On estime qu’aujourd’hui, le tourisme est responsable de 8% des émissions mondiales de gaz à effet de serre.
Comme beaucoup de touristes, Mathilde a très vite commencé à ressentir un léger sentiment de culpabilité au cours de ces voyages. Sa pratique n’était pas en adéquation avec ses valeurs écologiques, elle ne profitait pas assez de ses vacances et avait trop tendance à prendre l’avion.
Elle a donc décidé avec sa meilleure amie de changer tout cela, et de créer slowbreak, avec l’objectif de montrer au plus grand nombre qu’il est possible de voyager en France, en train, et d’en prendre plein la vue.
Destination surprise
Le principe de ces slowbreaks est simple. Vous remplissez un questionnaire avec vos expériences passées, les destinations visitées, les activités réalisées, ce que vous préférez, gîtes, ou hôtels, et, en fonction de toutes vos réponses, les équipes de slowbreak vous concoctent un week-end sur mesure… sans vous donner la destination.
Deux jours avant le départ, vous recevrez l’heure et la gare de départ de votre train, la météo prévue sur place également pour pouvoir faire votre valise comme il se doit. Le jour J, vous saurez enfin ce qui vous attend.
La particularité de slowbreak, c’est que tout est fait pour respecter l’environnement, pour respecter les valeurs du tourisme durable, que ce soit via les hébergements, tous éco-responsables, que par les activités qui n’émettent pas ou peu de gaz à effets de serre.
Pour un week-end de deux personnes, comptez environ 480 euros. Plus d’informations sur slowbreak.fr
