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Long Ma, le cheval dragon a été crée en 2014 pour un spectacle à Pékin dans le cadre du 50e anniversaire des relations franco-chinoises
Après avoir sillonné les rue de Pékin, Ottawa, Nantes et Calais, Long Ma vient se reposer à Toulouse dans les murs de verres et d’acier de La Halle de la Machine.
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Cette créature chimérique est inspirée d’une légende chinoise, la déesse Nuwa, la créatrice de l’humanité. Elle observe les hommes et veille sur eux. Son nom complet est Long Ma Jing Shen, qui signifie « L’esprit du cheval-dragon ». Long Ma a été envoyé par la déesse Nuwa pour venir en aide aux hommes, face au climat qui se dérègle et réparer le ciel. Mais la terrible araignée va tendre des pièges à notre cheval-dragon qu’il devra déjouer…
Une créature exceptionnelle à découvrir, mise en scène avec une scénographie nouvelle. Long Ma va également s’aventurer, certains jours, sur la piste autour de la Halle de la machine, saluer Astérion le Minotaure et les habitants du quartier toulousain Montaudran.
À partir du 19 avril jusqu’au 8 mai, il sera possible de voyager sur le dos de Long Ma dans son temple. 50 personnes pourront en effet se balader plusieurs fois par jour sur la Piste autour de la Halle.
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La Halle de la machine vous donne aussi rendez-vous pour un grand spectacle les 16 et 17 avril 2022. La Piste des Géants promet d’être un terrain de jeu idéal pour Long Ma, le Minotaure et l’Araignée.
« Bienvenue à Mama’s ». C’est Marine, sa fondatrice, qui nous accueille et nous présente son grand appartement de 150 mètres carrés situé en plein cœur de la ville rose.
Ici, on se sent comme à la maison : parquet au sol, couleurs chaudes, meubles cosy, tout est fait pour accueillir les familles dans les meilleures conditions.
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Ici, les mamans ou futures mamans peuvent être prises en charge globalement : elles peuvent être accompagnées par une psychologue, suivies par une kinésithérapeute, faire du yoga avant ou après la grossesse, s’offrir un moment de thalasso avec leur bébé…
« Quand je suis devenue maman, je me suis rendu compte qu’il n’existait pas de structure similaire en France. Souvent, on se sent seule, et on a besoin d’être accompagnée », explique Marine.
Un lieu de rencontres
Dans cet espace doux et calfeutré, les parents et futurs parents se croisent, échangent, se parlent, tout est fait pour se sentir entouré, ce qui est important dans une période aussi fragile que la grossesse.
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« La maman parfaite n’existe pas. Et c’est normal d’avoir des attentes sur sa grossesse ou sa maternité, et de se confronter à la réalité qui peut être totalement différente », estime Laura, psychologue à Mama’s, et d’ajouter, « le tout, c’est de verbaliser tout ça et d’être accompagnée ».
Le Quai des savoirs présente jusqu’au 6 novembre 2022 Esprit critique : détrompez-vous ! L'exposition interactive qui vous permet de détecter les fausses informations.
Pour circuler dans cette exposition, imaginez que vous êtes dans une ville qui porte le doux nom de Critik, où les vrais et fausses informations se mélangent dans les rues et même dans les commerces qui ont été reconstitués.
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Le public est ainsi équipé d'un bracelet connecté et doit déjouer les pièges qui lui sont tendus dans toutes les situations. Vous pourrez également vous amuser à dénicher les fausses unes de journaux, une animation mise en place avec le concours de l'Agence France presse.
Aujourd’hui, avec la multiplication des supports de diffusion, on peut entendre tout et son contraire. C'est pourquoi cette exposition a été créée.
L'exposition Esprit critique : détrompez-vous ! est ouverte à tous les publics jusqu'au 6 novembre 2022 au Quai des Savoirs à Toulouse. Visites guidées possibles. Entrée 7 € Gratuit 1er dimanche de chaque mois.
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Une exposition produite par Cap Sciences à Bordeaux, le Quai des Savoirs à Toulouse et le Palais de la découverte à Paris. Elle partira ensuite en tournée dans d'autres villes de France.
Bijoux, bouquets de fleurs séchées, bougies, vêtements, accessoires pour bébé… vous avez le choix à “Haut les mains”, cette boutique éphémère de créateurs et créatrices de Toulouse.
Situé à deux pas de l’illustre Place du Capitole, ce joli magasin vous permet de dégoter de vraies petites perles.
Une fois dedans, chacune et chacun trouve son bonheur : bijoux fantaisies, tableaux réalisés en Lego, plantes, sacs ou accessoires de mode colorés, cosmétiques éco-responsable et produits localement ou encore décoration.
