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L’association Mamies Gâteaux à Strasbourg crée du lien entre générations à travers des ateliers de pâtisserie, combattant l’isolement des seniors.

Dans une cuisine animée à Strasbourg, l’association Mamies Gâteaux réunit des retraités autour d’ateliers de pâtisserie. Ces moments visent à rompre l’isolement des aînés et à favoriser les échanges intergénérationnels.

Vincent Gabbardo, fondateur de l’association, souligne : Ce n’est pas parce qu’on a 70 ou 95 ans qu’on est forcément isolé. Mamy Gâteau permet de tisser des liens et de redonner vie à des relations sociales.”

Une initiative pour briser l’isolement

Créée en 2019, Mamy Gâteau offre un espace convivial où les seniors partagent leurs recettes et expériences. Ces ateliers permettent de créer des ponts entre différentes générations et de renforcer le tissu social.

Les participantes, comme Maria, témoignent de l’importance de ces rencontres : Cela apporte de la joie et ça se partage. L’association favorise ainsi l’échange et le partage de savoir-faire culinaires.”

Pour découvrir ces moments de convivialité, écoutez le reportage audio disponible et plongez dans l’univers chaleureux de Mamy Gâteau, où chaque biscuit est le fruit d’une belle rencontre...

Le rendez-vous est fixé dans les Yvelines, au cœur d’un petit village. La nuit est tombée, les franciliens rentrent du travail, la séance peut commencer. C’est Adrien Dujardin qui nous accueille. Comme chaque lundi, il anime l’atelier Equilibre Tête Cœur Corps dans cette pièce haute de plafond située dans un jardin de particulier. Nous serons 6 participants, la plupart habitués mais c’est en néophyte que je m’y rend.

Une séance Equilibre Tête Cœur Corps pour se rééquilibrer émotionnellement et corporellement

“Pour retrouver le calme il n’y a pas meilleur endroit que le moment présent” explique Adrien pour donner le ton. Durant une heure il va nous guider à travers plusieurs exercices, parfois en musique, pour nous permettre de mieux gérer nos émotions, entretenir notre corps physique et développer notre attention et notre concentration.

Brigitte vient depuis 3 ans “Je viens chercher la relaxation, la confiance en soi et le bien-être. Me faire du bien à moi… Et ça marche”. Même constat pour Cédric, Véronique et Pascaline qui arrivent à s’accorder plus ou moins régulièrement ce moment ensemble, pour eux. “Je n’avais plus de prof de yoga dans le coin et j’en retrouve une partie ici. Je ne sais pas si je pense à mon corps à d’autres moments de la semaine” poursuit Juliette.

Peu importe votre parcours de vie, “On peut toujours travailler sur soi” assure Adrien. Cette séance Equilibre Tête Cœur Corps était proposée dans le cadre de l’association Le Chemin de Mon Jardin à Limay (78).

« Le regard des gens sur le handicap et le polyhandicap a changé », observe Sébastien Legoff, DG de l’association Les Tout-Petits.

Active depuis 60 ans, l’association favorise l’inclusion des enfants polyhandicapés par l’école. Au delà même de l’enseignement, cela favorise un vivre-ensemble, brise les préjugés et renforce les liens sociaux dès le plus jeune âge.

Ainsi, les enfants dits vulnérables ont une classe dédiée dans l’école, ce qui leur permet de tous se rejoindre à la récréation. “Il faut du culot, il faut croire que tout est possible” insiste Sébastien Legoff, qui souligne le courage des parents militants qui ont su faire bouger les lignes.

Polyhandicap : un avenir inclusif pour tous

Le constat est double pour le dirigeant de l’association Les Tout-petits : “Aujourd’hui, c’est de plus en plus imaginable -mais ça ne veut pas dire que c’est le cas partout- que les personnes ne situation de handicap puissent vivre avec nous, dit-il. L’autre point c’est les professionnels qui ont un engagement, une réellement empathie et qui savent se remettre en question”.

