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Boshi est une application gratuite sur laquelle il faut s’inscrire. Une fois inscrit l’utilisateur a le choix entre une formule gratuite et une payante. Pour débuter avec votre enfant, la formule gratuite suffit.
L’application est idéale pour responsabiliser les plus jeunes au bien-être animal. D’ailleurs, la formulation des questions et le tutoiement laissent penser que cette appli leur est dédiée.
Boshi dénombre plusieurs partenaires dont Ziggy, une marque d’alimentation saine pour votre compagnon à quatre pattes.
À chaque fois que l’enfant ou son parent répond à un questionnaire sur votre animal, il gagne des Okanés, une monnaie virtuelle exclusive à l’application Boshi qui permet d’obtenir des cadeaux pour les animaux.
Est également mis en place un forum pour échanger autour de son compagnon, des jeux concours des offres spéciales et quelques 150 conseils santé, basiques mais indispensables pour prendre soin de son animal.
Le narval fait partie de ces animaux marins dont on parle peu. Cet cétacé, qui ressemble à un gros phoque avec une longue corne torsadée sur le devant de la tête, est surnommé la licorne des mers. Cette corne qui fait sa particularité est en fait une dent que l’on appelle rostre. Le narval n’en possède que deux et c’est seulement chez les mâles qu’elles se développent pour former une corne, celle de gauche pouvant mesurer jusqu’à 3 mètres et peser plus de 10 kilos.
Le narval mesure en moyenne 5 mètres et, à l’âge adulte, il peut peser jusqu’à 1 600 kg. Il fait par ailleurs partie de la famille des cétacés et vit uniquement dans les mers froides de l’Arctique.
La licorne des glaces apprécie les crustacés, mollusques, poulpes, crevettes ainsi que le flétan, qu’il consomme principalement en automne et en hiver, saisons lors desquelles il se constitue des réserves.
Le narval peut vivre jusqu’à 50 ans mais sa corne étant en ivoire, il est régulièrement chassé. Cette dent, qui lui permet notamment de naviguer représenterait, selon les chercheurs, un outil d’écholocation – repérage de proies potentielles – parmi les plus précis du monde animal. Une fois son repas localisé, la dent du narval lui sert aussi à assommer sa proie, c’est donc un outil de chasse particulièrement efficace.
Au-delà de cet aspect pratique, la dent du narval a nourrit depuis des années les imaginaires et les légendes. Dès le Moyen Âge, les Vikings et les marchands scandinaves vendaient des rostres de narval en les faisant passer pour des cornes de licorne. On les pensait pourvues de pouvoirs de purification, notamment contre le poison. Ainsi, un rostre et présent depuis le 16e siècle – et peut-être plus tôt – dans le trésor de l’abbaye de Saint-Denis.
Jaap Korteweg est un Néerlandais issu d’une famille d’agriculteurs. Sa famille était à la tête d’une exploitation transmise de génération en génération. Il est le huitième à reprendre le flambeau, quand, dans les années 90, il a un déclic au moment où la peste porcine fait rage.
Obligé de confiner les carcasses de porcs dans des entrepôts frigorifiques, il réalise qu’il ne peut et ne veut plus continuer ainsi et devient végétarien.
Devenir végétarien ne signifie pas ne plus aimer la viande, au contraire, le but étant de changer ses habitudes alimentaires pour protéger l’environnement. Jaap Korteweg décide alors d’élaborer une alternative 100% végétale à la viande animale avec comme promesse un goût et une texture au plus proche des produits carnés. Le Boucher Végétarien est né.
Quelque temps après sa création, la marque est rachetée par Unilever, géant néerlandais de l’agroalimentaire, qui possède entre autre Ben & Jerry’s, Slim Fast ou Amora. Le Boucher Végétarien voit alors s’ouvrir son champ des possibles, même si Jaap Korteweg reste le visage de la marque. Les produits sont désormais disponibles dans 20 000 points de ventes à travers 30 pays.
En 2011, Le Boucher Végétarien est même récompensé par le prix « Tridos Bank Hart-Hoofd » pour l’entreprise la plus innovante et la plus inspirante.
