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Antoine Albeau a remporté 27 titres de champion du monde de windsurf. Le dernier en date a été décroché en mai dernier. Le champion détient également le record du monde de vitesse en planche à voile. Une passion qu’il souhaite partager avec le plus grand nombre.

C’est pourquoi il a créé les Antoine Albeau Series. Du vendredi 29 août au dimanche 31 août a ainsi lieu la troisième édition de cette compétition réunissant tous les amoureux de windsurf, windfoil et wingfoil.

Une centaine de concurrents, professionnels comme amateurs, vont ainsise retrouver à La Couarde-sur-Mer, sur l’île de Ré, dans le golfe de Gascogne. 

Mi-juin, le Strasbourgeois Christophe Henry s’est imposé lors du championnat de France de padel, dans la catégorie des plus de 45 ans.

Licencié au club de Vendenheim, près de Strasbourg, Christophe, 148 meilleur joueur français, a décroché ce titre aux côtés d’un autre joueur, Frédéric Loriedo.

Il nous fait découvrir ce sport originaire du Mexique, un dérivé du tennis qui se joue sur un terrain plus petit et entouré de murs. 

C’est une avancée importante pour les personnes concernées par la fibromyalgie. En juillet dernier, la Haute Autorité de Santé a reconnu le syndrome fibromyalgique comme une maladie. L’instance scientifique a par ailleurs donné ses premières recommandations concernant la pose du diagnostic, la prise en charge des patients et la coordination des soins par les soignants.

En France, la fibromyalgie, touche près de deux millions de personnes, majoritairement les femmes. Cette pathologie chronique se caractérise par des douleurs diffuses et persistantes, au-delà de trois mois. Elle est par ailleurs associée, entre autres, à des troubles du sommeil et une fatigue.

Concrètement, que changent ces recommandations ? L’éclairage du Dr Pierre-Édouard Durade-Replat, médecin de la douleur et psychiatre au Centre d’évolution et traitement de la douleur du CHU Pellegrin, à Bordeaux.

Cette interview a été réalisée en partenariat avec le média impact.info. Vous pouvez la retrouver en intégralité ici.

Ce média a été fondé par Impact Partners et AirZen Radio, afin de mettre en lumière la parole de celles et ceux qui veulent faire bouger les lignes au sein de leur entreprise… mais pas que !

Rendez-vous sur impact.info pour découvrir les nombreux témoignages.

Inspiré du « livre dont vous êtes le héros », le jeu Emrpise propose aux participants d’incarner un personnage confronté à différentes situations. Chaque décision fait évoluer un « curseur d’emprise » : selon le choix, la situation peut s’aggraver ou s’améliorer. À la fin, une carte témoignage relatant un parcours réel est distribuée pour nourrir la réflexion collective. 

Un outil conçu pour tous les publics

Pensé pour un public adolescent et adulte, Emprise se joue en groupe (jusqu’à 15 personnes) et dure entre 30 à 60 minutes. Le dispositif s’adresse tant aux professionnels (associations, éducateurs, travailleurs sociaux) qu’à des publics variés souhaitant mieux comprendre les mécanismes relationnels à l’œuvre dans une violence conjugale. 

En 2025, Désclic a réédité le jeu pour le rendre plus accessible aux professionnels : une boîte compacte, une numérotation simplifiée, des nouvelles cartes diversifiées. Un guide pédagogique téléchargeable pour adapter le jeu selon le contexte a également agrémenté le jeu. Le contenu et l’histoire restent quant à eux inchangés, avec une prise en main facilitée. 

Un outil au service de la prévention

Le jeu aborde ainsi de manière concrète plusieurs dimensions des violences conjugales : cycle de la violence, violences psychologiques, dépendance économique et isolement social, violences sexuelles ou physiques et parcours d’accompagnement (judiciaire, social, psychologique). À travers cette expérience collective, il a pour but de déconstruire les clichés et de favoriser la prise de conscience. 

