kid, en un petit clic sur www.meditationkid.fr et le tour est joué.
Parlons des paysages dans lesquels nous vivons, ceux qui nous entourent. Ces derniers présentent une grande variété de natures : terres cultivées, forêts, prairies, zones aquatiques ou lieux d’habitation.
Les paysages peuvent rester les mêmes pendant plusieurs siècles ou être modifiés très rapidement. La science de l’écologie des paysages étudie tous ces changements. Mais aussi comment ces modifications peuvent nous affecter.
Car les paysages peuvent avoir une influence sur notre santé en tant qu’individu mais aussi que collectif. Sur le plan mental comme physiologique.
Marc Deconchat est directeur de recherche au centre INRAE Occitanie-Toulouse, Écologue des paysages dans l’unité de recherche « Dynamiques et écologie des paysages agri-forestiers ». Et, selon lui, il est très probable que prendre soin de nos paysages induit notre santé.
Il nous explique notamment que des études ont montré que l’état du microbiote d’un enfant évoluant dans des paysages en ville est moins protecteur que celui d’un enfant évoluant au sein d’une nature sauvage et diversifiée.
Une première en France. C’est au départ de Toulouse que le géant des airs baptisé « MSN 1 » a tourné uniquement au carburant d’aviation durable. Airbus a précisé dans un communiqué que ce vol avait duré aux alentours de 3h et qu’un moteur de Rolls-Royce Trent 900 avait été utilisé, certifié 100% SAF.
Késaco ? Dans le jargon aéronautique cela correspond à « sustainable aviation fuel ». Total Energies de son côté a également fourni 27 tonnes de carburant durable « non-mélangé ».
Airbus précise également que « l’augmentation de l’utilisation des SAF reste une voie clé pour atteindre l’ambition de l’industrie de zéro émission nette de carbone d’ici 2050 ». L’abandon du kérosène est donc l’un des facteurs essentiel pour toucher au but.
La compagnie souhaiterait « atteindre la certification 100% SAF d’ici la fin de cette décennie ». Un projet bien ambitieux avec pour finalité l’objectif de mettre sur le marché le tout premier avion zéro émission au monde d’ici 2035.
Enfin, un deuxième vol d’or et déjà « plane » – ifié. Ce nouvel essai est prévu depuis l’aéroport de Nice (Alpes-Maritime) ce mardi 29 mars. L’objectif ? « Tester l’utilisation du SAF au décollage et à l’atterrissage ».
C’est LE salon bio et nature du Sud-Ouest ! Au programme, plus de 150 exposants : un marché bio, artisanat, des produits de beauté & bien-être, un pôle des associations et alternatives… Découvrez également aussi un espace des thérapeutes et de nouvelles méthodes pour vous aider à mieux vivre.
Sur place, régalez-vous à l’espace restauration et assistez à de nombreuses conférences ainsi qu'à des ateliers créatifs pour les plus jeunes.
– Ateliers créatifs pour les enfants
Enfin, retrouvez la liste des exposants : ici
Vous pouvez également télécharger votre invitation gratuite : ici
On vous donne rendez-vous salon Vivre Nature au MEETT du 25 au 27 mars, de 10:30 à 19:00 vendredi & samedi et de 10:30 – 18:00 le dimanche.
En 2016, Toulouse a accueilli son premier magasin de vrac, l’épicerie Ceci et Cela. Louise, sa fondatrice, cherchait un métier qui avait du sens et qui répondait à ses valeurs écologiques.
Aujourd’hui, Ceci et Cela propose des produits bio de plus de 170 producteurs qui, pour la plupart, sont dans la région toulousaine. Ces producteurs partagent les mêmes engagements que Louise et selon elle, son épicerie se différencie par la qualité et la quantité de ses produits.
Ceci et Cela valorise le zéro-gaspillage en proposant à ses clients de venir directement avec leurs propres contenants. Les habitués essayent ainsi de réduire leurs déchets et d’adopter un mode de consommation plus sain pour la planète. Louise a également mis en place un compost pour les fruits et légumes trop vieux et n’hésite pas à en donner aux associations.
L’épicerie Ceci et Cela souhaite aussi s’ancrer dans la vie de quartier en proposant d’être un véritable lieu de vie avec des événements, des activités ou encore des ateliers.
Depuis le 19 février 2022, la fabuleuse cheval dragon Long Ma trône fièrement à la Halle de La Machine à Toulouse. De temps en temps, elle se réveille pour un ballet impérial et n’hésite pas à montrer sa puissance en crachant du feu.
À côté d’elle, se trouve aussi l’imposant minotaure qui marche tranquillement en bombant le torse. La gigantesque araignée, elle, reste dans son coin et scrute les passants. Un monde tout droit sorti de l’imaginaire enfantin et pensé par François Delaroziere, directeur artistique de la compagnie La Machine.
Et pour animer toutes ces machines, la Halle s’appuie sur des véritables machinistes, reconnaissables avec leur manteau orange ou jaune. Nadine, issue du monde du spectacle, s’amuse chaque jour à se réinventer et s’adapte à chaque public lorsqu’elle explique les machines.
Anthony, lui, a participé à la construction du manège Carré Sénart et est vétérinaire pour les machines en mauvaise santé. Enfin, Pascale, qui accompagne le minotaure dans sa balade, se réjouit devant les réactions des visiteurs où les adultes sont aussi émerveillés que les enfants. D’après elle, les machinistes sont là pour apporter la joie, la fantaisie et la poésie !