Et si vous avec gouté la version végétarien du célèbre Whopper de chez Burger King, vous avez alors eu l’occasion de découvrir sans même le savoir la marque du boucher végétarien.
Le télescope James Webb tient son nom du deuxième administrateur de la NASA qui y travailla entre 1961 et 1968.
James Webb fut un acteur majeur dans la conquête de l’espace, il jouera d’ailleurs un rôle essentiel dans la réussite du programme Apollo. C’est donc en hommage à lui que le télescope hors norme fut ainsi nommé.
Hors norme, car il est le plus grand et le plus cher des télescopes existants. Et grâce à ses observations infrarouges incluant également ce qui est visible « à l’œil nu », il permet de révolutionner les images et ainsi de pouvoir observer ce que nul autre télescope avant lui n’avait pu faire : la formation des premières étoiles et des galaxies après le Big Bang – référence quant à la naissance de notre galaxie et de nombreuses autres.
Il permettra également de découvrir la composition des atmosphères d’exoplanètes, de comprendre la naissance des trous noirs supermassifs au cœur des galaxies, ainsi que la formation des planètes et, peut-être même, découvrir une ou plusieurs vies extraterrestres.
À ce jour, le télescope James Webb a révolutionné le monde de l’astronomie grâce à la toute première photo officielle publiée le 12 juillet dernier sur laquelle on peut voir l’univers lointain, certains objets auraient même 100 millions d’années, une première dans l’histoire de l’humanité.
Invoxia est une marque de trackers multifonctions. Selon vos besoins, vous pourrez donc choisir « ce » ou « ceux » que vous souhaitez tracer.
Vous l’aurez compris, ces trackers servent à géolocaliser votre voiture, sachant qu’une voiture est volée toute les 4 minutes et que seule la moitié d’entres elles sont retrouvées
Mais c’est surtout pour sa fonction sur nos compagnons à quatre pattes que ce tracker interpelle. Une voiture volée c’est compliqué à gérer, ça coûte cher, mais on peut la remplacer. Par contre, votre chat ou chien, lui, est unique. C’est pour cette raison que le Pet Tracker va vous être extrêmement utile.
Pet tracker fonctionne avec une application, il est assez intuitif. La différence avec d’autre tracker, c’est que celui-ci va vous dire combien de fois par jour votre animal s’amuse, il va également vous dire quand il mange et lorsqu’il se gratte, afin de pouvoir éventuellement anticiper un souci de santé.
L’appareil est étanche et vous prévient si jamais votre animal se retrouve en dehors du périmètre que vous avez défini. En cas de vol, vous êtes donc alerté instantanément. Le boitier est par ailleurs très bien supporté par l’animal puisqu’il ne pèse que 15grs.
Il y a le ciel, le soleil et la mer, ça vous rappelle quelque chose, n’est-ce pas ? Ça sent la crème solaire tout autour de vous, les rires des enfants, le sable qui colle à la crème solaire pour bronzer tout en protégeant votre peau. Si vous n’êtes pas adepte du nudisme, vous allez rentrer avec des marques de maillot de bain peu esthétiques.
Du côté de Cannes, une entreprise a mis au point un maillot de bain qui permet de bronzer à travers le tissu, scientifiquement développé et breveté. Ce concept a été développé par la marque Bikunu.
Ces maillots sont considérés comme “transbronzants”, c’est-à-dire qu’ils permettent à ceux qui les portent de bronzer à travers leur maillot de bain.
Ces pièces maillots aux motifs inspirés de la Côte d’Azur dans le Sud-Est. L’entreprise, qui emploie des personnes en situation de handicap, veille à ce que les matériaux, conditionnements et les procédés de réalisation soient respectueux de l’environnement afin de limiter leur impact.
Sur Netflix, la série documentaire “Dans la peau de nos animaux” propose d’en apprendre sur son animal de compagnie, les NAC (nouveaux animaux de compagnie) compris.
Après avoir regardé les deux premiers épisodes, on réalise qu’on en a appris plus sur eux que tout au long de sa vie.