Si le chemin reste long pour les familles concernées, la société est en route. Car pour tendre vers plus d’inclusion, le premier pas c’est peut-être de rendre la rencontre possible.

Pour en savoir plus sur cette dynamique positive, écoutez l’interview complète sur AirZen Radio et découvrez comment chacun peut contribuer à cette évolution.

Milena Surreau, championne d’Europe de para badminton, incarne la détermination. Son parcours inspirant ouvre un dialogue sur le handicap et l’autisme.

À 28 ans, Milena Surreau a remporté le titre de championne d’Europe de para badminton dans la catégorie SL3. Son parcours, marqué par une maladie neurologique rare et un autisme, témoigne de sa force de caractère.

« Quand je suis sur une compétition, j’ai vraiment des papillons dans le ventre, je suis super excitée », confie-t-elle. Ce titre, obtenu en octobre dernier, ajoute une nouvelle belle expérience à sa carrière, déjà marquée par sa participation aux Jeux paralympiques de Paris.

Un parcours atypique et inspirant

Milena a exploré divers sports, du football au tennis, avant de se tourner vers le para badminton. Son parcours professionnel, riche et diversifié, inclut des expériences en tant que musicienne et chef d’exploitation agricole.

« Je suis passée par une errance médicale, qui m’a finalement aidée à comprendre mon handicap », explique-t-elle. Son engagement dans le sport de haut niveau est le fruit d’une détermination sans faille et d’une acceptation de son handicap.

Pour découvrir son parcours et ses réflexions, écoutez l’audio disponible, un témoignage inspirant qui invite à prolonger la réflexion sur le handicap et l’inclusion.

Pour en savoir plus, vous pouvez également consulter cet article sur Milena Surreau sur Handicap.fr…

Femme qui réfléchir pour répondre à une enquête

Cette interview a été réalisée en partenariat avec le média impact.info. Vous pouvez la retrouver en intégralité ici.

Ce média a été fondé par Impact Partners et AirZen Radio, afin de mettre en lumière la parole de celles et ceux qui veulent faire bouger les lignes au sein de leur entreprise… mais pas que !

Rendez-vous sur impact.info pour découvrir les nombreux témoignages.

Le BLISS Yoga Festival revient du 14 au 16 novembre au sein de l’écosystème Darwin, à Bordeaux. Pour sa 11ᵉ édition, le premier festival de yoga et de pratiques douces en France reste fidèle à son ambition : proposer un bien-être accessible à tous, grâce à une programmation inclusive, engagée et largement ouverte, avec des ateliers gratuits ou sur dons libres.

Cette année, le festival s’enrichit de nouveautés marquantes. Un Run & Yoga gratuit, organisé avec Veja et le club Trace, permettra de mêler course à pied et pratique posturale. Le programme explore aussi de nouvelles expériences comme le Fly Yoga (ou flying yoga) en hamac, le Nordic Yoga, le Yoga du Visage ou le Yoga sur chaise.

Des séances adaptées sont également proposées, notamment le Yoga Rose pour les personnes touchées par un cancer du sein ou des ateliers dédiés à la prévention du burn-out. Des cours enfants et parents-enfants complètent l’ensemble.

Le week-end sera rythmé par un concert de JAM Kirtan dès l’ouverture, des conférences gratuites animées par des spécialistes — les “Yogablablas” — et le Yogi Market, réunissant créateurs locaux et marques engagées pour un shopping de Noël plus conscient.

Une nocturne “Juste pour danser” invitera le public à vivre une parenthèse sensorielle le samedi soir. Deux séances de dédicaces sont également prévues, avec Mathieu Boldron pour son premier ouvrage Le yogi moderne, et Charlotte Saint-Jean.

En trois jours, le BLISS Yoga Festival entend offrir un concentré d’énergie et de douceur pour entrer dans l’automne avec un souffle nouveau.

