On jette chaque année en France 40 000 tonnes de coquilles d’œufs et autant de coquilles perdues. Un chiffre impressionnant.
Ces coquilles pourraient être réutilisées pour le bâtiment, l’industrie, l’agroalimentaire… Circul’Egg a trouvé une solution pour réutiliser la coquille et la membrane de l’œuf. Yacine Kabeche, jeune entrepreneur, fraîchement diplômé d’Agroparis Tech, a joué la carte de l’innovation et inventé une machine qui sert à séparer la membrane de l’œuf de sa coquille.
Son modèle économique repose sur l’économie circulaire : il va récupérer les coquilles d’œufs dans les casseries pour les transformer.
À ce stade, ses clients sont des fabricants de compléments alimentaires et d’aliments pour animaux. Le terrain de jeux de Circul’Egg est énorme et son procédé intéresse déjà d’autres industriels.
Pas besoin de connaître toute l’histoire du “Seigneur des Anneaux” pour réserver une chambre chez Moni et Martial. « Ce n’est pas un prérequis », vous dira Moni en souriant. Mais, si vous êtes un fan de Tolkien, c’est un véritable bonus. Moni et Martial imaginent déjà des soirées à thème, le projet est dans les cartons.
Moni propose une table d’hôtes, ses recettes sont directement inspirées de la cuisine de Tolkien, les visiteurs sont ravis de partager cet univers. Mais au-delà de ce monde fantastique, Moni et Martial sont avant tout des hôtes charmants, chaleureux, heureux de recevoir.
La Terre du Milieu est aussi l’histoire d’une reconversion réussie. Moni était infirmière et a choisi de changer d’orientation en 2020. Le couple a beaucoup chiné pour concevoir ces hébergements. Leur rêve commun, depuis de nombreuses années, était d’ouvrir une maison d’hôtes.
Une des adresses coups de cœur d’AirZen !
Hugo Meunier est l’un des fondateurs de Merci Raymond, une entreprise créée il y a cinq ans dont l’objectif est d’imaginer de nouveaux espaces verts dans nos villes en invitant les habitants à se reconnecter à la nature.
Les 45 collaborateurs de l’entreprise ont une approche très pragmatique du jardinage. Paysagistes, ingénieurs agronomes, maraîchers, jardiniers-animateurs… tous ont à cœur de donner envie aux urbains de mettre les mains dans la terre.
Face aux changements climatiques, ils veulent agir en créant des îlots de fraîcheur, par exemple, ou tendre vers l’autonomie alimentaire en imaginant des micro-fermes urbaines. Une idée qui fait son chemin.
L’entreprise a été retenue par l’Agence nationale pour la rénovation urbaine dans le cadre du plan « quartiers fertiles ».
Allier l’hospitalité et la décoration dans un hôtel, c’est l’idée forte de Céline Meslin et de son époux, les fondateurs du groupe hôtelier Vicartem.
Céline vous dira humblement qu’ils restent très petits dans le monde l’hôtellerie, mais ils gèrent tout de même dix établissements dont trois sous l’enseigne Maisons du Monde : un à Nantes, un second à Marseille et un petit dernier à La Rochelle.
L’impression d‘être à la maison est l’idée forte véhiculée par ces hôtels.
Du classique en passant par le bord de mer, de l’arty à l’industriel, tous les styles Maisons du Monde sont représentés dans la décoration des chambres, toutes différentes. Céline Meslin pioche dans les catalogues de la marque et laisse exprimer sa créativité.
Les hôtels sont fonctionnels, ouverts sur la ville, ils ont un fort ancrage local par la décoration mais aussi par l’offre culinaire.
Le concept séduit, les projets ne manquent pas pour se développer, des appartements-hôtels viennent d’ouvrir à Nantes et très prochainement à Marseille. Des lieux idéaux pour les longs séjours, avec ces appartements indépendants qui bénéficient des services hôteliers.
Ces hôtels lookés Maisons du Monde, c’est le petit coin de paradis de Céline.
Intéressé par la problématique liée aux déchets, Gérard Bellet a tout d’abord, en 2012, ouvert une boutique de vrac. Puis, très vite, il s’est aperçu qu’il était préférable de vendre un service de distribution de contenants aux boutiques proposant du vrac. C’est ainsi qu’est né Jean Bouteille, en 2014. Vous apprécierez le jeu de mots…
L’entreprise emploie aujourd’hui une trentaine de salariés à Lille et se déploie en France et à l‘international sur trois axes : la fabrication de contenants à destination de commerces proposant du vrac, l’achat et la négociation de produits tels que l’huile ou la lessive, et le conseil pour accompagner le développement d’une offre de produits en vrac.