Finies les idées reçues selon lesquelles les animaux voient en noir et blanc ou encore que le chien fonctionne à l’instinct, que les perroquets ne sont que des marionnettes qui reproduisent les gestes et les mots.
Grâce à cette série, on peut apprendre que les chiens et les chats voient les couleurs mais “en mode pastel” alors que les perroquets voient les ultraviolets ; que les chats ont un GPS intégré grâce aux vibrations de la terre ; que les lapins sont aussi intelligents et dociles que les chiens peuvent l’être ; et que stimuler son animal en lui parlant et en lui proposant des activités le rendra plus intelligent. Dans l’un des épisodes on peut ainsi voir des rats qui ont appris à conduire une petite voiture et savent se diriger pour trouver leur nourriture.
Autre découverte : les poissons rouges sont des animaux sportifs et intelligents. Il y en a beaucoup d’autres, distillées dans cette série de quatre épisodes, narrée par Hugh Bonneville.
Direction Libourne, à quelques kilomètres de Bordeaux, où se trouve une maison d’hôtes pas comme les autres : le Refuge du sorcier.
Cet endroit est le repaire de la magie. Dès votre arrivée dans ce lieu immersif, vous serez propulsé dans un univers cosy et magique.
. Un lieu à visiter si vous êtes à proximité de Bordeaux et que vous êtes fan d’Harry Potter, bien que le plus commun des moldus peut aussi se laisser prendre au jeu.
Autre lieu consacré à la saga de J.K. Rowling à Toulouse. Au 17 rue Sainte-Ursule se trouve une incroyable boutique, Imagin’Eres.
Lorsque vous poussez la porte, vous êtes accueilli par Dobby, en taille réelle. L’elfe libre ici ne l’est pas vraiment puisqu’il se trouve dans une vitrine.
Vous y trouverez également tout ce qui touche à l’univers de l’apprenti sorcier : baguettes magiques, tee-shirt, pulls, écharpes, foulards, cravates, sans oublier les figurines pop.
Cette incroyable boutique est dédiée à Harry Potter d’un côté et à la pop culture de l’autre avec des objets inspirés notamment de “Stranger Things”, “Naruto”, “Le Seigneur des anneaux.
Retrouvez tous nos contenus sur Harry Potter ici…
Voilà un endroit bien glacial et fort peu accueillant qui attire pourtant de nombreux scientifiques. L’Arctique et l’Antarctique.
C’est en Arctique que l’Institut polaire a installé sa base et c’est également là-bas que de nombreuses études sont effectuées. Celles-ci permettent d’observer l’évolution du changement climatique, mais également de surveiller l’adaptation et l’évolution de la biodiversité.
Plusieurs recherches sont en cours sur cette étendue glacière, notamment celle des pôles, leur influence sur le climat et les courants océaniques, leur isolement géographique et la présence des pôles magnétiques.
Les recherches ne sont pas uniquement basées sur l’Arctique mais également sur l’Antarctique. Un projet est d’ailleurs en cours depuis la construction de la base franco-italienne Concordia (installée en 1990 mais gérée conjointement depuis 2005).
La base étudie les carottes glacières qu’elle extrait et en reçoit également des quatre coins du monde, ce qui a permis de découvrir l’évolution du climat sur 800 milles ans.
C’est du côté de Floirac, près de Bordeaux, que la Brasserie Parallèle à élu domicile. À la tête de cette enseigne, deux amis trentenaires qui ont eu pour idée de créer autour d’une boisson sans alcool un endroit convivial dans lequel il est possible de prendre l’apéritif sans modération.
Leur création ? Le kéfir de fruits, une boisson sans alcool proche de la bière, faible en sucre, peu calorique et avec en plus des atouts nutritionnels apportés par la fermentation qui sont les bactéries lactiques, les divers acides, les vitamines et les minéraux.
Le kéfir est une boisson issue de la fermentation préparée à l’aide de grains de kéfir, un levain constitué essentiellement de bactéries et de levure.