Dans ce temple du fait main, tenu par une association de créateurs, il est possible de discuter et d’échanger avec celles et ceux qui fabriquent ces beaux objets, au plus près du processus de production.
La Plancha Social Club de Kamel offre à manger mais surtout un moment de convivialité. Tous les mardis, l’artiste designer toulousain sillonne les rues de la ville et se poste sur des places fréquentées, sur les berges de la Garonne toulousaine ou simplement à l’ombre d’un arbre. Il ouvre sa plancha, conçue tout spécialement pour s’adapter à son vélo électrique, et cuisine crêpes, burgers, légumes…
Son petit restaurant ambulant et gratuit se destine d’abord aux personnes sans domicile fixe, mais l’objectif est aussi de (re)créer du lien entre toutes les personnes qui se retrouvent autour de ce grill à ciel ouvert, peu importe les revenus ou la situation sociale.
À force de tourner, Kamel commence à se faire connaître et les bénévoles sont de plus en plus nombreux pour cuisiner avec lui ou préparer le café. Le repas n’est pas simplement distribué, il est participatif et implique un réel moment de discussion et de convivialité.
A Toulouse, le Couvent des Jacobins permet notamment de découvrir les outils des copistes d'antan : parchemin, calames (roseaux taillés), plumes d'oie et enluminures, décorations exécutées à la main qui ornent un manuscrit. Le lieu abritait au Moyen Âge une des plus grandes bibliothèques du Midi de la France.
La viole de Gambe résonne dans différentes salles du couvent, et vous pouvez aussi y apprendre comment on cuisinait à cette époque.
Des furets pour lutter contre les rats ! Une technique ancestrale qui était déjà utilisée au XVe siècle sur les bateaux. Alexandre Raynal un éleveur de furets du Gers l'a remise au goût du jour. Il est de plus en plus sollicité par les collectivités pour intervenir dans les parcs et jardins afin d'éradiquer ces nuisibles.
Les furets ne s’attaquent pas aux rats. Ils sont simplement lâchés dans les galeries pour leur faire peur. Pendant ce temps Alexandre installe des filets à la sortie pour pouvoir capturer tout le terrier. « Le furet est très efficace car au-delà de l’aspect visuel qui va effrayer le rat, son odeur va également agir comme un répulsif à moyen terme » précise Alexandre.
Avantage de cette méthode ? Elle est totalement naturelle et se révèle beaucoup plus efficace que les pièges traditionnels. C'est la raison pour laquelle la mairie de Toulouse n'a pas hésité. « Nous cherchions une alternative aux produits chimiques » explique Françoise Ampoulange conseillère municipale déléguée en charge de l’animal dans la ville. « Le premier test s’est avéré très concluant : en 15 minutes une dizaine de rats sont tombés dans les filets. Le deuxième test réalisé début décembre sur un plus grand terrier a quant à lui permis d’attraper une cinquantaine de rats »
Cette méthode a déjà été employée dans d’autres villes en France comme La Rochelle. Toulouse a prévu de renouveler l’opération et Alexandre Raynal a également été approché par la mairie de Paris.
Un projet en partenariat avec 80 artisans chinois et chinoises : soudeurs, peintres et couturières venant de la région de Zigong dans la province du Sichuan, ils sont venus installer à Blagnac ces 2500 lanternes.
Un savoir-faire artisanal et traditionnel de la Chine qui aujourd’hui, grâce à eux, a la possibilité d’être vue dans le monde entier, eh on va pas s’en plaindre vu la joie que ça peut nous procurer.
Le lieu est encore tenu secret. Mais selon Alex, l’un des membres de l’association Les Bàtar (bateau, en islandais), leur prochain drakkar viking sera construit en plein centre-ville de Toulouse, au bord de l’eau. Ainsi, toute la population “pourra suivre l’évolution du projet et même mettre la main à la pâte”, confie le passionné à AirZen Radio.
Ce projet, baptisé “Orkan”, est celui de construire le drakkar le plus grand et rapide du monde (28 mètres de long, 6 mètres de large), censé relier Toulouse à New-York en 2024. Mais l’association, composée d’ami.e.s d’enfance, n’en est pas à son coup d’essai. Deux drakkars ont déjà été construits et sont régulièrement mis à l’eau, dans les pays du Nord (Danemark, Suède, Norvège), mais aussi sur la Garonne – à Toulouse – ou encore sur de grands lacs, moyennant des reconstitutions de batailles entre vikings et soldats anglais.
Pour suivre les aventures de ces vikings 2.0, rendez-vous sur leurs différents réseaux sociaux.
