Oseriez-vous parler à des inconnus facilement ? Les agents de convivialités peuvent vous aider !
Leur rôle : répandre de la convivialité, briser des barrières entre les individus. Un nouveau métier créé par le Social Bar.
C’est l’un des objectifs que se sont donnés les membres du Social Bar : faire de Paris la ville la plus conviviale du monde d’ici 2024. Pourquoi 2024 ? C’est l’année des Jeux olympiques ! La ville va brasser beaucoup de monde et probablement beaucoup de gens seuls.
Pour créer des amitiés ou plus, ils comptent former des milliers d’agents de convivialité, afin d’en compter autant que d’agents de sécurité, soit 40 000 lors des Jeux olympiques.
La première promotion de l’école de la convivialité a ouvert à la rentrée 2021. Créée par le Social Bar, cette formation vise à obtenir un BAC Pro accueil au bout d’un an en Validation des Acquis de l’Expérience.
La cible sont les décrocheurs scolaires qui pourraient trouver en ce nouveau métier ce lien social et festif.
À la tête du concept, Renaud Saligmann et David Rivoire qui décident, en 2016, d’ouvrir un laboratoire de convivialité pour favoriser le lien et la solidarité à l’extérieur mais aussi et surtout au sein de leurs établissements.
Aujourd’hui, il y a en a quatre en France : Paris, Saint-Ouen (Seine-Sainte-Denis), Strasbourg, et Dijon. Deux autres devraient ouvrir prochainement à Biarritz et Montpellier et le chiffre pourrait augmenter rapidement. D’ici 2024, il pourrait y avoir 25 Social Bar dans la métropole.
Afin de mieux conseiller et d’accompagner les jeunes et les demandeurs d’emploi dans leur projet professionnel, la Chambre de Commerce et d’Industrie Métropole de Bourgogne, à Dijon, a ouvert depuis le 1er janvier un nouveau service : la Fabrik de l’orientation, qui est dirigée par Apolline Gatti.
Pour le moment, ces séances découvertes des métiers « se font collectivement avec des établissements scolaires, ou individuellement, explique la responsable du service. Dans ce cas-là, un psychologue du travail est là pour accompagner les collégiens et lycéens dans leur projet professionnel ».

À travers quatre « labs » et une salle de réalité virtuelle, les différents publics peuvent tester différents métiers dans les conditions les plus proches de la réalité. Ils sont aidés d’un professionnel qui leur parle de son métier et leur fait faire une tache en lien avec sa profession.
Il y a une ambiance boutique pour la relation client, par exemple avec un agent immobilier ; une ambiance bureau pour tous les métiers tertiaires avec l’expert-comptable, le designer 3D ; une ambiance atelier avec les métiers de couvreur et d’usinier ; et une ambiance sciences humaines et sociales avec la police, l’ambulancier ou le chimiste.
Aussi, il y a une salle de réalité virtuelle dans laquelle le public est immergé dans une ambiance de travail ; et il y a une quarantaine de métiers à découvrir.
Pour Apolline Gatti, la Fabrik de l’orientation est nécessaire, car il est important pour les jeunes de savoir au plus tôt les métiers qui existent, et pour plusieurs raisons : « Déjà, en fonction de son réseau personnel, le jeune public n’a pas accès à tout. On sait qu’il y a beaucoup de métiers qui évoluent et, parfois, qui ont des représentations qui datent d’une vingtaine d’années. Pourtant, ils ne s’exercent plus de cette façon. Aussi, c’est important de leur en montrer plusieurs pour les aider à faire un choix. »
À savoir : la Fabrik de l’orientation est un service ouvert toute l’année.

Johnny Humberset est un véritable artisan du jeu vidéo. Et pour cause, il vient de développer tout seul un jeu nommé "Dijon Game Boy Edition". Sorti sur le site itch.io, il permet au joueur de visiter neuf lieux emblématiques de la ville de Dijon.
Il peut également y trouver des easter eggs, sorte d’indices dissimulés pour révéler certaines anecdotes. C’est sur la célèbre console Game Boy qu’il a décidé de créer ce jeu hommage. Vous y découvrirez l’église Notre-Dame de Dijon, le port du canal ou encore la célèbre chouette au travers d’un graphisme et d’une ambiance musicale caractéristique de cette console.