En poussant la porte du 161b, rue Émile Combes à Floirac, vous pourrez déguster, entre autres, le fameux kéfir framboise-hibiscus ou le gingembre-piment d’Espelette pour les plus audacieux.
Une boisson à consommer sans modération et à toute heure de la journée comme de la nuit. Le kéfir, l’ami de vos futures soirées cet été.
Au Chili, le parc de Pumalin est dépaysant car vous y trouverez, bien évidemment, de nombreux chemins de randonnées parfaitement entretenus, mais aussi des paysages vraiment incroyables. Sur votre trajet, vous trouverez des lacs autant que des sommets des Andes enneigés, des cascades, des volcans et une forêt d’une valeur inestimable puisqu’elle abrite en son sein des arbres vieux de plus de 3000 ans.
Pour les adeptes du kayak, il est possible de longer les fjords et peut-être d’y apercevoir des dauphins, des lions de mer voire même des baleines.
Par ailleurs, grâce à ses différents écosystèmes, le parc de Pumalin abrite des mammifères comme le singe de montagne, le renard culpeo, le coipo le coïpo est une sorte de castor, le chat colocolo (un petit chat sauvage), le furet, le puma, le huemul qui ressemble à un cerf, la loutre de rivière et enfin le pudu qui, lui, est unique en son genre, sorte de croisement entre une biche et une chèvre.
Le parc de Pumalin est également l’habitat naturel de plus de 39 espèces d’oiseaux.
Le léopard d’Anatolie est un félin à la fourrure grisâtre, légèrement rouge, avec des grandes rosettes sur les flancs et le dos et de plus petites sur les épaules et le haut des pattes, sans oublier, bien évidemment, les taches qui le caractérisent le mieux.
La pauvre bête ayant été braconnée à outrance et chassée comme un trophée, on la pensait disparue de son lieu d’habitat, également détruit par l’homme.
Alors que l’espèce était censée avoir disparu depuis 1974, une excellente nouvelle est tombée fin mai, le léopard d’Anatolie a été aperçu et photographié sur sa terre de naissance, le sud-ouest de la Turquie, qu’il partage d’ailleurs avec son proche cousin le léopard d’Iran.
C’est à l’aide d’un piège photographique qui se déclenche à l’approche d’un animal sauvage que le léopard a pu être photographié, a annoncé le ministre turc de l’Agriculture et des Forêts, lors de la journée internationale de la Biodiversité le 22 mai dernier.
L’espèce étant vraiment précieuse, les autorités turques tiennent absolument à tenir le lieu précis où se trouve le léopard secret, afin qu’il ne soit ni dérangé ni braconné.
Cette marque porte parfaitement bien son nom. En effet, les DeVinci sont des œuvres d’art. Ces voitures ont une allure rétro, mais possèdent également une technologie d’aujourd’hui, puisqu’elles sont toutes électriques et fabriquées en France.
Celui qui est à l’origine de ce projet fou s’appelle Jean-Philippe Dayraut. Il comptabilise 235 victoires en tant que pilote dans à peu près toutes les disciplines que comporte le sport automobile. Monoplace, trophée Andros, 24 h du Mans… rien ne lui résiste.
C’est un très jeune fan Italien qui lui donne l’idée de cette création après lui avoir remis un dessin lors de l’une de ses nombreuses courses.
Quelques essais et homologations plus tard, la première voiture voit le jour sous le nom de D417 et, 3 ans plus tard, la DB721 s’ensuit.
Une voiture classe, rétro-cabriolet, réalisée à la main, de la haute couture… Chaque modèle porte un prénom féminin et sous les capots de ces demoiselles, seuls des moteurs électriques sont installés. Des moteurs qui ne cherchent ni vitesses hors normes, ni performances incroyables. La voiture DeVinci n’ira pas au-delà des 110 km/h, et passera de 0 à 100 km/h en 8 secondes.
Un petit bijou qui se conduira juste pour le plaisir d’une conduite à sensations, tout en élégance et sans risque de polluer l’environnement.
Dimanche 5 juin, à midi, des dizaines de personnes se sont réunies pour traverser la Garonne. Une tradition bordelaise qui n’avait pas pu avoir lieu ces deux dernières années en raison du Covid-19.
