Le OhMyGoodness Café à Strasbourg offre un refuge chaleureux pour fuir l’automne, avec une ambiance conviviale et des initiatives solidaires. Ce café associatif strasbourgeois se veut un lieu de réconfort. Avec son ambiance cosy, il attire étudiants et télétravailleurs, leur offrant un espace propice à la détente.
Les visiteurs peuvent profiter de l’accès internet et d’un coin cocooning pour lire ou jouer. Tania, la référente vie associative, souligne : “On veut vraiment être accueillant, chaleureux dans notre comportement.”
Ce café s’engage également dans des actions solidaires, comme les consommations suspendues pour ceux dans le besoin. En offrant ces initiatives, le lieu crée un environnement bienveillant. Tania ajoute : “Que chaque personne puisse trouver un petit peu son compte en venant ici.
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Pour prolonger la réflexion, écoutez notre reportage audio sur ce lieu où l’on se sent chez soi et où les liens se tissent...
Après une vingtaine d’année à exercer le métier de pilote de ligne, Anthony Viaux a pris la décision courageuse de démissionner face à l’urgence climatique. « En voyant la terre vue d’en haut j’ai commencé à prendre conscience», explique-t-il. Au fil des années, il a observé les changements environnementaux depuis le cockpit. Au dessus des Alpes, du Groenland il voit les glaciers fondre, ce qui le conduit à réfléchir sur son impact.
Dans les années 2000, l’écologie n’était pas aussi présente dans les discussions publiques. Anthony se souvient : « À l’époque, l’écologie c’était une marée noire de temps en temps ».
Avec l’accroissement des informations sur le changement climatique, son éco-lucidité s’est intensifiée.
« J’ai eu l’impression de participer au problème », a-t-il réalisé, soulignant la nécessité d’une réponse collective face à cette crise.
Depuis sa démission, Anthony Viaux est devenu naturopathe, une reconversion qui lui permet de vivre en accord avec ses convictions. Cette nouvelle voie lui offre la possibilité de contribuer positivement à la planète. “Je l’ai fait en écoutant ma voix intérieur parce que j’avais la situation financière et personnelle de le faire” témoigne-t-il humblement. Sa démarche, il l’explique dans son livre “Voyage interrompu, confidences d’un pilote de ligne éco-anxieux”
Pour explorer davantage ce parcours inspirant et réfléchir à notre propre engagement, écoutez l’audio complet de son témoignage. Une invitation à l’action et à la prise de conscience collective.
“C’est peut-être plus difficile de parler de ses sentiments quand on est déjà stigmatisé”. Ce sont les mots d’Isaline, alias @encoreunepsy ! Je la suis sur les réseaux sociaux et j’ai eu la chance de pouvoir l’interviewer dans le cadre de ma série, Le cœur de Jeanne.
Moi, je suis suivie par une psy. Mais je sais que ce n’est déjà pas le cas de tout le monde. Surtout quand on est porteur d’un handicap psychique. On peut déjà se sentir en décalage avec la société, pointé du doigt. Alors oser parler de ses sentiments… C’est compliqué. D’autant plus si on a des difficultés à les exprimer avec des mots.
Moi, ce n’est pas le cas. Je sais dire quand ça ne va pas même si je peux avoir tendance à me fermer comme une huître…mais ce n’est pas lié à mon handicap, ça ! D’autres ont besoin d’un entourage encore plus à l’écoute.
C’est le cas de la sœur d’Isaline, alias @encoreunepsy. J’ai appris qu’elle était aussi porteuse de trisomie 21. “Nous n’avons pas de discussions très profondes avec elle. Mais elle sait se faire comprendre et montrer quand elle est vulnérable. Cela passe plutôt parle le langage corporel”, confie la psychologue.

Pour 95% des Français possédant un animal de compagnie, sa présence suscite un impact positif sur leur santé mentale. C’est en tout cas ce que révèle l’enquête d’Ipsos pour Santévet, réalisée en janvier 2025. Les animaux sont ainsi devenus, au fur et à mesure des années, des alliés indispensables à notre bien-être. Ils nous apportent réconfort, stabilité, bonne humeur et facilitent le lâcher-prise.
