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Investir son argent oui, mais pas n’importe où. Comment est utilisée notre épargne quand elle dort sur un compte en banque ? C’est la question que se posent de plus ne plus de français qui ne veulent plus indirectement financer des projets considérés comme irresponsables.

Simon Brestel l’a bien compris. Le cofondateur de FEVE, une foncière agricole et solidaire, propose un modèle qui permet aux jeunes agriculteurs de s’installer tout en opérant une transition de la profession vers une pratique plus verte.

FEVE : comment ça marche ?

La foncière achète les fermes et les loue à de jeunes agriculteurs qui n’auraient pas les moyens d’acheter les terres, l’habitation, le matériel voir le cheptel. Ainsi, le besoin de financement initial est drastiquement allégé pour les porteurs de projet ce qui facilite le dialogue avec les banques.Une ferme à reprendre, c’est très lourd pour un jeune”, souligne Simon Brestel. Grâce à ce modèle, ils peuvent se concentrer sur leur projet sans un endettement excessif.

En contrepartie, ils s’engagent à adopter des pratiques durables, comme la transition des terres en bio d’ici 5 ans ou l’implantation de haies sur le terrain. Depuis 2021, la foncière a pu racheter une quarantaine de fermes et y installer près de 60 agriculteurs grâce à 40 millions d’euros d’épargne citoyenne.

Ce modèle d’investissement permet de redonner du sens à l’épargne des particuliers. Les citoyens peuvent ainsi voir l’impact positif de leurs choix financiers sur l’agriculture en mont de l’installation.

Pour prolonger la réflexion sur ce sujet passionnant, écoutez l’interview complète sur AirZen Radio et découvrez comment votre épargne peut contribuer à un avenir meilleur pour notre planète...

Femme qui réfléchir pour répondre à une enquête

Cette interview a été réalisée en partenariat avec le média impact.info. Vous pouvez la retrouver en intégralité ici.

Ce média a été fondé par Impact Partners et AirZen Radio, afin de mettre en lumière la parole de celles et ceux qui veulent faire bouger les lignes au sein de leur entreprise… mais pas que !

Rendez-vous sur impact.info pour découvrir les nombreux témoignages.

A Puteaux, sur l’Esplanade de La Défense, une nouvelle école vient d’ouvrir ses portes.

Cette formation peut nous permettre éventuellement de rentrer dans des directions financières pour pouvoir impacter à un plus haut niveau, explique Loïc, l’un des étudiants de cette première promotion.

L’Institut d’Économie Durable (IED) forme des étudiants aux enjeux de la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) et du développement durable. Une école supérieure fortement liée au groupe d’édition Lefevre-Dalloz, leader de l’édition juridique depuis plus de 100 ans.

Une formation diversifiée pour des carrières engagées

“L’économie on n’a plus d’autres choix que de la rendre durable” explique le directeur Guillaume Leblond. Selon lui, dans quelques années, la croissance ne reposera plus seulement sur le PIB. Un virage à le long terme qu’il faut préparer dès maintenant.

La promotion actuelle de l’Institut d’Economie Durable rassemble une vingtaine d’étudiants, entre gestion, sciences politiques et ingénierie. Des profils qui aspirent à transformer les modèles économiques en profondeur et de l’intérieur, cherchant à y intégrer plus de sens. Ce matin-là, le cours mené par Emilie Legeay vise à définir sa raison d’être.

Pour prolonger la réflexion sur ces enjeux cruciaux, écoutez l’interview complète disponible sur AirZen Radio et découvrez comment l’IED prépare ses étudiants à relever les défis de demain.

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Dès 45 ans, l’accès à l’emploi devient un défi pour les seniors en France. La Fédération France Senior, dirigée par Jean-Louis Chapelet, s’engage à anticiper cette transition vers la retraite en soutenant l’employabilité de cette tranche d’âge.

« L’objectif de la fédération est d’aider ces seniors à trouver leur place », explique Jean-Louis Chapelet, soulignant l’importance d’une réflexion sur l’avenir professionnel dès l’entrée dans la vie active.

