Marine Tessier, l’artiste plasticienne qui momifie les vivants

C’est une expérience sensorielle que la Girondine propose de vivre : se faire mouler le corps. Cette méthode peut notamment être utile pour travailler son rapport à soi et à son corps.

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L’artiste Marine Tessier momifie les vivants pour honorer les corps

L’artiste Marine Tessier momifie les vivants pour honorer les corps

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Qui expérimente la momification des vivants de Marine Tessier ?

Qui expérimente la momification des vivants de Marine Tessier ?

04:15

Rencontre avec Marine Tessier, une artiste qui momifie les vivants

Rencontre avec Marine Tessier, une artiste qui momifie les vivants

08:17

Marine Tessier : en quoi le moulage du corps permet de créer du lien ?

Marine Tessier : en quoi le moulage du corps permet de créer du lien ?

04:07

Le corps, une enveloppe charnelle qui nous porte, nous protège, avec laquelle on peut être dur, dont on peut avoir une mauvaise perception, qui peut aussi avoir été meurtri. Comment faire pour se le réapproprier, l’aimer, se réconcilier avec ?

En Gironde, Marine Tessier, artiste plasticienne, a axé sa pratique autour du moulage du corps. À travers sa démarche, il est surtout question de travail du corps et de rapport à soi. Au fil des années, elle a peaufiné une méthode qu’elle a brevetée pour « momifier les vivants », comme elle le dit. Il s’agit d’une expérience sensorielle, ritualisée, au cours de laquelle une personne est plâtrée de la tête au pied ou une zone, telle que les parties intimes.

L’idée est de proposer un moment pour honorer son corps. Différents publics ont pu expérimenter la momification des vivants comme des victimes d’agressions sexuelles et/ou de viol. Comment se déroule une séance de momification des vivants ? Quels sont les bénéfices ? Quelles sont les personnes qui tentent l’expérience ? Marine Tessier nous raconte.

Ce contenu audio a été diffusé le 27 août 2024 sur AirZen Radio. Maintenant disponible en podcast sur airzen.fr, notre application et toutes les plateformes de streaming.

Par Jennifer Biabatantou

Journaliste

Agence de communication Perpignan