Fumer ou ne pas fumer, là n’est pas la question. Mais quand il y a beaucoup de mégots de cigarette, qu’est-ce qu’on en fait ? Antoine Di Tommaso est le co-fondateur de Cy-Clope.
Selon Santé publique France, en 2020, plus de trois adultes sur 10 déclaraient fumer au moins occasionnellement. Si les conséquences du tabagisme sur l’homme ne sont plus à prouver, il n’en reste pas moins que les mégots continuent à remplir les cendriers de table, de poche ou de rue. Alors qu’est-ce qu’on en fait ?
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Voilà la question à laquelle tente de répondre depuis 2015 l’entreprise française Cy-Clope. Vous avez peut-être aperçu leurs « cy-clopers » devant les centres commerciaux, aux abords des hôpitaux ou en bas des entreprises.
En à peine six ans d’existence, le palier du milliard de mégots recyclés a été franchi selon le directeur de Cy-Clope, Antoine Di Tommaso. Un chiffre « intéressant, mais effrayant quand on ramène ça à l’enjeu de santé de la planète ».
Le mégot, un déchet dangereux
Les mégots de cigarette se recyclent dans une filière bien particulière. L’entreprise Cy-clope les achemine ainsi jusqu’aux sites de l’entreprise partenaire Chimirec, qui les transforme en un combustible de substitution.
Si vous fumez, n’hésitez donc pas à faciliter le recyclage de votre mégot en le jetant dans les cendriers « cyclopers ».
Épisodes
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