L’objectif de Jean Bouteille est de s’imposer partout où le vrac est disponible.
Crème au melon, à la betterave, aux épinards, cosmétiques fabriqués à côté de chez vous… Cultiv semble avoir trouvé la solution pour revaloriser les métiers agricoles et développer de nouvelles filières.
Laure-Anne de Tastes est devenue cheffe d’entreprise grâce à l’intrapreneuriat. Pour résumer, Cultiv est une émanation du groupe InVivo, une coopérative agricole forte de 190 adhérents qui expérimente de nouvelles voies de valorisation pour l’agriculture de demain. Elle a trouvé intéressant de se lancer sur un marché qui pèse lourd dans l’économie, celui des cosmétiques et de la beauté.
Cultiv n’en est qu’à ses débuts ! L’objectif de 2022 est de faire grandir la marque. Cela passe aussi par la distribution, Cultiv souhaite pour ce faire investir les pharmacies pour être plus proche des consommateurs.
Adeline Soulignac et son époux sont passés de l’univers de la banque à celui du tourisme. C’est sa passion pour les brocantes, la chine, les vieux objets qui lui a donné envie d’ouvrir une maison d’hôtes.
Adepte de l’upcycling, mobilier à l’esprit récup’, amoureuse des objets qui ont une histoire, elle a créé sa propre marque, Lili Bohème, en mettant en avant son côté recyclage et écoresponsable.
L’idée de la maison d’hôtes s’est imposée. Adeline et son époux ont eu beaucoup de chance, ils ont déniché une maison à deux pas de leur domicile et l’ont transformée en gîte.
Dans cette ancienne fermette, la décoration est particulièrement soignée, unique et originale. Chez Adeline, on trouve aussi de jolies idées pour booster sa créativité : elle partage sa passion pour la teinture végétale, la peinture, le collage et propose des ateliers à ses hôtes.
Les familles apprécient tout particulièrement le lieu, le calme et la mini-ferme. La laine des moutons de Lili Bohème est d’ailleurs utilisée pour les coussins home-made.
Ce n’est que le début de l’histoire, Adeline a ouvert un lieu de partage où se retrouvent des créateurs qui viennent échanger, élargir leur horizon et imaginer de nouvelles synergies.
Adeline va vous surprendre !
C’est le vent qui a fait de Dakhla une des régions du monde les plus prisées des kitesurfeurs, un spot très tendance avec un accès facile. De Paris, la compagnie Royal Air Maroc propose depuis cette année des vols directs en 4 heures.
La Tour d’Éole est un écolodge haut de gamme, qui combine à la fois la détente, le bien-être et les sports nautiques. Vous pourrez ainsi vous installer dans un des 35 bungalows en bois avec une vue exceptionnelle sur la lagune de Dakhla.
Ouvrir un hôtel était le rêve de Jérôme Schanker. Issu d’une famille d’hôteliers, son arrière-grand-mère était à l’origine des Relais et Châteaux. Après une carrière dans la finance, il a décidé de se lancer.
La démarche écologique a été particulièrement bien pensée dans cette région désertique où l’approvisionnement en eau est très compliqué. Il faut, par exemple, descendre jusqu’à 500 mètres pour atteindre la nappe phréatique.
Jérôme est sur beaucoup de projets, même s’il compte ouvrir de nouvelles chambres pour arriver à 45 bungalows. Dakhla et la Tour d’Éole sont assurément une destination à découvrir en 2022 !
Nous sommes au cœur de Lyon, rue de la charité, sur la presqu’île classée au patrimoine mondial de l’Unesco. Entrons dans cet hôtel de charme, l’Hôtel de Verdun. Depuis 1921, ce bâtiment était un hôtel et tous les voyageurs s’y arrêtaient pour faire une pause. Isabelle et Gilles ont voulu faire revivre cette expérience aux visiteurs.
Ils ont créé une maison de voyageurs avec tous les codes qui y correspondent. Ils ont acheté des malles et des bagages chez les antiquaires. Isabelle aime changer le décor, le faire vivre au gré des saisons.
C’est comme une seconde maison, Isabelle et Gilles habitent dans un studio au dernier étage de l’hôtel et ils tiennent à accueillir leurs clients personnellement.