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À l’approche de la retraite, la question de l’EHPAD se pose souvent. Roger Paul Droit, philosophe et coordinateur du dernier ouvrage de la Fondation Partage et Vie, souligne l’importance d’aborder ce sujet avec optimisme et ouverture. Il rappelle que les établissements ne se résument pas à leur image négative.

“Le paysage des EHPAD est très contrasté.” affirme le coauteur de L’entrée en EHPAD : s’adapter au changement de vie (éditions PUF). Et d’ajouter : “Il existe des maisons où l’attention et la bienveillance sont au cœur des préoccupations, offrant ainsi un cadre de vie agréable et enrichissant”.

Préparer l’entrée en EHPAD : un dialogue crucial

La plupart des entrées en EHPAD se font dans un contexte d’urgence, souvent après un accident. Il est donc crucial de préparer cette transition. Échanger avec ses proches sur les préférences et les inquiétudes peut aider à rendre cette phase moins traumatisante.

« Préparez-vous, parlez-en avec votre famille. ».

Vers une inclusion intergénérationnelle

Les initiatives qui favorisent l’intergénérationnel sont essentielles pour briser la solitude des résidents. Les projets innovants, tels que l’ouverture d’activités communes, renforcent les liens sociaux et enrichissent la vie quotidienne.

Pour approfondir cette thématique, écoutez l’interview complète sur AirZen Radio, qui met en lumière des témoignages et des initiatives inspirantes autour du bien vieillir.

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L’Initiative, à Haguenau, emploie 25 personnes en situation de handicap, offrant une expérience culinaire et un modèle d’inclusion unique.

Le restaurant L’Initiative, situé dans la zone artisanale de l’aérodrome, offre une belle vitrine sur l’insertion professionnelle. Avec 25 travailleurs en situation de handicap, il prouve que le handicap n’est pas un frein à l’emploi.

Depuis son ouverture en 2020, l’établissement s’efforce de simplifier les tâches pour favoriser l’autonomie. Le but c’est de simplifier les tâches pour qu’ils soient adaptés à ces personnes, explique Nicolas Jamin, responsable du restaurant.

Un environnement de travail adapté et inclusif

Chaque jour, l’équipe, composée de travailleurs ayant des handicaps variés, est soutenue par six encadrants qui adaptent les postes en fonction des capacités de chacun. Cela permet à tous de participer activement à l’apprentissage des métiers de la restauration.

Comme le souligne Martine, monitrice : Pour aimer travailler avec des jeunes en situation de handicap, il faut savoir se remettre en question. Cette approche favorise un environnement de travail serein et valorisant pour tous.

Pour découvrir l’expérience unique de L’Initiative, écoutez l’audio disponible et plongez dans cette aventure humaine où le travail d’équipe et la bienveillance sont au cœur des valeurs...

Mayane, comédienne et première candidate porteuse de trisomie 21 dans “Danse avec les Stars”, partage son récit touchant dans le livre “De l’ombre à la lumière”, aux éditions Harpers Collins. Une histoire racontée par sa mère, Sandrine Thévenon, avec la collaboration de Lola Zidi. Cet ouvrage met en avant la résilience de Mayane et de sa famille face à un monde parfois peu accueillant envers la différence.

“Avant même de la mettre au monde, je savais qu’elle serait différente”, confie Sandrine qui parle aujourd’hui de sa fille comme un “rayon de soleil”. “Oui, on est fusionnelles”, confirme la comédienne. “On a senti du négatif dès son arrivée. Un diagnostic froid, qui la condamnait d’avance à ne rien pouvoir faire de sa vie. Pour nous, c’était notre enfant, un point c’est tout”.