Le jeu Emprise est disponible à l’achat ou à la précommande sur le site de Désclic (prix indicatif : 60 €), accompagné d’un guide pédagogique gratuit à télécharger.

C’est un lieu unique en France. Début juillet, l’Eurométropole de Strasbourg a inauguré la Maison de la Santé Mentale. Cet espace de plus de 250 m² est accessible à toutes et tous sans rendez-vous. Ses missions : la prévention et la sensibilisation aux troubles psychiques. Elle pourra ainsi accueillir le public dès septembre.

Une quinzaine d’associations y assureront des permanences pour informer et orienter, si besoin, les personnes. Des groupes de paroles, ateliers collectifs et autres expositions artistiques y seront par ailleurs proposés. Ce tiers-lieu de la santé mentale n’est pas médicalisé mais souhaite changer le regard sur ces troubles et lutter contre la stigmatisation des personnes concernées. 

L’Hôtel des Expositions à Draguignan, dans le Var, accueille, jusqu’au 28 septembre 2025, l’exposition « Fantômes ». Ce travail est une invitation au voyage à travers les civilisations et les époques pour mieux comprendre la fascination que procurent les fantômes à travers les cultures.

Depuis l’Antiquité, les revenants suscitent l’effroi et la curiosité. L’exposition permet ainsi de découvrir ces fantômes au travers de plus de 300 objets exposés, de la peinture aux tenues traditionnelles.

Jérôme Pélissier, responsable de la cellule médiation et publics, nous explique. 

2,5 à 6,4 millions. C’est une estimation du nombre de personnes qui souffrent d’apnée de sommeil en France. Ce chiffre monte à près un milliard à l’échelle mondiale. « Les signes sont la fatigue importante en journée, des réveils répétés la nuit camouflés par une envie d’uriner, explique le Dr Emmanuel Micaut, praticien ORL au CHU de Caen. Il peut aussi y avoir des maux de tête au réveil, une impression d’un sommeil non réparateur. Ce sont des conséquences indirectes de l’apnée. La personne peut également ronfler fortement. Le compagnon ou la compagne peut d’ailleurs notifier ces arrêts respiratoires. »

Le trouble du sommeil est malheureusement sous-diagnostiqué et sa prise en charge est lourde pour le patient. Alors, Séverin Benizri, entrepreneur du numérique, et Guillaume Cathelain, ingénieur, ont créé Apnéal, une application mobile de dépistage avancée de l’apnée du sommeil, considéré comme un dispositif médical. Ils vont par ailleurs lancer une étude clinique en partenariat avec le CHU de Caen.

Comment fonctionne l’application ? Quel est l’intérêt de ce partenariat ? Quelles sont répercussions sur la santé de l’apnée du sommeil ? Séverin Benizri et le Dr Micaut nous expliquent tout.

Travaillant au quotidien avec des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer ou de troubles apparentés, Emeline Albertus a constaté un manque d’outils simples, respectueux et adaptés à la réalité de ses patients. De cette observation sont nés les Carnets de Léon et Augustine : un format papier ou PDF, mensuel, pensé pour stimuler la mémoire de manière bienveillante.

« Je voulais créer un support qui valorise ce que les personnes peuvent encore faire, pas ce qu’elles ont perdu, explique-t-elle. L’idée, c’est de soutenir l’autonomie, la concentration, l’envie de faire, tout en respectant le rythme de chacun. » 

Des exercices pensés pour accompagner, pas pour évaluer 

Chaque carnet contient une série d’exercices variés : jeux de logique, questions de culture générale, écriture libre, petits défis du quotidien… Le tout accompagné d’illustrations douces et d’un ton chaleureux. Loin d’un cahier scolaire ou d’un test médical, le carnet invite au plaisir de faire, seul ou accompagné. « L’objectif n’est pas de corriger des fautes, mais de créer un moment d’échange, de valoriser la personne », précise Emeline. 

