Le cri d’alarme des Restos du cœur
Le groupe LVMH, détenu par Bernard Arnault, va verser 10 millions d’euros aux Restos du cœur. L’association rencontre actuellement de grosses difficultés financières avec un déficit de plus de 35 millions d’euros notamment à cause de l’inflation et de la baisse des dons. La ministre des Solidarités Aurore Bergé avait de son côté lancé dimanche un appel aux grandes entreprises afin qu’elles se mobilisent. Le gouvernement a pour sa part promis 15 millions d’euros à la structure.
L’heure de la rentrée a sonné
Douze millions d’élèves français sont retournés en classe ce lundi matin. À l’occasion de cette rentrée, le ministre de l’Éducation nationale Gabriel Attal a annoncé vouloir diviser par deux le poids du cartable. Pour y arriver, il a évoqué la possibilité de jouer sur les fournitures, les manuels, le numérique ou encore les casiers dans les établissements.
La Fondation du patrimoine dévoile ses lauréats
La liste des 100 projets départementaux soutenus par la Fondation du patrimoine a été dévoilée ce lundi. Le montant de la dotation de chaque site départemental sera connu en fin d’année. Depuis le lancement du Loto du patrimoine, en 2018, plus de 850 sites ont été aidés dans leurs travaux de restauration, dont plus de 750 sites départementaux.
Un premier sommet africain pour le climat
Le premier sommet africain pour le climat s’est ouvert ce lundi et se tiendra jusqu’à mercredi à Nairobi, au Kenya. Ce rendez-vous va rassembler de nombreux dirigeants du continent, mais aussi des entreprises, des organisations internationales, des associations. Près de 20 000 personnes sont attendues. Objectif : s’entendre sur les solutions africaines pour faire face au dérèglement climatique et aboutir à une “déclaration de Nairobi'”.
Lille récompense les trajets sans voiture
À Lille, il est désormais possible de gagner de l’argent si on ne prend pas sa voiture. Une initiative unique en France. La métropole a ainsi mis en place depuis ce lundi un système de récompenses pour les personnes qui prennent les transports en commun, font du covoiturage ou du télétravail au lieu d’aller travailler en voiture. Cette compensation s’élève à 2 euros par trajet dans la limite de 80 euros par mois.