Amélie Mathieu est comportementaliste du chat et à travers ses expériences, elle s’est rendu compte que cette relation avec l’animal permettait aussi de lutter contre le stress et la solitude.
Selon la même étude d’Ipsos, ce pouvoir apaisant est ressenti par 91% des propriétaires qui déclarent subir moins de stress en leur compagnie. Souvent considéré comme un membre de la famille à part entière, l’animal est ainsi capable de répondre à un besoin affectif fondamental.
Dans cet épisode de Bien-être par Air Zen, notre journaliste découvre le Breathwork-Respire Plus avec Joël Jégo, coach formateur certifié. Cette méthode vise à améliorer la respiration et à libérer les émotions. Chaque séance est une nouvelle chance d’explorer son bien-être intérieur.
Joël souligne l’importance de la respiration, souvent négligée : “Les gens ne portent que peu d’attention à leur respiration, jusqu’à ce qu’ils rencontrent des problèmes.”
À travers des techniques spécifiques, il aide les participants à rétablir leur capacité respiratoire naturelle.
Le breathwork agit à la fois sur le corps et l’esprit. En redéveloppant la capacité respiratoire, les participants libèrent également des tensions émotionnelles. Joël explique que la priorité est de favoriser l’ancrage et de retrouver une respiration fluide et naturelle.
Cette approche est accessible à tous et encourage chacun à vivre pleinement ses émotions. Elle permet de retrouver une connexion avec son corps, essentielle pour le bien-être.
À l’occasion de la Journée nationale des DYS (11 octobre 2025), AirZen Radio et la Fondation Henri Maria Teresa dévoilent la bande-annonce de Dys : ma force. Un podcast documentaire original qui explore les troubles des apprentissages sous un angle résolument positif.
Dyslexie, dyspraxie, dysphasie, dyscalculie… Et si ces différences étaient aussi des forces ?
Portée par la voix du Prince Louis de Luxembourg, lui-même concerné, cette série donne la parole à des experts, familles, professionnels et personnes “Dys”, pour déconstruire les idées reçues et valoriser les talents souvent méconnus de ces profils atypiques.
La bande-annonce du podcast est en ligne. N’hésitez pas à vous abonner en attendant la sortie de la série, prévue à l’automne 2025 !
Marcher ou bouger cinq minutes toutes les trente minutes pourrait bien transformer votre santé au quotidien. Cette recommandation simple, validée par les autorités sanitaires, fait déjà ses preuves dans certaines entreprises.
Moins de douleurs, plus d’énergie, de créativité et même un lien renforcé entre collègues : bouger régulièrement semble devenir un levier puissant pour mieux vivre… au travail comme à la maison.
L’Agence nationale de sécurité sanitaire recommande désormais aux adultes de pratiquer cinq minutes d’activité physique toutes les trente minutes. Cette fréquence permettrait de contrer les effets néfastes de la sédentarité, comme les douleurs articulaires, les troubles du dos, ou les risques cardiovasculaires. En moyenne, les Français restent assis sept heures par jour. Ce mode de vie favorise des pathologies comme l’hypertension, l’arthrose ou la dégradation cognitive.
Pour lutter contre cette inertie, certaines entreprises ont pris les devants. Chez Mazam et PrintVallée, une entreprise de communication, le mobilier est pensé pour inciter au mouvement : vélos d’intérieur, ballons de posture ou même punching-ball décoratif. Les employés se prêtent au jeu et ressentent rapidement les bénéfices. « J’ai moins mal au dos, moins mal aux genoux », confie une salariée.
Le dirigeant de cette entreprise, Christophe Mazieres, a investi 50 000 euros dans ce projet. Résultat ? Des employés plus productifs, créatifs, et surtout plus engagés. « Il y a un plus fort sentiment d’appartenance », affirme-t-il. Cette ambiance dynamique incite même certains à poursuivre l’effort en dehors du travail. Une collaboratrice, motivée par l’initiative, a repris la natation et vient désormais à pied au bureau.