Les carnets s’adressent aussi aux aidants : familles, soignants, auxiliaires de vie… Beaucoup témoignent du rôle facilitateur de ce support dans leur quotidien. « Pour les proches, ça donne une structure rassurante. Et pour la personne accompagnée, ça crée un cadre apaisant. » 

Chaque mois, un nouveau carnet est proposé avec une thématique différente. Une édition spéciale été est également disponible : 60 exercices pour accompagner les vacances

Pour permettre à chacun de tester, un exemplaire gratuit est disponible en téléchargement sur le site Internet. Une manière simple de se faire une idée avant de s’abonner ou d’offrir les carnets à un proche. 

Le gouvernement a lancé, en novembre 2023, une enquête sur le harcèlement scolaire consacrée aux élèves du CE2 à la Terminale. 600 établissements scolaires étaient concernés par ce travail. Dans la section “qualité de vie à l’école”, l’enquête a identifié plusieurs chiffres relatifs aux situations en milieu scolaire dites “à surveiller”. Ainsi, 19% des élèves du CE2 au CM2, 6% des collégiens et 4% des lycéens interrogés seraient potentiellement victimes de harcèlement de la part de leurs pairs. 

L’État a par ailleurs fait du sujet du harcèlement scolaire “l’une des priorités du ministère”. Toutefois, ce phénomène perdure, bien souvent de façon encore plus dissimulée. “Aujourd’hui, la parole s’est libérée pour les adultes. Mais ce n’est pas le cas du côté des enfants et des adolescents, qui parlent beaucoup moins qu’avant. Les harceleurs agissent de façon plus souterraine, plus subreptice qu’avant. Ce harcèlement, qui revêt une nouvelle forme, passe encore plus sous le radar des adultes”, appuie la thérapeute Emmanuelle Piquet. 

“La souffrance est le carburant du harcèlement”  

Que faire lorsque, en tant que parent, on apprend que son enfant est harcelé ? “Il faut dire à son enfant qu’on ne fera rien avec lequel il ne soit pas absolument d’accord. C’est une phrase hyper importante, car l’enfant a besoin, lui aussi, d’être responsabilisé. Et il faut l’aider à faire tomber le harceleur de son piédestal. L’enfant harcelé souffre. Et cette souffrance est le moteur de l’enfant harceleur”, détaille la thérapeute.

L’humour, l’autodérision, des armes utiles contre le harcèlement

Pour contrer ce phénomène, Emmanuelle Piquet a identifié plusieurs solutions efficaces, grâce à l’école de Palo Alto. “Je conseille aux enfants harcelés d’utiliser l’autodérision. Et faire comme si ce que disait l’enfant harceleur le faisait rire. Il faut rentrer dans son jeu, le conforter dans ses remarques, mais avec humour. À ce moment-là, l’autre se retrouve démuni, comme s’il boxait dans le vide.”

“Manuel de survie face au harcèlement”, d’Emmanuelle Piquet, éditions Les Arènes.

Emmanuelle Piquet a fondé “A 180 degrés”, centre de consultation et de formation pour apaiser “toutes formes de souffrance”.

En quittant son poste de chef comptable, Sonia CHARDONNENS est devenue entrepreneuse événementielle, coach et conférencière. Elle partage des insights sur l’importance de la bienveillance en entreprise et l’équilibre vie professionnelle/vie personnelle. Elle nous convainc que l’audace n’est ni un don ni une question de caractère, mais un choix.

En tant que Master Trainer à la Network Business School, elle enrichit le leadership audacieux des entrepreneurs. Parfaitement imparfaite, elle accompagne des entrepreneurs qui comme elle,  sont multi-passionnés et ATYPIK. Elle les aide à gagner en confiance et à booster leurs business dans la joie et la bonne énergie.  

Depuis 2019, Sonia organise la Journée de l’Audace en Suisse. Il s’agit d’une déclinaison de la Journée de l’Audace crée en France par Yannick Alain. C’est en soi une démonstration de son audace personnelle, qu’elle transforme chaque année en succès avec des conférenciers, des spectacles, de la danse et du stand Up.