Avec ses 30 chambres, labellisé Clé verte, l’établissement souhaite s’inscrire dans une démarche écoresponsable. Isabelle aime parler de maison de famille plutôt que d’hôtel,
Enfin, elle imagine des petits moments qui resteront dans les mémoires des voyageurs. Pour information : les chambres à partir de 109 euros la nuit !
Vous êtes prêt ? On s’invite chez Catherine au Mas d’Augustine, installez-vous sous le tilleul. Nous sommes à La Bruguière, charmant village d’Occitanie, dans le Gard.
À 61 ans, après une vie bien remplie en Normandie et dans le Nord de la France, Catherine a fait le choix de se lancer dans l’activité de chambres d’hôtes. Un pari audacieux, vous dira-t-elle, compensé par le bonheur de recevoir.
Avoir des chambres d’hôtes est un réel partage pour Catherine. Elle occupe une grande maison de 450 mètres carrés et adore laisser l’accès à la cuisine, la pièce de vie par excellence d’où s’échappe l’odeur des viennoiseries… On vous laisse imaginer…
Catherine s’est passionnée pour la préparation des petits déjeuners home made à base de produits locaux. Il faut dire que le Gard est un département particulièrement généreux, riche en fruits.
Les demandes des clients ont évolué ces deux dernières années, Catherine a bien senti que ses visiteurs ont besoin de vrai, d’authenticité. Ils sont en recherche d’un endroit où lâcher prise.
Les visiteurs apprécient l’ambiance « bout du monde » du Mas d’Augustine ! Vous aussi, ça tombe bien, retenez cette adresse.
Le projet d’Hélène est très original : ouvrir des chambres d’hôtes, des écolodges, dans un vieux verger, près d’une longère, et faire en sorte qu’ils soient les plus discrets possible, cachés sous l’herbe. De vraies petites maisons de lutins. Hélène ne voulait pas d’impact visuel sur la nature. Elle a ainsi créé La Belle Verte.
Le résultat est étonnant. Les écolodges ont été fabriqués en paille, en terre, en bois, conçus pour accueillir la lumière naturelle. Ici, rien n’a été laissé au hasard pour en faire de petits nids douillets.
Ces écolodges sont autosuffisants en énergie. Les panneaux solaires les fournissent en effet en eau chaude et en électricité.
Ces logements sont d’ailleurs labellisés écolabel européen depuis 7 ans, lauréats en 2017 des premières palmes du tourisme durable dans la catégorie hébergement.
Le lieu se prête à la détente, au ressourcement : Hélène propose des stages de yoga, de méditation, des voyages sonores, des cours de cuisine crue.
Ces habitations font l’unanimité auprès de voyageurs curieux, de porteurs de projets qui viennent chercher l’inspiration. Naturellement, Hélène a eu l’idée de lancer une formation spécifique : comment créer son écolodge ? Plusieurs sessions sont organisées chaque année à La Belle Verte.
Hélène nous parle de sa passion pour le tourisme durable et ouvre de nouvelles perspectives… Il reste encore beaucoup de choses à inventer !
Le saviez-vous ? La Ferme du Hitton a été élue Ferme préférée des Français dans l’émission de Stéphane Bern sur France 3. Une belle reconnaissance pour Cécile et Emmanuel, tous deux passionnés par leur activité et très amoureux du département du Gers.
Ces néo-éleveurs, qui se définissent comme des paysans-savonniers, ont commencé une nouvelle vie il y a 10 ans. Cécile était alors déléguée médicale et Emmanuel enseignant.
Cécile vous dira que c’était un pari un peu fou mais elle ne regrette rien. C’est une aventure extraordinaire.
Entourés d’une trentaine d’ânes des Pyrénées, ils participent à la préservation de la race, fabriquent leurs cosmétiques au lait d’ânesse et organisent des visites guidées dans leur ferme, autour des animaux.
Et nouveauté : ils viennent d’ouvrir des hébergements, des lodges en pleine nature, au milieu des animaux. C’est peut-être don dans le Gers que vous allez effectuer votre premier safari…
La Ferme du Hitton (petite colline en gascon) nous offre une vue exceptionnelle, vous y viendrez pour vous ressourcer, rencontrer Cécile, Emmanuel et leurs ânes.