Un jeu qu’il a conçu sur son temps libre, en parallèle de la préparation d’un concours de la fonction publique. Il prenait un peu moins d’une heure en fin de journée pour avancer. Car Johnny n’a aucune formation en programmation ou dans le domaine des jeux vidéo. La création de jeu est une passion annexe. Diplômé d’un Bac ES et d’un BTS MUC, il débute la création de jeu très jeune. Il en a déjà réalisé quelques-uns.
Alors, pourquoi avoir choisi Dijon ? Johnny n’est pas originaire de la région mais vient de Troyes, dans l’Aube. Il vit depuis 9 ans dans la cité des Ducs, après avoir suivi sa compagne venue y poursuivre ses études.
Son jeu a rencontré un succès inattendu. Il ne s’attendait qu’à une cinquantaine de joueurs. Au final, ils étaient plus de 400 à le découvrir dès le premier jour. Presque 3 000 personnes ont déjà vu la page du jeu. On lui a même demandé de faire la même chose pour d’autres villes comme Rennes ou Angers.
Si vous souhaitez découvrir le jeu, vous pouvez y jouer sur votre navigateur internet ou bien le télécharger. Il est gratuit pour tous mais vous pouvez, si vous le voulez, faire un don au créateur.
À première vue, c'est une péniche comme il en existe plusieurs centaines dans la capitale. Mais celle-ci, stationnée au 46 Quai de la Loire – sur le bassin de la Villette à Paris, a une histoire et une mission bien particulière.
« La Bougeotte » porte bien son nom puisqu’elle stationne dans les eaux de la capitale à partir de l’automne et jusqu’au début du mois de juillet. Ensuite, son capitaine Charles met le cap vers la Bourgogne pour un voyage long de 3 semaines.
Cette péniche est à la fois une cave à vin et un bar à tapas. Les voyages servent d’abord à alimenter sa carte : « Nous avons une centaine de bouteilles de références en vin, des vins que nous allons chercher directement chez les producteurs dans la Loire et en Bourgogne », explique Charles.
Cet ancien marin d’eau salé s’est reconverti en eau douce, « et ce n’est pas évident. La navigation est totalement différente entre la marine marchande et une péniche sur un canal », précise-t-il.
Chaque année donc, il remonte la Seine puis plusieurs écluses en direction de l’une des plus grosses régions viticoles de France pour refaire sa carte et aller directement à la rencontre des vignerons et agriculteurs locaux. « C’est une démarche assez symbolique. Je ne peux pas ramener de grandes quantités mais c’est plutôt pour montrer que le transport fluvial fonctionne et que nous aurions tord de l’abandonner ».
La péniche, sur laquelle Charles vit également – en bon capitaine – a eu plusieurs vies avant celle-ci et sa naissance remonte à la seconde guerre mondiale. Entièrement retapée, elle offre aujourd’hui un cadre chaleureux et intimiste : sa cale, entièrement boisée, a une vue directe à la lisière de l’eau.
Au-delà des vins, des bières locales et des softs originaux, La Bougeotte propose une cuisine savoureuse à base de bons produits : croque-monsieur aux truffes à partager, camembert rôti, saumon gravlax ou encore des produits de la mer comme les huîtres normandes ou les bulots.
Pour trouver la Bougeotte, rendez-vous au :
46 Quai de la Loire
75019 Paris
Les ateliers NoMa se présentent comme un lieu atypique et unique à Dijon. Il a été imaginé par deux sœurs, Natacha et Morgane Dourneau. Un atelier-boutique dans lequel elles fabriquent et vendent leurs produits artisanaux comme de la poterie, des bijoux, de la maroquinerie… Elles accueillent également les curieux pour des cours de poterie, couture, tricot, crochet.
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Une aventure qui a démarré en mars 2020. Les deux sœurs ont conçu Noma comme un atelier qui leur ressemble. Vous y trouverez beaucoup de créativité et surtout la complicité qui lie ces deux sœurs depuis 28 ans.
Depuis toute petites, elles s’amusent à imaginer et bricoler ensemble. Elles se souviennent encore de leurs mercredis après-midi de bricolage avec leur maman. De cette époque, elles ont aussi conservé des crocodiles en perles et autres personnages en pâte à sel. Une enfance qui a fait naître en elles l'envie de créer et de transmettre leur passion.