Sonia CHARDONNENS est une multi-passionnée avec des multi-talents. Elle exprime qu’elle est là pour accompagner, inspirer et célébrer chaque étape du parcours entrepreneurial de ses interlocuteurs. Son mantra : « Rêve, Ose et persévère »

“Un jour, il y a quinze ans, une personne est venue me demander un tatouage pour couvrir une cicatrice sur son bras. Cette cicatrice n’était pas très jolie : il y avait des chéloïdes, des creux… Je n’avais jamais couvert de cicatrice auparavant, mais j’ai trouvé que c’était une très belle idée. On a beaucoup échangé, réfléchi et on a trouvé une solution ensemble. Le résultat était formidable. Cette expérience a été une révélation pour moi”, explique Patricia Soland.

Son salon, paisible, à son image, est situé dans une petite cour intérieure du 11ᵉ arrondissement. Cette cour, où le temps semble s’être arrêté, a des airs de campagne en plein Paris.  

Plus de 1000 cicatrices recouvertes  

“Le tatouage reconstructeur est une vraie thérapie. Cela permet aux personnes de se regarder comme avant, avec bienveillance. La personne se regarde et peut enfin voir quelque chose de beau.” Patricia estime aujourd’hui avoir tatoué plus de 1000 cicatrices. Elle s’occupe en effet d’environ deux à trois clients par semaine.  

“J’ai eu affaire à des cicatrices suite à un cancer du sein, mais elles peuvent être aussi liées à des accidents, des maladies, des greffes de peau, des brûlures… On peut aider beaucoup de personnes grâce au tatouage.” Patricia est spécialisée dans les fleurs et les compositions naturelles, qu’elle prend soin d’adapter aux formes de la personne, pour que le tatouage et l’être humain ne fassent qu’un.  

Si vous souhaitez découvrir le travail délicat de Taratatou, rendez-vous sur son compte Instagram

Mattys Lentini, 18 ans, travaille au sein de la fromagerie marseillaise Kalou. Début juin, il a décroché le titre de meilleur apprenti de France dans la catégorie crémier-fromager. Une grande fierté pour le jeune homme atteint de dyslexie sévère.

Mattys est ainsi devenu le premier travailleur en situation de handicap à obtenir ce titre tant convoité. Un message d’espoir qu’il souhaite transmettre.

Maud Ankaoua est l’autrice à succès de trois best-sellers – “Kilomètre zéro”, “Respire !” et “Plus jamais sans moi” – qui ont séduit plus de 5 millions de lecteurs et lectrices. Un succès qu’elle explique en partie par son authenticité. En plus de cette activité, cette ancienne salariée du monde de la finance a développé son podcast “Ces questions que tout le monde se pose” qui, comme son nom l’indique, répond aux questions communes à beaucoup d’entre nous.

Mais d’ailleurs, comment se fait-il que nous nous posions tous et toutes les mêmes questions ? Est-ce une question de mœurs, d’éducation, de nos sociétés ? Pour AirZen Radio elle répond à certaines de nos questions, comme celle de réussir à rester positif au quotidien.

Le Kintsugi, qui signifie “jointure en or”, est un art japonais ancestral qui consiste à réparer les céramiques brisées avec de la laque saupoudrée de poudre d’or. Ainsi, plutôt que de masquer les fissures, il les met en lumière, faisant de la fragilité un atout.

Céline Santini, auteure et créatrice de la méthode Esprit Kintsugi, s’en est inspirée pour proposer un parcours de développement personnel. Selon elle, nos blessures intérieures ressemblent à ces cassures : elles font partie de nous. Les accepter, les réparer avec soin, c’est se reconstruire en conscience et en beauté.

Le Kintsugi invite ainsi à ne plus avoir honte de ce qui a été brisé, mais à en faire un témoignage de résilience. Une philosophie lumineuse, apaisante, qui réconcilie l’humain avec ses imperfections. En se dorant de l’intérieur, il retrouve une paix profonde et, peut-être même, un peu de soi.