De nombreuses études montrent qu’une activité physique régulière améliore la concentration, la gestion du stress et la capacité à résoudre des problèmes. En stimulant la circulation sanguine et l’activité cérébrale, bouger souvent améliore les fonctions cognitives. C’est une solution naturelle pour retrouver de l’énergie, réduire l’absentéisme et améliorer l’humeur générale.
Le Dr Damien Mascret, médecin et journaliste, confirme que bouger régulièrement stimule le système cardiovasculaire, tout en réduisant les risques de maladies neurologiques, d’arthrose, et de troubles liés à l’âge. Ces bienfaits dépassent largement ceux d’une activité intense mais ponctuelle : la régularité prime sur la performance.
Certaines personnes utilisent déjà des montres connectées pour suivre leur niveau d’activité. « Quand je n’ai pas fait le nombre de pas recommandés, elle m’alerte et me pousse à bouger », raconte une infirmière. Ces rappels simples suffisent à installer une routine plus saine, même dans des journées chargées.
Adopter cette nouvelle routine ne demande ni équipement sophistiqué ni temps libre : cinq minutes de marche rapide, d’étirements ou de montée d’escaliers suffisent. L’essentiel est de rompre la sédentarité pour relancer les mécanismes du corps. Que ce soit à la maison ou au bureau, ces pauses actives apportent souplesse, énergie et longévité.
Dans un monde de plus en plus sédentaire, cette approche redonne du pouvoir à chacun : celui de prendre soin de son corps et de sa tête, cinq minutes à la fois.
Les troubles des apprentissages touchent un pourcentage significatif d’enfants, entre 5 et 8 %, qui nécessitent une attention particulière. Michèle Mazeau, médecin de rééducation et autrice de l’ouvrage Les troubles des apprentissages pour les nuls, souligne la nécessité de distinguer ces troubles des simples difficultés scolaires.
Elle explique : “Il faut arrêter de dire que tous les enfants en difficulté sont “dys quelque chose”.
Cette distinction est cruciale pour une prise en charge adaptée et efficace, car chaque enfant a des besoins différents”.
Dans son livre, le Dr Mazeau clarifie que les enfants en difficulté d’apprentissage ne sont pas tous atteints de troubles neurodéveloppementaux. La majorité d’entre eux ont simplement besoin d’un rythme d’apprentissage différent.
La réflexion autour de l’inclusion scolaire est essentielle. Adaptations pédagogiques et outils technologiques peuvent bénéficier à tous les élèves, pas uniquement à ceux en difficulté.
Pour approfondir ce sujet, écoutez l’interview complète de Michèle Mazeau sur AirZen Radio, où elle partage ses idées sur une éducation plus inclusive et respectueuse des diversités d’apprentissage.
J’étais un peu stressée, mais quand la caméra s’est allumée, on a beaucoup ri ! Moi, je suis suivie depuis longtemps par une psy. Mais je sais que ce n’est pas toujours facile de franchir le pas. Alors, j’ai décidé de contacter @encoreunepsy, du vrai nom Isaline. C’est une psychologue que j’adore suivre sur les réseaux sociaux car elle rend la santé mentale accessible.
Et ça tombe bien, car le 10 octobre, c’est l’occasion d’en parler à l’occasion de la Journée mondiale de la santé mentale. “Les jeunes d’aujourd’hui parlent plus librement de ce thème, grâce aux réseaux sociaux et à la culture populaire, ce qui est vraiment une chose très très chouette”, m’explique Isaline.
Mais alors, comment savoir que notre santé mentale décline ? Pour @encoreunepsy, le premier signe est la fatigue persistante. Puis vient la baisse de motivation. “Ces symptômes, souvent minimisés, peuvent avoir un impact significatif sur notre bien-être mental”.
Elle insiste sur l’importance d’en parler : “La première chose, c’est d’en parler, car cela permet de lever le tabou et d’initier une prise de conscience collective”.
Consulter un professionnel de santé mentale ne doit pas être stigmatisé. “Tout le monde est légitime à chercher de l’aide et le soutien est essentiel pour aller bien”, conseille Isaline.
Pour approfondir ces réflexions, écoutez l’émission « Le cœur de Jeanne » sur AirZen Radio, disponible en podcast pour continuer d’explorer ce sujet crucial.