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Après de beaux parcours scolaires en sciences de gestion et en biologie, les deux sœurs n’ont pas résisté à l'envie de travailler avec leurs mains et elle se sont lancées. Chacune dans sa spécialité : Morgane pour la poterie et Natacha pour la céramique et le travail du cuir.
Où les trouver ? 88 rue Vannerie à Dijon
Pour la deuxième année consécutive, la ville de Mulhouse est distinguée pour son attractivité en matière d’opportunités de travail et de logement.
La municipalité souhaite rebondir sur cette distinction, en créant un service de facilitation à l'installation, pour les nouveaux habitants.
La cité du Haut-Rhin est en tête des villes qui offrent les meilleures opportunités de travail et d'achats immobilier. C'est le résultat d'une étude menée par Météojob et Meilleurtaux.
Comme en octobre 2020, date de la précédente étude, Mulhouse garde la pôle position devant Orléans et Dijon. En clair, cela veut dire qu'à la mi-octobre 2021 Mulhouse offrait 6,29 CDI pour 100 actifs et pour 150.000 euros vous obtenez un logement de 83 mètres carrés.
La mairie va chercher à attirer plus d'habitants et leur faciliter l’installation.
Pour Michèle Lutz, maire de Mulhouse : " Il faut créer une structure d'accompagnement pour faciliter la recherche d'un logement, la recherche d'une école ou la recherche de loisirs. Il est légitime que la collectivité soit là auprès des personnes qui souhaitent faire un bout de chemin à Mulhouse. »
Michèle Lutz est notre invitée ..
Il n’y a pas d’âge pour se lancer ! Henry Barabant est retraité du secteur des assurances. Il vivait paisiblement cette retraite mais à 80 ans il a décidé de se lancer un nouveau défi.
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Au début de l’année 2021, il s’est lancé dans la fabrication et la commercialisation de pâtes fraîches bio artisanales à son domicile dans la commune de Talant, près de Dijon. Une microentreprise dans laquelle il a investi près de 8 000 € dans du matériel professionnel. Il s’apprête même à ouvrir un magasin à Dijon.
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Henry est très exigeant sur la qualité, la texture et la saveur de ses pâtes, qu’il a appris à fabriquer lui-même. Un produit qu’il affectionne tout particulièrement depuis plusieurs années.
Il a mis au point une recette dont les dosages sont tenus secret. L’essentiel du travail, selon lui, réside dans « le tour de main ». Il nous raconte toute cette aventure. Vous pouvez retrouver les bonnes pâtes de Henry sur son site internet.
Installée à Dijon depuis ses 24 ans, Aurélie Berbey est une ancienne parisienne diplômée d’un BTS assistant de direction. Nous l’avons rencontrée car elle déborde d’énergie et de créativité. En plus de son travail salarié d’assistante communication pour l’association Alterre Bourgogne-Franche-Comté, une association qui défend l’environnement, elle a créé son autoentreprise, en novembre 2019. Elle s’appelle AB Décoration Veloutée.
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Un atelier où elle laisse libre cours à son imagination. Elle crée principalement de la décoration d’intérieur. Toutes ses créations sont fabriquées à la main. Des coussins, des cache-pots, des cale-portes mais aussi des lingettes démaquillantes lavables et réutilisables. Elle sélectionne minutieusement ces matières premières.
Un goût pour la rénovation et de la décoration d’intérieur qu’elle a hérité de sa mère. Elle a d’ailleurs commencé à créer avec l’ancienne machine à coudre maternelle. Toutes ses créations sont faites dans une logique de respect de l’environnement et de zéro déchet.
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Rencontre avec cette passionnée de décoration d’intérieur et d’écologie bien occupée. Vous pouvez retrouver ses créations sur sa page Facebook AB décoration veloutée et n’hésitez pas à la contacter pour des créations personnalisées :
aurelie.b.deco@gmail.com
0684476433
Si vous avez la chance de vous rendre dans la fabrique Mulot & Petitjean, vous serez embaumé par une délicieuse odeur de miel, mêlée d’épices. Un temple de la gourmandise, où Catherine Petitjean, la présidente directrice générale, sa fille Marie et toute l’équipe vous accueilleront dans ce lieu chargé d’histoire et de savoir-faire.