Smartphones, tablettes et ordinateurs sont devenus des prolongements de notre corps et de notre esprit. Le stress lié au numérique s’impose comme une réalité que beaucoup vivent sans forcément en mesurer l’ampleur.

Le psychiatre Serge Tisseron alerte sur les dangers de cette hyperconnexion : « Nous sommes entrés dans une culture où la disponibilité permanente est devenue la norme, ce qui provoque une forme d’épuisement mental et émotionnel. » 

Les multiples facettes du stress numérique

Le stress numérique ne se limite pas à la surcharge d’informations. Il englobe aussi la peur de manquer quelque chose (FOMO, “fear of missing out”), le besoin compulsif de consulter ses notifications ou encore l’angoisse de l’exposition sur les réseaux sociaux. « Le numérique transforme les relations humaines en interactions souvent superficielles, ce qui accroît le sentiment de solitude et d’insécurité intérieure », déplore Serge Tisseron. 

Ce phénomène touche toutes les tranches d’âge, avec une intensité parfois différente. Les adolescents, particulièrement exposés aux réseaux sociaux, développent ainsi souvent une anxiété liée à l’image de soi et à la comparaison sociale. Les adultes, eux, peuvent souffrir du mélange entre vie professionnelle et vie privée sans frontières, amplifiant le stress et la fatigue. 

Apprendre à se déconnecter pour se protéger

Serge Tisseron recommande de trouver des « temps sans écran », pour permettre au cerveau de se régénérer : « Il est indispensable d’apprendre à s’imposer des règles claires, comme la déconnexion régulière, afin de préserver notre équilibre psychique. » 

Le stress numérique ne doit pas être vu comme une fatalité, mais comme un signal d’alerte. Apprendre à utiliser les technologies avec conscience, choisir des moments de déconnexion, cultiver la relation réelle et le temps pour soi sont autant de clés pour limiter ce mal contemporain. 

« Le numérique peut être un formidable outil, à condition que nous en gardions le contrôle et que nous ne devenions pas esclaves de la machine. » conclut-il.

Il fait chaud et notre corps peine à trouver des solutions pour faire baisser sa température. Afin de le préparer corps et l’aider à garder son hydratation et tous les nutriments dont il a besoin, Cynthia Kå nous partage quelques recettes. Naturopathe, autrice et entrepreneuse (Maison Kå), elle partage régulièrement à ses 600 000 abonnés des astuces qui veulent du bien au corps et à l’esprit.

Parmi elles, boire des boissons riches en électrolytes. L’électrolyte est un minéral qui transporte une charge d’énergie lorsqu’il est dissous dans le sang. Il aide ainsi à réguler la fonction nerveuse et musculaire, permettant de maintenir un équilibre d’hydratation dans le corps. Si de nombreuses boissons (surtout réservées au sportifs et sportives) existent, l’ajout d’une simple pincée de sel dans l’eau peut suffire. L’eau de coco pure est aussi l’une des boissons avec la plus forte concentration en électrolytes. 

Eau de coco
Marcos/Adobe Stock

Pour découvrir les autres conseils nutritionnels donnés par Cynthia Kå pour mieux vivre avec la chaleur, écoutez son interview. 

Rebecca Shankland est psychologue clinicienne et auteure sur le thème de la gratitude. Professeure des universités en psychologie du développement à l’Université Lumière Lyon 2, elle est également membre de l’Institut Universitaire de France et responsable de l’Observatoire du Bien-être à l’École. Elle est également chercheure au Laboratoire Développement, Individu, Processus, Handicap, Éducation.

Ses recherches portent, depuis vingt ans, sur le développement des compétences psychosociales des enfants et des adultes, en milieu scolaire et au sein des familles. Elle a d’ailleurs publié de nombreux articles scientifiques et ouvrages sur le développement de la santé mentale, des compétences psychosociales et du bien-être.