La rédaction d’AirZen Radio vous recommande l’écoute d’un podcast : Tempête Mentale ! Il s’agit d’une fiction sonore produire par Mediameeting, grande sœur d’AirZen Radio, pour le gouvernement. Une collection sensible, informative et drôle avec dans le premier rôle Camille Lellouche.
La comédienne et humoriste a prêté sa voix et incarne toute une série de troubles comme la bipolarité, le stress, l’anxiété ou la schizophrénie. Dans chaque épisode, un dialogue intérieur s’ouvre entre le héro et cette petite voix qui ronge son quotidien.
Parce que donner une voix aux troubles, c’est les rendre moins honteux et rappeler qu’ils sont réels, tangibles et qu’ils doivent être pris en charge comme toute autre maladie. Parce que mettre des mots sur ce qui fait mal, c’est déjà briser le tabou.
Le podcast “Tempête mentale” a été coproduit par le Service d’Information du Gouvernement et Mediameeting et s’inscrit dans le cadre de la santé mentale comme grande cause nationale en 2025.
Les Mind Spa, ces espaces dédiés à la déconnexion mentale, gagnent en popularité aux États-Unis, en Asie et commencent à s’implanter en Europe. Ces lieux permettent aux individus de se retrouver avec eux-mêmes, loin des sollicitations quotidiennes.
“On a besoin d’avoir ce recul sur nous-mêmes” explique Christian Richomme, psychanalyste et auteur à Paris. “Dans un monde hyperconnecté, ces havres de paix offrent une pause essentielle pour gérer nos émotions et diminuer la fatigue mentale.”
Face à une surcharge d’informations, la nécessité de se déconnecter devient urgente. Les Mind Spa répondent à ce besoin en proposant un cadre propice au repos et à la relaxation.
Ces espaces proposent diverses techniques comme la musique, l’hypnose ou la réalité virtuelle. “Ce qui est important, c’est de voir ce qu’on fait pour soi” souligne Christian Richomme, encourageant chacun à trouver son propre moyen de déconnexion.
Le concept de Mind Spa ne se limite pas à des lieux physiques. Chacun peut aménager son environnement pour favoriser la sérénité, en transformant par exemple son lieu de vie en véritable refuge. Cela peut aussi passer par une balade en nature ou une activité physique. “Il faut trouver des moments où on ne se fixe aucun objectif”, conclut le psychanalyste.
Pour prolonger cette réflexion, écoutez l’interview complète de Christian Richomme et découvrez comment intégrer ces pratiques de bien-être dans votre quotidien.
Salut tout le monde ! J’ai envie de vous parler de mes grands-parents. Après tout, on est en plein dans la Semaine Bleue, une semaine nationale qui met en avant l’indispensable impact positif des “vieux” pour notre société. Alors moi, à mon échelle, j’ai voulu vous parler des “vieux” qui me sont chers : mes grands-parents.
J’ai quatre grands-parents. Je ne me souviens pas des âges mais je sais qu’ils sont plus âgés que moi. Je me souviens des petits moments de la vie avec eux et je suis très heureuse de les voir régulièrement. Avec la mère de ma mère, j’adore chanter en regardant N’oubliez pas les paroles à la TV. Avec mon grand-père, je m’occupe du jardin, des légumes et des fruits. Du côté de mon père, c’est le rugby et l’aquarelle !
Ils sont tous les quatre très actifs. Je suis très fier d’eux. Et je crois que je les rends heureux en faisant mon métier de journaliste.
Chantal Birman, sage-femme à la retraite, a consacré plus de 50 ans à l’accompagnement des femmes durant leur grossesse. Elle vit toujours au-dessus d’un cabinet de sages-femmes et d’accompagnantes à la physiologie. Sage-femme un jour, sage-femme toujours.
Pour Chantal, « Une sage-femme est par définition une femme engagée, une militante ». Elle souligne l’importance de comprendre les enjeux liés à la grossesse, à l’avortement et à l’accouchement, qui sont autant de moments de vulnérabilité et de croissance pour les femmes.