« Nous sommes issus du milieu de l’hôtellerie traditionnelle, on a voyagé pendant de longues années avant de se poser dans le Lot. On a voulu créer un lieu différent, accueillant, respectueux de l’environnement », expliquent Audrey et Manu.
Manu s’est formé en éco-construction, en architecture bio-climatique pour construire un gîte d’étape. Avec Audrey, ils ont toujours voulu monter un hôtel écologique.
Ils ont souhaité construire une maison qui soit la plus cohérente possible. Ils ont ainsi beaucoup travaillé sur la question de la gestion de l’eau, des déchets…
Audrey et Manu ont installé des panneaux solaires ainsi qu’un système qui permet de refiltrer l’eau pour arroser le jardin. Ils sont aussi en train de recréer une mini biodiversité autour de la maison pour apporter de la fraîcheur.
Résultat : un gîte d’étape chaleureux recevant de nombreux marcheurs de Saint-Jacques-de-Compostelle, des familles, des entreprises pour des séminaires, en pleine nature. C’est un lieu idéal pour marquer une pause. Audrey et Manu entament leur douzième saison, leur passion est intacte, ils accueillent jusqu’à 30 personnes demi-pension ou en autonomie.
N’hésitez pas à demander à Audrey et Manu, leurs coups de cœur pour les balades à proximité.
Mon petit coin de paradis s‘invite dans la longère normande de Christine et Bertrand, dans le Calvados, à Courtonne-la-Meurdrac. C’est l’endroit idéal pour changer d’air et découvrir de nouvelles techniques pour déconnecter, grâce à différents ateliers dédiés au bien-être.
Dans cette ancienne ferme normande, Christine, originaire des Pays-Bas, et sa famille sont venus s’installer il y a plus de 25 ans, après être sont tombés sous le charme de ce petit coin de France, en vallée d’Auge.
Christine et Bertrand sont de grands voyageurs, très ouverts sur le monde. Ils ont eu envie de partager leur quotidien et ont fait le choix de n’ouvrir qu’une chambre afin d’avoir une relation très privilégiée avec leurs hôtes.
Avant de se lancer dans l’accueil, Christine travaillait dans le secteur de l’événementiel. Elle a ainsi décidé de changer de vie, de se former en développement personnel, en bien-être.
Elle organise des ateliers de cueillette de fleurs sauvages, des bains de forêt. Et Bertrand, diplômé des Beaux-Arts propose des ateliers de peinture.
Le cadre est enchanteur et l’atmosphère invite au lâcher-prise. On y va ?
Bienvenue en Haute-Marne, au Domaine du Moulin de Trimeule, situé dans une zone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique. Jérôme et sa sœur Christelle ont déniché cette pépite traversée par un ruisseau. Tous deux en reconversion, ils cherchaient un endroit pour poser leurs valises.
Leur idée de départ était de créer un camping, mais ils sont tombés sous le charme de ce lieu situé aux portes d’un parc national, ente Champagne et Bourgogne.
Le département bien vert abrite de nombreux trésors historiques, parmi eux Colombey-les-Deux-Églises, village du Général de Gaulle, ou encore Langres et ses quatre lacs.
Un des sept lodges (bientôt neuf) n’est autre qu’une bulle transparente. Vous pourrez aussi choisir Corydalis, un duplex en bois en forme de cube ; Dolio, un tonneau prêt à dormir ; ou Lacus, l’hébergement le plus proche du ruisseau.
C’est le lieu idéal pour se ressourcer, goûter les produits de la région. Jérôme et Christelle s’attachent en effet tout particulièrement à développer un réseau de producteurs à proximité du domaine.
Une belle aventure familiale et authentique, à découvrir.
La Gazelle Perchée est une cabane pas comme les autres, construite sur pilotis dans un environnement, il faut le dire, assez exceptionnel, face aux Monts d’Auvergne. Tout a été savamment pensé par Aurélie et Maxime : un lac, une cascade et une île pour accueillir la cabane.
Pourquoi la gazelle perchée ? Tout simplement, parce que le hameau où se trouve la cabane s’appelle La Gazelle.
Le lieu est inspirant, il invite à la déconnexion, au lâcher-prise. “L’effet waouh des visiteurs me surprend toujours”, s’amuse Maxime.
Maxime travaille dans l‘univers de la construction, dans les travaux publics, il souhaite garder son activité professionnelle mais il y a une chose qu’il ne manquerait pour rien au monde, c’est l’accueil des visiteurs.