Un parcours jalonné d’amour et de défis

Le chemin de Mayanne a été parsemé d’obstacles, mais chaque étape a renforcé les liens familiaux. Son père Nono, malgré les difficultés, a toujours cru en elle : Ce qu’ils ne savent pas, c’est l’avenir. Ils ne savent pas ce qu’elle est capable de faire”. La père de Mayane, décédé il y a plusieurs années, est régulièrement cité dans l’ouvrage. “Tout l’amour qu’il lui a donné, Mayane le porte encore aujourd’hui”.

Cette conviction a permis à Mayane de s’épanouir. Sandrine témoigne : On l’a boostée à deux, un soutien essentiel dans son développement et sa confiance en elle”. Elle se souvient de la persévérance de sa fille. Elle essayait, recommençait des dizaines et des dizaines de fois jusqu’à y arriver. Mayane, contrairement aux prédictions, a fait ses premiers pas à 21 mois. “Ensuite, elle courrait partout” se souvient Sandrine.

Une célébration de la différence et de l’espoir

Mayanne incarne l’esprit combatif et la joie de vivre. Son parcours inspire de nombreuses familles à accepter et célébrer la diversité. Aujourd’hui, la jeune femme rêve de poursuivre sa carrière au cinéma et de travailler sur un film mêlant jeu et danse.

Pour approfondir cette belle histoire, écoutez l’interview complète sur AirZen Radio, où Sandrine, Mayane et Jeanne, porteuse de trisomie 21, partagent leurs réflexions et expériences.

Femme qui réfléchir pour répondre à une enquête
Une journée de la neurodiversité pour mettre en avant les richesses neurologiques – Avec Orange
Xavier Caudrillier, salarié d’Orange et Hugues Lavigne, humoriste Toulousain – Orange

La neurodiversité renvoie à la diversité des cerveaux humains. Au cœur de cette diversité, se trouvent les profils neuroatypiques qui représenteraient 15% de la population française. Que la personne soit autiste, TDAH, DYS, etc., elle voit le monde autrement dû à cette particularité cognitive. Ces profils doivent alors s’adapter quotidiennement à la société et rappeler toutes ces richesses qui les rendent uniques.

Heureusement, des acteurs et des actrices œuvrent pour rendre cette société plus inclusive. Hugues Lavigne est un humoriste toulousain avec un TDAH. Lors de ces spectacles, il sensibilise avec humour et souhaite changer les regards. De son côté, Céline Lys Raoux a imaginé le magazine Zèbres & Cie, dédié à la neurodiversité. Elle y partage des outils pour améliorer la qualité de vie des personnes neuroatypiques et de leur famille.

Une journée de la neurodiversité pour mettre en avant les richesses neurologiques – Avec Orange
Élizabeth Tchoungui, directrice exécutive RSE au sein d’Orange lors de la Table Ronde autour de la neurodiversité – Orange

Mi-octobre 2025, l’opérateur Orange a également organisé une journée autour de la neurodiversité au sein de ses locaux toulousains. À travers des ateliers, des conférences et des tables rondes, les intervenants et les intervenantes ont partagé les enjeux actuels et les solutions pour assurer un monde du travail accessible. Fort de leur programme d’engagement Neuroteam, Orange a donc à cœur de rappeler toute la richesse et les compétences que ces profils peuvent apporter au monde de l’entreprise.

Le club Strasbourg Escrime propose des séances adaptées aux femmes ayant survécu à un cancer du sein, alliant bien-être physique et soutien communautaire.

Chaque mercredi, le club Strasbourg Escrime accueille des femmes prêtes à se réapproprier leur corps après des traitements lourds liés au cancer du sein. Encadrées par le maître d’armes Michel Marpeau, ces séances d’escrime thérapeutique offrent un espace de réhabilitation physique et de partage.

Ces séances sont conçues pour travailler la mobilité de l’épaule et favoriser le bien-être mental. Comme le souligne Michel Marpeau, c’est en complément de la kiné et cela joue sur la mémoire et l’équilibre des participantes.