Un contexte démographique en évolution

Avec l’INSEE prévoyant un pic de vieillissement en 2025, plus de 35% de la population française aura entre 50 et 64 ans. Cette réalité impose une réflexion sur l’emploi des seniors.

Les labels mis en place par la fédération aident les entreprises à évaluer leur approche envers les seniors. « Ce n’est pas un titre, c’est une indication pour vérifier si elles sont dans un axe favorable », précise Jean-Louis Chapelet.

Vers une formation adaptée et accessible

Le manque de formation des seniors est préoccupant, avec seulement un tiers des plus de 45 ans qui en bénéficient. Pourtant, ces derniers sont souvent motivés à apprendre.

Pour approfondir cette problématique, écoutez le long format disponible sur AirZen Radio, qui invite à réfléchir sur l’avenir des seniors dans le monde du travail.

Cette interview a été réalisée en partenariat avec le média impact.info. Vous pouvez la retrouver en intégralité ici.

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Baptiste Privé est le fondateur de HUGGY Recrutement et du mouvement Recrutement Circulaire.  Il partage des solutions pour améliorer l’efficacité du recrutement et favoriser la solidarité entre employeurs.

Le recrutement circulaire est une approche innovante qui vise à fluidifier le marché de l’emploi en France. En partageant les besoins des entreprises, ce modèle permet de partager les candidatures. Il réduit ainsi le taux de rejet et d’inefficacité dans le processus.

Un constat alarmant sur le marché de l’emploi

Actuellement, un million d’annonces d’emplois sont ouvertes en France, mais 97% des candidats ne sont pas retenus. Ce phénomène entraîne une forte déception des postulants et un allongement des processus de recrutement, qui durent en moyenne 12 semaines.

Pour répondre à cette problématique, le recrutement circulaire propose de valoriser et de partager les candidatures non retenues. Grace à la plateforme, les entreprises peuvent partager les profils intéressants et gagner du temps dans leurs recherches. Cela améliore ainsi évidemment l’expérience candidat.

Un avenir collaboratif

Cette approche met en avant une vision positive et inclusive, en intégrant divers acteurs du marché de l’emploi. En favorisant la collaboration entre entreprises, le recrutement circulaire crée une dynamique d’entraide bénéfique pour tous.

Pour prolonger la réflexion sur ce sujet, écoutez l’épisode complet sur AirZen Radio, où Baptiste Privé partage des insights précieux sur l’avenir du recrutement et l’importance de la solidarité dans le monde professionnel.

Le projet « Grimpe ton quartier », à Toulouse, propose une nouvelle manière d’aller vers les habitants ! Tous les mardis, c’est un camion de “bloc” qui se déplace directement au pied des immeubles de certains quartiers prioritaires de la ville rose. Cugnaux, Beauzelle et Bellefontaine. L’objectif : favoriser l’insertion sociale et professionnelle grâce à la pratique de l’escalade.

Concrètement, une structure d’escalade mobile, inédite et sécurisée, s’installe régulièrement au bas des résidences. Un objectif de 120 ateliers par an a été fixé par les associations et structures qui portent le projet. L’idée, convier les habitants à découvrir l’escalade de blocs, une pratique sans corde et de faible hauteur, réalisée au-dessus de matelas de sécurité.

Accessible dès 16 ans, “l’activité favorise la confiance en soi, l’entraide et la persévérance”, nous explique Alex, professeur pour Amassa Climb, l’une des structures impliquée dans le projet. Au-delà des cours dispensés au pied des immeubles, Grimpe ton quartier propose aussi aux habitants de sortir de leurs lieux de résidence et de fréquenter des salles d’escalade en ville, à prix réduit.

À l’issue de ces temps de découverte, et en parallèle de la pratique sportive, des accompagnements individuels et collectifs existent pour soutenir la recherche d’emploi, la remobilisation ou l’orientation vers une formation.

Depuis 30 ans, l’association Espaces propose des chantiers d’insertion dans l’Ouest parisien, avec un levier bien précis : l’écologie urbaine.

A la porte d’Auteuil, sur le sentier nature de la Petite Ceinture, une équipe de 5 homme et une femme s’activent pour ramasser les déchets et entretenir les talus. “Avant j’étais au chômage et à la rue” explique Pascal, ravi de retrouver le chemin de l’emploi.