Maxime a créé un réseau, il travaille en circuit court et propose des paniers repas, avec le Cantal (le fromage) en guest star. Vous pourrez aussi louer des trottinettes électriques sur place ou profiter des vélos mis à disposition.
Et la gazelle va grandir, Maxime va créer de nouvelles cabanes autour d’un lac de baignade.
Une rencontre en toute simplicité et sincérité !
Dans les vignobles de Crozes-Hermitage, en vallée du Rhône, Sandrine et Jean-Stéphane nous reçoivent dans leur maison de famille, à quelques kilomètres de Tain-L’Hermitage…
La Ferme des Denis est riche de son histoire. Sandrine et Jean-Stéphane ont installé leurs chambres d’hôtes dans cette demeure familiale : une ferme viticole typique du XVe siècle.
Recevoir et accueillir fait partie de l’ADN de Jean-Stéphane. Ce sont ses parents qui ont lancé l’activité de chambre d’hôtes, il y a une trentaine d’années.
Avec son épouse, Sandrine, ils ont décidé de changer de vie, de quitter la relation client, pour Sandrine, et le monde du négoce en vin, pour Jean-Stéphane, et de reprendre l’activité en lui donnant une nouvelle image, une autre visibilité.
Sandrine a choisi de développer son activité de naturopathe au sein de domaine. La Ferme des Denis proposera donc des séjours à thème autour du bien-être. Jean Stéphane, lui, s’est formé à la vigne, il prépare ses cuvées et va expliquer le travail de la vigne aux visiteurs
L’insolite à la Ferme des Denis se cache dans un tonneau aménagé en chambre, un lieu idéal pour contempler les vignes aux alentours et faire une pause…
Dans cette magnifique demeure de 600 mètres carrés, Véronika et Cyril ont conçu un lieu qui leur ressemble, joyeux, coloré, fantaisiste. La Villa Ajna est tournée vers la détente, la déconnexion.
On y vient pour se ressourcer, participer à des stages de yoga, de relaxation, de méditation…
Cyril et Véronika ont mis leurs rêves en musique. Artiste, il a créé un décor étonnant pour les neuf chambres et les dix salles de bains. Véronika a vécu et appris le yoga en Inde. Elle partage sa passion, sa façon de vivre au travers de cours mais aussi dans les assiettes en offrant aux hôtes une cuisine saine et qualitative.
Une adresse séduisante pour des vacances en mode zen !
Chambres d’hôtes à partir de 80 euros la nuit. On peut aussi louer le gîte de trois chambres pour la semaine.
Christian Roulleau fait partie de ces entrepreneurs nés. Il vous dira qu’il est parti de rien, a gravi les marches petit à petit pour construire un véritable empire, le groupe Samsic, 100 000 salariés dans 27 pays. Samsic est une entreprise spécialisée dans le facility management, le service aux entreprises.
Il a su trouver les clés pour se diversifier, intégrer ses filles et son gendre dans l’entreprise et rester fidèle à ses engagements à savoir garder un groupe familial.
« Il me faut des projets, sinon je suis malheureux », nous dira Christian Roulleau.
Et il met tout en œuvre pour les concrétiser. Il a racheté avec ses filles deux centres de thalassothérapie en Bretagne, il est aussi aux commandes de deux vignobles et envisage d’innover dans le secteur de la vinothérapie.
Devient-on entrepreneur ou est-ce dans les gênes ? Christian Roulleau se confie à Air Zen Radio.
Émilie Jeannin a voulu réduire les distances entre les fermes et les abattoirs, un préambule indispensable pour assurer le respect des animaux, des éleveurs et des consommateurs.
« On est un grain de riz » vous dira Émilie, la créatrice du Boeuf Éthique « on va passer 8 bêtes par jour dans nos camions, alors que les gros abattoirs peuvent en passer 30 fois plus ». Mais elle est persuadée qu’il existe une vraie place pour les abattoirs comme le sien.
Le sujet est clivant, Émilie en a bien conscience et elle fait preuve de beaucoup de pédagogie. Émilie a dû se battre pour obtenir les autorisations d’exploitation de son abattoir mobile mais elle a déjà gagné son pari. Le produit final, la viande qui se retrouve dans les assiettes des consommateurs s’en trouve nettement améliorée.
Enfin, cette viande est servie chez de grands noms de la restauration. Son objectif est clair : faire un produit d’exception à partir des animaux issus d’élevages vertueux.