Une approche inclusive et bienveillante

Les participantes, comme Blandine, partagent un vécu similaire et trouvent du réconfort dans ces moments. “On se concentre sur les mouvements, et l’esprit est un peu plus libre“, explique-t-elle, soulignant les bienfaits de l’escrime sur leur quotidien. Il y a une super ambiance, on rigole bien, témoigne Catherine, une participante.

Pour prolonger cette expérience, l’audio disponible permet d’écouter des témoignages inspirants et d’approfondir la réflexion sur le lien entre sport et santé. Ces moments partagés sont essentiels pour avancer ensemble.

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D’ici à 2030, la France comptera plus de 21 millions de personnes de 60 ans et plus. La grande majorité de seniors qui reste indépendante souhaite alors vieillir chez soi. Cependant, face à la perte d’autonomie, de nombreuses difficultés peuvent apparaître au sein du logement. Pour répondre à cette transition démographique, des acteurs et actrices de l’immobilier innovent alors en matière de logement.

Le CISN, la Coopérative Immobilière de Saint-Nazaire, adaptent leurs propositions de logements selon les besoins des résidents. Parfois, une simple rénovation de l’habitat permet d’apporter une solution concrète. Des projets résidentiels voient également le jour où chaque logement est adapté et pensé pour répondre aux spécificités des profils.

Du côté de l’Isère, la coopérative Habitat Dauphinois a décidé de se tourner vers l’aide à la vie partagée. Au sein de leur résidence inclusive Le Symphonie, l’animatrice Élodie Rey offre aux résidents des moments de joie et de convivialité à travers des ateliers et des sorties ludiques.

Toulouse : Des animaux de compagnie pour soutenir les patients en réanimation
Une patiente du service de réanimation et son chien – Clinique des Cèdres

Depuis début 2025, à Cornebarrieu, non loin de Toulouse, la Clinique des Cèdres autorise la visite des animaux de compagnie au sein de son service de réanimation. Ces visites encadrées sont proposées à des patients en phase de stabilisation, préparés en amont. Avec l’aide de la famille, ils peuvent ainsi profiter de la venue de leur chien ou de leur chat, si celui-ci est calme et en bonne santé. Un livret de consignes est d’ailleurs remis aux familles avant chaque visite.

Ce dispositif vise donc à prendre soin des patients autrement, en apportant un soutien émotionnel et psychologique. La présence des animaux de compagnie est source de réconfort, réduit l’anxiété et améliore la qualité de vie des patients.

Les premiers résultats de cette initiative sont encourageants : sur les cinq premiers patients ayant bénéficié de cette démarche, tous ont montré des signes tangibles d’amélioration émotionnelle. Cette démarche fédère également les équipes et apporte de la joie dans un environnement souvent soumis à des conditions difficiles.

Bonjour à tous ! C’est Jeanne. Et ce jeudi 6 novembre 2025, c’est la journée nationale de lutte contre le harcèlement scolaire. Un jour important pour moi. Parce que, quand je suivais mon CAP, j’en ai aussi été victime. Plusieurs personnes me traitaient de “mongole”. Je ne savais pas ce que cela voulait dire, jusqu’à ce que ma mère m’explique.

Quand c’est arrivée, je me suis tue. J’ai attendu que ça passe. Mais j’aurais du parler... C’est ce que je vous conseille. Ne restez pas seul.e avec votre harcèlement, parlez-en à un adulte responsable et bienveillant : un professeur, une surveillante, un parent.

Il existe aussi un numéro à appeler : le 3018.

Sophie Trem, chercheuse en bien-être, nous livre son expérience personnelle face à des défis de santé tels que l’eczéma. Elle évoque l’importance de comprendre les raisons derrière nos actions pour mieux avancer.

Pour Sophie, quand tu comprends pourquoi tu fais les choses, tu n’es plus animé de la même façon. Cette prise de conscience lui a permis de transformer sa vision de la vie et d’adopter des habitudes plus saines.