L’association propose des contrats à durée déterminée d’insertion, de 26 heures par semaine. L’occasion pour les salariés de mieux se projeter dans la vie.

“Les fiches de paie c’est la possibilité de payer un loyer. Le mieux c’est d’avoir une situation stable avec un emploi et un logement, là ils peuvent y arriver” détaille Jaques Peretti, l’encadrant du groupe. Et l’écologie urbaine apparait comme un levier efficace.

Ces témoignages sont à retrouver dans ce nouvel épisode d’Avenirs par AirZen.

À la porte d’Auteuil, derrière la brasserie du même nom, se trouve un accès à la ceinture verte. En passant le portail, vous tomberez peut-être sur un chantier de réinsertion, sans savoir que s’en est un.

Ce jour-là, 6 salariés de l’association Espaces s’activent pour ramasser les déchets et entretenir le sentier naturel. C’est ce qu’on appelle l’écologie urbaine.

Cette initiative permet à des personnes éloignées de l’emploi de retrouver une place dans la société. “Notre but, c’est de faire de l’insertion à travers l’écologie urbaine” explique Jaques Peretti, encadrant technique, pédagogique et social. 

Un projet inclusif et solidaire

Les chantiers de l’association accueillent des individus de tous horizons : réfugiés politiques, des personnes éloignées de l’emploi et des personnes sortant de prison. 

Pascal, un salarié, témoigne : Avant, j’étais au chômage et j’étais aussi à la rue. C’était surtout pour me remettre dans le bain”. L’association Espaces lui permet d’avoir un contrat de 26 heures par semaine.

En formant des personnes en difficulté à des métiers liés aux espaces verts, elle contribue à leur réintégration sociale et professionnelle.

Un avenir prometteur grâce à l’écologie

Les travaux de nettoyage et d’entretien des espaces verts améliorent non seulement l’environnement, mais aussi le quotidien des participants. Cela contribue à une ville plus verte et plus accueillante. “L’écologie, ça devrait être la base de tout, clairement. C’est le lieu où on vit, c’est la vie” poursuit Jaques Peretti.

Pour découvrir davantage cette initiative inspirante, écoutez l’audio disponible qui met en lumière les voix de ceux qui bénéficient de cette réinsertion par l’écologie.

Basile Fourmont ne s’attendait pas à recevoir autant de reconnaissance de la part des artisans boulangers. Lors de la fête du Pain en mai 2025, lui et son équipe de la boulangerie Des Racines et du Pain à Clamart (92) ont remporté le prix du meilleur croissant du Grand Paris.

Une distinction d’autant plus appréciée puisque le jeune homme venait de recevoir le prix de la meilleure baguette de tradition française d’Île-de-France quelques jours plus tôt.

Cette 24 édition du concours a réuni 118 professionnels et 11 apprentis face à Notre-Dame. Organisé par l’association Épiphanie, le concours évaluait l’aspect du croissant, sa cuisson, son feuilletage ou encore sa saveur. Ces victoires, Basile les doit alors aux engagements de sa boulangerie qui mise sur la tradition artisanale. Avec sa femme Cynthia, il s’appuie sur des ingrédients de première qualité et souhaite partager cet art de la boulangerie.

Née à Lyon en 2024, la start-up « 2 Minutes Max » veut ringardiser le CV classique et réinventer le processus de recrutement. Comment ? En misant sur la vidéo.

L’idée de Nicolas Bernard et de sa fille Juliette est simple : remplacer la lettre de motivation par une vidéo de deux minutes chrono. Simple, efficace et gratuit pour les candidats, ce concept séduit déjà les recruteurs et les étudiants. Sur la plateforme, donc, les candidats s’enregistrent. Une fois leur compte créé, ils peuvent enregistrer leur vidéo puis générer un QR code ou un lien URL à partager avec les recruteurs. Côté entreprises, celles-ci peuvent consulter les vidéos gratuitement une première fois. Si elles souhaitent prolonger, un abonnement leur est proposé. Nicolas et Juliette Bernard nous en disent davantage.