Chantal évoque d’abord ses débuts dans un contexte où l’avortement était encore illégal en France. Elle a été témoin des difficultés des femmes, souvent confrontées à des choix douloureux. Son expérience l’a amenée à comprendre la complexité des émotions liées à la maternité.
Elle insiste sur la nécessité d’accompagner les femmes dans ces moments critiques, affirmant que « Chaque décision prise est un acte de vulnérabilité ». Ce soutien est essentiel pour transformer des expériences potentiellement traumatisantes en opportunités de croissance personnelle.
Chantal Birman encourage ensuite une approche inclusive dans l’accompagnement des femmes. Elle reconnaît que chaque histoire est unique et mérite d’être entendue. Elle croit fermement à la force de l’écoute et à la bienveillance dans les soins.
Pour prolonger cette réflexion, écoutez l’interview complète de Chantal Birman. Elle y partage ses réflexions sur la maternité et l’engagement des sages-femmes dans un monde où les droits des femmes sont régulièrement remis en cause.
Le projet « Grimpe ton quartier », à Toulouse, propose une nouvelle manière d’aller vers les habitants ! Tous les mardis, c’est un camion de “bloc” qui se déplace directement au pied des immeubles de certains quartiers prioritaires de la ville rose. Cugnaux, Beauzelle et Bellefontaine. L’objectif : favoriser l’insertion sociale et professionnelle grâce à la pratique de l’escalade.
Concrètement, une structure d’escalade mobile, inédite et sécurisée, s’installe régulièrement au bas des résidences. Un objectif de 120 ateliers par an a été fixé par les associations et structures qui portent le projet. L’idée, convier les habitants à découvrir l’escalade de blocs, une pratique sans corde et de faible hauteur, réalisée au-dessus de matelas de sécurité.
Accessible dès 16 ans, “l’activité favorise la confiance en soi, l’entraide et la persévérance”, nous explique Alex, professeur pour Amassa Climb, l’une des structures impliquée dans le projet. Au-delà des cours dispensés au pied des immeubles, Grimpe ton quartier propose aussi aux habitants de sortir de leurs lieux de résidence et de fréquenter des salles d’escalade en ville, à prix réduit.
À l’issue de ces temps de découverte, et en parallèle de la pratique sportive, des accompagnements individuels et collectifs existent pour soutenir la recherche d’emploi, la remobilisation ou l’orientation vers une formation.
Au centre social Mandela de Romainville, un groupe se rassemble pour cuisiner ensemble. Les participantes, guidés par Louisa, naturopathe, préparent une salade saine à base de haricots, sarrasin et oignons.
L’alimentation, ça joue sur tout ! Les intestins, l’immunité, les allergies, les maladies neurodégénératives, les pathologies ORL, le stress…
insiste Louisa. Apprendre à mieux manger pour mieux vivre, c’est justement l’objectif de cet atelier cuisine.
Ces ateliers, fondés par Cécile Peyre, se veulent conviviaux et accessibles. Ils permettent aux participants d’apprendre à cuisiner des aliments bruts et vivants, tout en réduisant le gaspillage. Bien manger, c’est accessible, c’est économique
, précise la fondatrice de l’association Dans ma petite cuisine.
L’objectif y est de montrer que cuisiner peut être un plaisir et que des choix simples peuvent améliorer notre quotidien. Cerise (bio) sur le gâteau, grâce à ces ateliers cuisine, les participantes créent des liens tout en se concentrant sur leur santé. C’est avec le sourire qu’elles repartiront à la fin de l’atelier avec leur repas sous le bras.
Pour en savoir plus sur ces initiatives et découvrir des recettes, écoutez l’audio disponible sur notre site.
Et si quelques minutes de respiration pouvaient changer votre journée ? Cette semaine sur AirZen Radio, nous explorons la cohérence cardiaque avec Stéphanie Noncent, spécialiste du sujet. À travers cinq capsules sonores diffusées chaque jour, elle nous aide à comprendre cette méthode simple et accessible à tous.
Au programme : une explication claire de ce qu’est la cohérence cardiaque, le déroulé type d’une séance, des conseils pour s’y tenir au quotidien, et bien sûr, les nombreux bienfaits observés sur la santé mentale et physique.
