Strasbourg : Maison Rose et Rouge, le premier fleuviste de France

Installée à Strasbourg, la Maison Rose et Rouge est une boutique dans laquelle il y a des fleurs mais aussi du vin. Un nouveau métier que le couple de gérants nomme désormais "fleuviste".

Réécouter en podcast

Strasbourg : Maison Rose et Rouge, le premier fleuviste de France

Strasbourg : Maison Rose et Rouge, le premier fleuviste de France

02:19

Maison Rose et Rouge, des fleurs et du vin

Maison Rose et Rouge, des fleurs et du vin

04:24

Maison Rose et Rouge, les premiers fleuvistes de France

Maison Rose et Rouge, les premiers fleuvistes de France

08:15

C’est dans le quartier de l’Orangerie, à Strasbourg que vous trouverez la Maison Rose et Rouge, une boutique particulière. Un établissement qui ressemble à ces deux créateurs : Ninon et Marc Kopff.

>>>Téléchargez l'application d'AirZen

Mariés depuis une dizaine d’années, ils ont eu l’idée de reprendre la boutique de fleurs de l’ancien employeur de Ninon qui partait à la retraite. Ils ont ainsi créé un concept qui mêle leurs deux domaines de compétences : les fleurs et le vin. Un nouveau métier est né : « fleuviste », qui est à la fois un fleuriste et un caviste.

La boutique est à 50 % une cave et à 50 % un magasin de fleurs. Ninon est fleuriste et Marc, lui, est caviste. Ils vendent donc à la fois des bouteilles et des bouquets. Ils proposent aussi leurs services pour de l'événementiel privé comme des mariages ou des anniversaires. Une boutique en ligne est également en train de voir le jour.

>>>Téléchargez l'application d'AirZen

À côté des centaines de fleurs, vous pourrez trouver quelque 400 références de vins et spiritueux. Une boutique ouverte en septembre 2021 après deux ans de réflexion qu’ils considèrent comme leur second bébé, après leur petite fille. Une aventure dans laquelle ils s’épanouissent totalement.

Ce contenu audio a été diffusé le 24 février 2022 sur AirZen Radio. Maintenant disponible en podcast sur airzen.fr, notre application et toutes les plateformes de streaming.

Par Francois Willmann

Journaliste

Agence de communication Perpignan