Pour aller plus loin > Emploi : gOtaf, la première plateforme de CV audio en France

Cette interview a été réalisée en partenariat avec le média impact.info. Vous pouvez la retrouver en intégralité ici.

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En 2030, un salarié sur quatre sera aidant. Aujourd’hui, la France compterait entre 8 et 11 millions d’aidants non professionnels. 61% d’entre eux seraient en activité. Mais il n’est pas toujours facile de concilier sa vie professionnelle avec son rôle d’aidant. L’employeur ignore aussi parfois que ses salariés ont ce statut. Ces derniers ignorent, la plupart du temps, qu’ils ont des droits. Les aidants consacreraient ainsi 10 heures, en moyenne par semaine, à s’occuper de leurs proches, selon France Travail.

La question de l’aidance reste encore souvent cachée, taboue. On en parle plus facilement à des collègues qu’à sa direction ou aux RH., par peur de perdre son travail (44% des sondés selon France Travail). Par manque de confiance aussi. Seuls 25% des employés osent ainsi informer leur manageur de leur situation de proche aidant. La peur d’être stigmatisé intervient aussi. Pourtant, l’aidance concerne tout le monde, c’est pourquoi il est urgent d’en parler en entreprise et de sensibiliser sur le sujet.

La start-up R’Volution et l’Association française des aidants ont lancé il y a peu un dispositif à destination des entreprises : « Aidants : tous concernés ! ». L’idée est ainsi, d’abord, de sensibiliser à cette question via la réalité virtuelle, puis ensuite d’ouvrir le dialogue, de rendre visible le quotidien invisible des aidants et d’apporter des solutions.

Pour aller plus loin > Elpyoo, une application pour rompre l’isolement des aidants

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Fromages, yaourts, desserts lactés, crème, beurre… L’École nationale de l’innovation, des laboratoires, de l’eau et de l’alimentation (ENILEA) est une école spécialisée dans l’agroalimentaire et le secteur de la transformation laitière. Cette institution a vu le jour en 1888, sous l’impulsion du ministère de l’Agriculture.

L’école se déploie sur deux campus : un à Mamirolles (Doubs) et l’autre à Poligny (Jura). Et ce n’est pas un hasard. La Franche-Comté est en effet le berceau de délicieux fromages comme le comté, le morbier, le Mont d’Or ou la cancoillotte. 

Fromager, un métier gourmand et porteur de sens

Chaque année, 500 apprenants, du CAP au BAC+3, sont formés en lien étroit avec les entreprises. Ces formations sont accessibles par voie scolaire, en apprentissage, en formation continue ou en reconversion professionnelle. Les adultes qui ont le désir de changer de vie pour un métier gourmand et porteur de sens peuvent ainsi suivre une formation dans cet établissement.

L’ENILEA favorise par ailleurs des stages à l’étranger et envoie régulièrement des apprenants au Canada, aux États-Unis ou au Luxembourg. Des apprenants internationaux s’inscrivent, à l’inverse, chaque année aux différents cursus de l’école. Il reste d’ailleurs des places pour la prochaine rentrée.

Pour la deuxième année consécutive, les Hospices Civiles de Lyon organisent, jusqu’au 11 juin, leur Printemps de l’Emploi. Pour l’occasion, tous les établissements ouvrent leurs portes afin de faire découvrir aux étudiants et à tous ceux qui le souhaitent les métiers hospitaliers.

À l’hôpital Édouard Herriot, les équipes ont trouvé une alternative innovante pour répondre à la crise de recrutement. Ils ont créé trois escape games au cœur de l’hôpital pour découvrir les métiers qui recrutent.

Imaginés et organisés par Sandra Bonjour, ces escape games proposent une expérience immersive, ludique et pédagogique. Au cours de ces jeux, les participants forment une équipe médicale soudée et arpentent les pavillons hospitaliers pour découvrir les réalités du terrain. À chaque fois, ils disposent de deux heures pour résoudre une mission, en collectant neuf indices qui formeront un puzzle final. Une fois l’escape game achevé, les joueurs peuvent échanger avec les professionnels de santé qui les ont accompagnés. Pour Sandra, ces expériences permettent de créer des vocations tout en valorisant les professionnels.