Le mouvement comme clé du mieux-être

Dans son quotidien, Sophie privilégie le mouvement et les interactions sociales. Elle se sent plus inspirée lorsqu’elle est à l’extérieur, où elle rencontre des gens et génère de nouvelles idées.

Elle souligne que le mouvement, c’est la clé de tout, tout en reconnaissant l’importance de trouver un équilibre pour se ressourcer et se recentrer sur soi-même.

 

Pour prolonger cette réflexion, écoutez l’audio complet de son interview et explorez les clés de son projet des Good Mood Class, qui visent à diffuser des cours de bonne humeur.

Explorez la Halle Saint-Pierre, un café-librairie au pied de Montmartre, qui célèbre l’art brut et l’échange culturel dans un cadre immersif et accueillant.

La Halle Saint-Pierre, située en bas de la butte Montmartre, est un lieu emblématique à Paris qui mêle librairie, café et musée d’art brut. Ce site unique invite à la découverte et à l’échange.

Ce café-librairie a été récemment reconnu parmi les plus beaux au monde, selon un classement du site 1000libraries. C’est un lieu où on peut venir se reposer, travailler, apprendre, découvrir, explique Stéphane, son gestionnaire.

Un lieu riche en histoire et en culture

Construit dans la seconde moitié du 19e siècle, ce bâtiment a évolué d’un marché à un musée d’art brut, mettant en lumière des artistes “à l’écart” des circuits traditionnels.

Stéphane souligne l’importance de l’échange : On expose des artistes qui viennent spontanément, permettant cette rencontre et ce partage, renforçant ainsi le lien culturel au sein de la communauté.”

Un espace pour tous et toutes

La Halle Saint-Pierre se veut un lieu inclusif, accessible à tous, où chacun peut explorer l’art brut et la culture populaire. La diversité des visiteurs enrichit cet espace.

Pour prolonger cette expérience, écoutez l’interview complète sur AirZen Radio et laissez-vous inspirer par les histoires et les créations qui font vivre ce lieu exceptionnel...

Le livre “Gautier Grand Nez” (paru en septembre 2025 aux éditions Pikots Jeunesse) invite à aborder le harcèlement scolaire avec bienveillance et imagination.

Eva Kopp, animatrice sur AirZen Radio et autrice, présente son dernier livre . Une histoire née à la suite d’un fait divers qui l’avait bouleversé. Celui du suicide d’une petite fille, harcelée à l’école. Ce livre aborde le harcèlement scolaire à travers l’histoire d’un jeune garçon de 11 ans. Gautier “représente tous les enfants victimes de ce fléau”.

Dans son récit, Eva utilise le conte comme médium pour parler de sujets graves avec légèreté. En y allant de manière plus douce, en utilisant les codes du conte, ça permet à l’enfant de s’identifier au personnage, explique-t-elle, soulignant l’importance de l’imaginaire.

Un outil de prévention dans les écoles

Le roman est déjà utilisé dans certaines écoles pour sensibiliser les élèves au harcèlement scolaire. Eva souligne que ce phénomène touche plus souvent les filles et peut se manifester de manière insidieuse, comme l’invisibilité sociale.

Ce récit permet d’élargir la compréhension du harcèlement, qui ne se limite pas à la violence physique. “Les lecteurs peuvent en ressortir avec des clés pour mieux le reconnaître et ils sont invités ensuite à en parler à des adultes référents”.

Le rôle des adultes et des ressources disponibles

Pour Eva, qui a puisé ses recommandations dans les nombreuses interviews qu’elle a mené dans le cadre de sa rubrique sur la parentalité, les adultes jouent un rôle clé dans l’histoire, encourageant les enfants à parler de leurs expériences.

Enfin, elle évoque le numéro national 3018, accessible 7 jours sur 7, qui offre une aide précieuse aux jeunes victimes de harcèlement. Ce roman ouvre ainsi la voie à une réflexion essentielle sur le bien-être des enfants et leur protection.