Un rendez-vous à ne pas manquer pour apprendre à respirer autrement, se reconnecter à soi, et cultiver un apaisement durable, en seulement 5 minutes par jour.
Stéphanie Noncent nous éclaire sur l’importance de la cohérence cardiaque pour mieux gérer nos émotions et notre bien-être au quotidien.
Dans un récent épisode de Bien-être par AirZen, Stéphanie Noncent, spécialiste de la cohérence cardiaque, partage son parcours et l’impact de cette pratique sur sa vie. Pour elle, chaque jour est une nouvelle chance de se connecter à soi-même.
La cohérence cardiaque est une technique qui aide à réguler le stress et à améliorer le bien-être émotionnel. Stéphanie a découvert cette méthode après une formation en développement personnel qui a transformé sa vie.
Elle explique que cette pratique lui a permis de faire face à des épreuves difficiles. « On ne peut pas contrôler certains événements, mais on peut contrôler notre réaction », dit-elle, mettant en avant la force de la cohérence cardiaque.
Stéphanie encourage chacun à explorer des outils de développement personnel pour mieux gérer ses émotions. La diversité des approches permet de trouver celle qui nous convient le mieux.
Pour prolonger cette réflexion, écoutez l’épisode complet sur AirZen Radio et découvrez des clés pratiques pour mieux vivre votre quotidien.
Ce jour-là, j’ai rendez-vous dans le Parc Montsouris, dans le 14ème arrondissement de la capitale pour un reportage. Un endroit coloré et rempli d’une grande diversité d’espèces et de pratiques.
Car à Paris, il n’est pas rare de voir les habitants réussir à entrer dans leur bulle malgré le monde autour.
C’est le cas de cette femme qui attire mon regard. Elle exerce des mouvements lents sous un arbre imposant. Comme coupée du monde, elle semble se connecter à elle et à la nature. Alors, avant de repartir à la rédaction, je décide de l’aborder. Cette femme, c’est Isabelle.
Isabelle est jeune retraitée. Ainsi, chaque matin, si le temps le permet, elle s’accorde un moment pour exercer le Qi Gong, une pratique ancestrale chinoise sur laquelle elle se forme. “Je l’ai beaucoup fait cet été dans la nature, de vrais paysages. Et là j’ai trouvé une belle douceur à pratiquer ce matin à Paris. Quand on est bien connecté à l’univers, il se passe des choses” m’explique-t-elle. Avec sa voix douce, elle m’explique la quasi-amitié née au fil des jours avec cet arbre qui voit pourtant passer chaque jour des milliers de visiteurs.
Pour continuer cette réflexion, écoutez l’audio de cette rencontre, qui invite à apprécier les instants de calme et de connexion à soi et à la nature.
Timon Debiez a joué plusieurs années au sein de l’équipe de football américain des Black Panthers de Thonon-les-Bains en Haute-Savoie.
Aujourd’hui, fort de son expérience, il a décidé de se reconvertir en préparateur physique. Quotidiennement, il accompagne les joueurs durant leur entraînement et leur propose des exercices adaptés à leurs spécificités sur le terrain. Timon rappelle d’ailleurs que cette préparation physique est nécessaire pour assurer la performance et éviter les blessures durant la saison.

Début septembre 2025, Timon a pu raconter son expérience lors des 1ères journées des Os d’Évian. Organisées par le CIMES Alpes-Léman, ces journées visaient à rassembler des professionnels de santé pour créer des rencontres et partager des connaissances. Timon a ainsi échangé autour de son quotidien de préparateur physique et a rappelé le rôle des acteurs de santé dans le bien-être des joueurs. Une bonne prise en charge des athlètes blessés permet ainsi une meilleure récupération et un retour rapide sur le terrain.
Cette interview a été réalisée en partenariat avec le média impact.info. Vous pouvez la retrouver en intégralité ici.
Ce média a été fondé par Impact Partners et AirZen Radio, afin de mettre en lumière la parole de celles et ceux qui veulent faire bouger les lignes au sein de leur entreprise… mais pas que !
Rendez-vous sur impact.info pour découvrir les nombreux témoignages.