Gaëlle Richard, l’une des participantes, se prépare à affronter la Garonne et ses courants, accompagnée de deux amies, Soazig et Julie qui, comme elle, ne sont pas à l’aise en eaux troubles, mais vont se challenger pour le petit Mathis.
Mathis a 12 ans et lutte avec acharnement contre une leucémie. Il est hospitalisé à Bordeaux et les trois amies sont là pour lui. D’ailleurs, un ballon violet estampillé de son prénom est accroché à la taille des trois nageuses.
Le coup d’envoi est donné, la traversée va durer un peu plus de 30 minutes, des minutes de courage, de doutes, d’acharnement, des minutes pour Mathis, qui, dans cette histoire, leur donnera la force de puiser dans leurs ressources et ainsi terminer la course avec fierté de s’être dépassé pour mettre en lumière l’histoire de ce petit garçon et de nombreux autres enfants.
Pour découvrir cette espèce méconnue, il faut remonter le temps. C’est en 1983 que Weidong Li, conservationniste, découvre cet animal qu’il nommera pika d’ili ou ili pika, dit encore lapin magique. Une petite chose qui pèse dans les 200 grammes et mesure une vingtaine de centimètres. Une bestiole qui ressemble au lapin, mais également au chinchilla, ce petit rongeur de la cordillère des Andes. L’ili pika fait d’ailleurs partie des ochotonidés.
Depuis sa découverte, personne n’avait pu apercevoir cet animal extrêmement rare, endémique de Chine et plus précisément des montagnes du nord-ouest du pays. Le pika d’ili vit plus précisément en altitude, entre 2800 et 4000 mètres.
Plus le réchauffement climatique se fait sentir, plus le petit pika monte dans les hauteurs. En 20 ans, l’espèce a baissé de 70% et le lapin magique ne comptait plus qu’un millier de spécimens en 2014. L’espèce est fortement menacée d’extinction. En 20 ans, elle n’a été aperçue que 24 fois.
Weidong Li lui a consacré sa vie, s’apercevant du danger qui le guettait. Mais encore aujourd’hui, il n’existe aucune association de protection de l’ili pika. Avant de prendre sa retraite, Weidong Li a eu la chance de pouvoir filmer l’animal dans son milieu naturel, le but de cette vidéo étant de sensibiliser les gens à préserver cette espèce si fragile.
Cet animal vous fait peut-être penser à Pikachu. Néanmoins, il a été confirmé que le lapin magique n’a pas inspiré le personnage des Pokémon. Mais si un jour il venait à disparaître, faire le rapprochement entre le personnage de Pikachu et le pika d’ili serait une façon de ne pas l’oublier, bien que la meilleure solution reste de tout faire pour préserver cette espèce.
Dans un premier temps, il faut savoir que la maison bioclimatique s’adapte à l’environnement et non l’inverse. Elle est bâtie de façon à optimiser les ressources naturelles qui l’entourent, afin d’être performante en matière d’énergie et donc peu polluante.
Lors de la construction, les matières nécessaires à l’isolation ne sont pas à négliger (du bois, du chanvre, de la brique ou encore de la terre). Ensuite, pour la toiture, il est préférable d’utiliser de la ouate de cellulose et de la paille. Et enfin, pour les fenêtres, il est vivement conseiller d’installer un double vitrage.
Quels sont les avantages avec la construction de ces maisons bioclimatiques ? L’utilisation des matériaux naturels qui, contrairement aux maisons traditionnelles, n’utilisent que peu ou pas de polluants, rendant ainsi la maison bien plus saine à vivre.
Effectivement, la construction d’une maison bioclimatique représente un coût plus élevé qu’une maison traditionnelle. En revanche, elle consomme cinq fois moins d’énergie. Et enfin, sur le long terme, elle se révèle moins couteuse.
L’ADEME finance de nombreux travaux énergétiques, dans le but de faire des économiques et de soulager la planète.