Cyril Kissoun, coach sportif, prépare une expédition en solitaire pour gravir l’Aconcagua. Un défi inspirant pour se dépasser et encourager les autres.

À 35 ans, Cyril Kicoun, originaire d’Haguenau dans le Bas-Rhin, se lance dans l’ascension de l’Aconcagua, le plus haut sommet des Amériques. Prévue pour janvier prochain, cette aventure à près de 7000 mètres d’altitude représente un défi à la fois physique et mental.

Pour Cyril, cette expédition est avant tout une manière de dépasser ses limites. J’aime bien me challenger sur différentes expéditions et épreuves sportives, affirme-t-il, soulignant l’importance de montrer l’exemple à ses clients qui craignent souvent de se lancer.

Un défi personnel et collectif

Cyril se prépare intensément, réalisant plusieurs sorties en montagne en Suisse pour s’habituer à l’altitude. Son approche met en avant l’importance de l’acclimatation et de la préparation mentale.

Il insiste sur l’idée que le mental est tout aussi important que le physique. Pour lui, chaque défi surmonté sert d’exemple et encourage ses clients à se lancer dans leurs propres projets, même ceux qui semblent intimidants.

Pour suivre son parcours, écoutez son témoignage inspirant sur AirZen Radio, où il partage ses motivations et ses attentes pour cette aventure unique...

C’est la journée mondiale de la gentillesse ! Alors aujourd’hui, dans “Le Cœur de Jeanne”, j’explore la notion de gentillesse, un sujet d’actualité qui résonne particulièrement en cette période. Et je vous invite à réfléchir à l’impact de gestes simples sur notre société.

La gentillesse se mesure parfois en actes : cadeaux, gestes, aux amis, à la famille ou même à ceux qu’on ne connaît pas. Ces interactions enrichissent nos vies et renforcent les liens sociaux.

La gentillesse comme valeur essentielle

Lors de ces rencontres dans les rues d’Issy-les-Moulineaux, j’ai pu recueillir des témoignages sur l’importance de la gentillesse. Des personnes de tous âges partagent leurs expériences, mettant en avant la bienveillance comme un fondement de la vie en société.

Comme l’affirme Nadine, 78 ans, “une vraie gentillesse, c’est une vraie qualité”, démontrant que cet acte doit être cultivé et valorisé. Cela nous rappelle que chaque geste compte et que la gentillesse peut conduire à des relations plus harmonieuses.

Encourager la pratique de la gentillesse

La diversité des points de vue sur la gentillesse montre que c’est une valeur universelle. Agnieszka insiste sur l’importance des simples échanges quotidiens, comme un “bonjour” ou un “merci”, qui peuvent faire une grande différence.

Pour prolonger cette réflexion, écoutez “Le Coeur de Jeanne” sur AirZenRadio, où chaque épisode nous invite à rêver ensemble d’une société plus bienveillante…

Didier Weiss partage sa passion pour les arts japonais traditionnels, bonsaï, Ikebana et Suiseki, à travers une association à Haguenau, favorisant le bien-être et la connexion à la nature.

Le Suiseki, qui signifie « pierre dans l’eau », consiste à sublimer des pierres naturelles. Il faut que la pierre, elle obtienne une patine, et ça, ça s’obtient en la caressant régulièrement, explique Didier. Cette pratique crée un lien unique entre l’artiste et la nature.

Un voyage au cœur des traditions artistiques japonaises

Ces trois disciplines, bien que d’origine chinoise, ont été perfectionnées par les Japonais depuis plusieurs siècles. Elles invitent à la contemplation et au respect de la nature.

Pour découvrir davantage ces traditions, écoutez l’interview complète sur AirZen Radio et plongez dans l’univers apaisant des bonsaïs, Ikebana et Suiseki...