Souvent pointées du doigt, les banlieues restent encore mal comprises. “Aller au-delà des perceptions négatives et réductrices”, en interrogeant les représentations artistiques de la banlieue, c’est l’objectif de l’exposition “Banlieues chéries” en proposant une immersion artistique au cœur de l’histoire des banlieues pour dépasser les clichés.
À travers plus de 200 œuvres, l’exposition, visible au Musée national de l’histoire de l’immigration, au palais de la Porte Dorée, à Paris, jusqu’au 17 août, propose de briser les clichés et de rétablir la vérité sur ces zones urbaines.
Les œuvres sont ainsi réparties dans trois séquences : “Banlieues douces amères“, “Banlieues engagées“ et “Banlieues centrales“.



Découvrons cette exposition en compagnie d’Horya Makhlouf, critique d’art, coordinatrice artistique, commissaire d’exposition indépendante, et d’Emmanuel Bellanger, historien, directeur de recherche du CNRS au Centre d’histoire sociale des mondes contemporains.
Pour aller plus loin > Pour l’association Fairéco, la révolution verte viendra des banlieues