Rebecca nous invite à découvrir les pouvoirs de cet ingrédient nécessaire à l’équilibre personnel qu’est la gratitude. Elle propose ainsi des outils et des exercices pour développer cette orientation reconnaissante. Elle nous en rappelle les bénéfices pour soi et pour la collectivité, dont les effets sont aujourd’hui reconnus, dans la sphère privée comme en milieu professionnel ou à l’école pour les enfants.

L’autrice des « Pouvoirs de la gratitude » (éd. Odile Jacob) s’intéresse à rendre les pratiques de développement des compétences psychosociales le plus accessibles possibles pour les professionnels, d’une part, par exemple, avec l’ouvrage “Développer les compétences émotionnelles” (éd. Dunod). D’autre part, auprès des jeunes, par exemple avec un programme gratuit en ligne, intitulé ETUCARE, à destination des étudiants. Enfin, avec la BD « Les Aventuriers du bonheur perdu », parue aux éditions Les Arènes.

À 28 ans, Joranne, a traversé des moments difficiles. La jeune femme a en effet eu une enfance rythmée par des violences physiques et morales au sein de sa famille, des allers-retours au tribunal, des parents incarcérés, un placement à l’aide sociale à l’enfance à 6 ans, un déni grossesse de 8 mois alors qu’elle est âgée de 16 ans.

Page de couverture du livre "Quand je serai grande" de Joranne

Malgré tout ces épreuves, Joranne réussira le concours pour devenir sapeur-pompier de Paris, notamment grâce à des rencontres qui changeront sa trajectoire de vie. Mais son rêve à elle est de venir éducatrice spécialisée pour aider les enfants maltraités. Objectif aujourd’hui atteint.

Joranne retrace son histoire dans un livre, « Quand je serai grande », écrit avec l’autrice Bessora, publié aux éditions Fayard. Une histoire émouvante de résilience, de détermination et d’espoir pour les enfants placés à l’ASE. Ils étaient plus de 200 000 en 2020.

Rencontre avec ce parfait exemple de lutte contre le déterminisme social.

À lire et à écouter aussi : “L’Enfant oubliée”, le témoignage de Nathanya sur l’Aide sociale à l’enfance

Fatigue chronique, stress, surcharge mentale… Ces maux du quotidien touchent un nombre croissant de personnes. Dans « 9 clés pour surmonter la fatigue », publié aux éditions Eyrolles, Florence Parot propose une approche douce, accessible et profondément humaine pour retrouver de l’énergie. 

Sophrologue, coach et spécialiste de la slow thérapie, Florence Parot accompagne depuis des années des personnes en état d’épuisement ou de burn-out. 

Récupérer, ce n’est pas perdre du temps

La fatigue ne se combat pas à coups de bonne volonté, mais s’apprivoise dans un cadre plus respectueux du corps et de l’esprit. Et cela commence par le repos. « Nous vivons dans une société qui valorise l’action permanente. Mais sans temps de récupération, notre corps finit par tirer la sonnette d’alarme », explique Florence Parot. Elle invite ainsi à reconsidérer la récupération non comme une pause coupable, mais comme une condition vitale d’équilibre et de bien-être. Car la fatigue n’est pas qu’un manque de sommeil

Des outils simples pour aller mieux

Le livre s’articule autour de neuf clés concrètes, accessibles à tous, pour sortir de l’état d’épuisement : mieux respirer, mieux s’écouter, alléger son quotidien, prendre soin de son sommeil, ralentir. Chaque chapitre propose des pistes d’exploration, des conseils pratiques, ainsi que des exercices inspirés de la sophrologie et de la slow thérapie. « Il ne s’agit pas de tout changer du jour au lendemain, mais de créer des petites marges, au quotidien, pour que le corps retrouve peu à peu son espace d’expression », rappelle Florence Parot. 

Le ton est ici bienveillant, jamais culpabilisant. L’ouvrage n’est pas là pour diagnostiquer, mais pour accompagner.