Ce vélo s’appelle U-Feel, il est commercialisé par la marque français Veloci Industries. Si l’engin est électrique, il n’a pourtant pas besoin d’être rechargé puisqu’il possède un supercondensateur qui fonctionne sur le principe de la dynamo et transforme l’énergie mécanique en énergie électrique, ce qui permet de passer du mode classique en mode électrique, quand le besoin s’en fait sentir.
La batterie du vélo U-Feel est elle aussi innovante puisqu’elle est fabriquée en aluminium et en carbone. Elle ne contient donc aucun métaux rares, ce qui rend ce vélo plus écologique car entièrement recyclable mais également bien plus léger.
Le prix de cette technologie innovante imaginée par Adrien Lelièvre, dirigeant et fondateur de Veloci Industries, est de 1995 euros pour un vélo d’une durée de vie comprise entre 10 et 15 ans et qui ne pèse que 22 petits kilos.
Comme les pèlerins qui se lancent sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle, les « henro », nom donnés aux bouddhistes, partent pour des voyages spirituel de 1400km à pied sur l’île sacrée de Shikoku, la plus petite des quatre îles qui composent l’archipel du Japon.
Les « henro » sont habillés de blanc, une tenue spéciale qui doit être portée pour entamer ce périple qui leur fera faire le tour de l’île dans le sens des aiguilles d’une montre et les emmènera dans 88 temples différents.
La tenue en question est composée d’un chapeau de paille pointu, d’une veste blanche (le blanc étant la couleur de la mort au pays du soleil levant), un rosaire – sorte de petit chapelé à égrainer -, une clochette, un sac pour mettre le petit carnet qui sera tamponné pour valider ce voyage spirituel ainsi qu’une étole et un bâton. Mais attention, pas n’importe quel bâton, sur celui-ci doit être inscrit « les 2 vont ensemble », phrase qui symbolise Kûkai, moine fondateur du bouddhisme Shingon au Japon.
Les différents temples permettent de manger, se reposer et prendre des bains mais attention aux traditions. Si en France nous prenons des bains pour nous laver, il est très impoli d’en faire autant durant ce chemin spirituel. Mais il est néanmoins possible de se laver avant d’entrer dans ce bain alimenté par l’eau de source.
Notez qu’une bonne condition physique est préférable si vous voulez aller jusqu’au bout de ce chemin spirituel.
Nombreuses sont les antennes de la Croix Rouge à travers la France, c’est un nom connu de tous mais trop souvent associé uniquement à l’aide alimentaire, alors que les bénévoles de la Croix Rouge sont à l’origine de nombreuses autres belles actions.
La Croix Rouge de Verdun-sur-Garonne dans le département du Tarn et Garonne(82) propose à tous, deux fois par an, une grande braderie de vêtements neufs, de marque, et à petit prix, mais également des leçons de secourisme, sans oublier les cours d’alphabétisation ouvert à tous, bénéficiaires ou non.
Comme son nom l’indique, l’entreprise Comme Avant fabrique ses produits comme à l’époque de nos grands-parents, de façon artisanale et sans perturbateurs endocriniens.
L’entreprise marseillaise mise sur l’écologie avant le profit. Leurs cosmétiques sont ainsi sans emballage polluants et surtout sans superflu. La marque produit également des produits ménagers et des vêtements durables.
L’histoire de Comme Avant est une histoire familiale. Comme bon nombre de parents Sophie et Nil voulaient le meilleur pour leur bébé mais n’arrivaient pas à trouver de produits réellement naturels. Après quelques essais; ils mettent au point leur premier savon à base d’huile d’olive biologique. La marque venait de voir le jour.
Encouragés par leur entourage, ils décident de se lancer.
Mais au-delà des produits écologiques, Sophie et Nil voulaient une entreprise en adéquation avec leurs valeurs, le bien-être humain et celui de la planète.
L’entreprise sociale, équitable et juste rétribue leurs partenaires et salariés à leur juste valeur.
Mais la marque Comme Avant va plus loin en investissant dans des projets philanthropiques à but non lucratifs et en rachetant des terres pour protéger la biodiversité.