Mulot & Petitjean est un monument de la gastronomie dijonnaise. Elle est l’une des plus vieilles entreprises de la ville. En septembre 2021, elle a fêté ses 225 ans d’existence. Fondée en 1796, elle est la gardienne d'un savoir-faire traditionnel dans la fabrication de pain d’épices mais aussi des nonnettes. Un produit véritablement gourmand, composé d'un glaçage craquant enrobant le moelleux du pain d’épices, lequel protège un cœur fondant fourré de délicieuses confitures, caramel ou encore de chocolat.
Au Moyen Âge, ces gâteaux étaient confectionnés par les nonnes dans leur couvent. Autre produit phare : le pain d’épices, toujours fabriqué de manière traditionnelle avec des ingrédients rigoureusement sélectionnés. Depuis juin 2017, l’entreprise a ouvert un musée sur son site de fabrication. Il permet aux visiteurs de découvrir l’histoire du pain d’épices de Dijon, de la Maison Mulot et Petitjean ainsi que des secrets de fabrication.
Le musée se trouve sur le site de production, au 6 boulevard de l’Ouest, à Dijon.
Les étudiants en médecine de la faculté de Dijon sont généreux. Comme chaque année, l’association Anémone, association du Noël des enfants malades animées par les étudiants en médecine, organise une collecte de dons au profit des enfants malades du CHU Dijon Bourgogne. Le 15 octobre dernier, les 270 étudiants en deuxième année de médecine et la trentaine d’étudiantes futures sages-femmes ont récolté plus de 50 000 euros. Une somme plus élevée que l’an dernier, autour de 36 000 euros. La collecte se poursuit, en ligne cette fois, jusqu’à mi-décembre. Plus de 7 000 euros ont déjà été collectés. Ils viennent s’ajouter à la somme déjà récoltée. L’ensemble des dons servira à acheter des cadeaux pour les enfants hospitalisés en période de Noël. Les explications de David Chabanne, président de l’association Anémone.
De Dijon au désert du Maroc pour s’engager contre le cancer du sein. Le 29 octobre dernier, Delphine Billet, Sandrine Petitjean et Sonia Mesplomb ont participé au trek Rose Trip, une randonnée solidaire en plein désert, réservée aux femmes. Une compétition organisée pour sensibiliser sur le dépistage du cancer du sein, et soutenir financièrement la recherche. Sur place, les trois amies se sont formées justement à l’auto palpation pour déceler une potentielle tumeur cancéreuse. Au-delà de la sensibilisation et de la prévention, le trio a aussi vécu une formidable aventure humaine comme nous l’explique Sonia Mesplomb. Vous pouvez suivre l'association qu'elles ont monté " Le temps d'être femmes" sur les réseaux sociaux.
De Dijon au désert du Maroc pour s’engager contre le cancer du sein. Le 29 octobre dernier, Delphine Billet, Sandrine Petitjean et Sonia Mesplomb ont participé au trek Rose Trip, une randonnée solidaire en plein désert, réservée aux femmes. Une compétition organisée pour sensibiliser sur le dépistage du cancer du sein, et soutenir financièrement la recherche. Sur place, les trois amies, via leur association, se sont formées justement à l’auto palpation pour déceler une potentielle tumeur cancéreuse. Au-delà de la sensibilisation et de la prévention, le trio a aussi vécu une formidable aventure humaine. Avec le trek forcément, mais aussi grâce à cette épreuve de la dune, comme nous l’explique Sonia Mesplomb.
Ne jetez surtout plus vos plantes lorsqu’elles sont un peu fatiguées… mais confiez-les plutôt à Chantal Thierry. Elle a créé la Ressourcerie végétale à Dijon. Son objectif est simple : elle récupère des plantes que les particuliers ou les professionnels allaient jeter, elle s’en occupe, les soigne puis les revend. Elle lutte ainsi contre ce qu’on appelle le gâchis végétal. Car beaucoup de plantes sont jetées beaucoup trop facilement. Chantale Thierry propose également des prestations aux entreprises comme la vente ou la location de ses plantes recyclées pour les installer dans les espaces de travail. Mais également des ateliers de cohésion de groupe autour des plantes. Une démarche pour aller vers plus de bien-être au travail. Si vous désirez lui confier ou lui acheter des plantes il faut se rendre sur son site www.la ressourcerievégétale.fr ou bien sur ses réseaux sociaux Facebook ou Instagram. Elle y organise des ventes privées de plantes recyclées en attendant d’avoir sa boutique à Dijon d’ici à l’année prochaine.